Québec- Manipulation des subventions spéculatives pertes 10 milliards de dollar américain minimum en 2025 industries étrangères
Bombardier était le fleuron Québécois aérospatial reconnu mondialement
Joseph-Armand Bombardier était le fondateur et inventeur de l'entreprise Bombardier Après son décès du propriétaire
Son gendre, Laurent Beaudoin, qui a pris les rênes de l'entreprise et l'a transformée en une multinationale, construisant son empire dans les transports sur rail et l'aéronautique, tout en conservant une forte emprise familiale.
Seize ans et plus de 6,4 milliards de dollars américains plus tard, l’aventure de la C Series est officiellement terminée pour Bombardier, qui a cédé sa participation restante à Airbus pour une bouchée de pain et y ajoutant des milliards de subventions à Airbus du gouvernement du Québec.
Nous voici en 2025 Airbus nous refile les coûts de cette aventure au Québec et devra ajouter ces pertes financières au bilan
Dans un avenir très rapprochés les bureaux chefs des entreprises situés aux États-Unis cause Donald Trump déménageront au Canada et peut être au Québec pourquoi? Paradis fiscal et subventions hors contrôle
Airbus n'a pas acheté la Série 790 million dollar américain à l’époque du programme renommé A220, aujourd’hui la valeur est de 7 milliard de dollars US et Investissement Québec conservant 25 %.
Le gouvernement pourrait bien devoir radier la totalité de son investissement dans les avions A220 d’Airbus, ce qui signifierait une perte totale de plus
2,1 milliard US G$ pour les contribuables québécois et le gouvernement du Québec a perdu dans l’aventure plus de 376 millions de dollars américain.
Avoir perdu 375,7 M$ dans ce programme d’avions de 100 à 160 places.
Cette dépréciation a été inscrite dans les états financiers du gouvernement pour l’exercice qui a pris fin le 31 mars 2025.
À cela se sont ajoutés les 268 M$ perdus dans Northvolt et les 222 M$ perdus dans Recyclage Varennes.
En tout, Québec a dû radier pas moins de 1,4 milliard de dollars américain d’aide financière aux entreprises en 2024-2025.
Retards
«Les retombées à court terme du programme A220 d’Airbus sont moindres en raison de l’imposition des tarifs douaniers par Washington et de retards subis dans sa chaîne d’approvisionnement», a affirmé Catherine Pelletier, porte-parole de la ministre de l’Économie, Christine Fréchette.
Un premier investissement de 1,3 G$ avait été effectué en 2016 par le gouvernement Couillard dans le programme, qui s'appelait C Series et qui appartenait à Bombardier. Près de 1,7 G$ en tout depuis 2016
L’an dernier, le premier ministre François Legault et Pierre Fitzgibbon, alors ministre de l’Économie, avaient annoncé un investissement de 414,2 M$ dans l’A220.
M. Fitzgibbon avait alors soutenu que, sans cette perfusion, l’investissement de 337,1 Million de dollar américain effectué par Québec dans l’A220 en 2022 disparaîtrait.
Airbus peine toujours à réduire les coûts de production de l’avion, qui est assemblé dans des usines situées à Mirabel, dans les Laurentides, et en Alabama, aux États-Unis.
Le géant européen espère que le programme deviendra rentable l’an prochain, mais plusieurs observateurs remettent en doute cet objectif ambitieux, qui a déjà été repoussé à plusieurs reprises
Au Québec. Environ 3900 personnes travaillent pour Airbus à Mirabel.
Aides sociales pour les investisseurs au Québec, subventions Québec
Piètre moyenne au bâton de Legault pour l'aide aux entreprises, des subventions du gouvernement Legault, versés 630 Millions de dollar américain au chantier Davie mais des retombées et des résultats incertains, soulignant une tendance à donner beaucoup d'argent public sans toujours garantir le succès,
Qui est le propriétaire de chantier Davie
Les propriétaires du chantier Davie ont discrètement changé la structure de l’entreprise, en 2020, pendant leurs négociations en vue d’obtenir 10 milliards en contrats fédéraux, a appris La Presse.
Ils ont transféré la société de contrôle d’un paradis fiscal ultra opaque – les îles Vierges britanniques – vers un autre qui l’est moins, l’île de Guernesey.
Une manœuvre avalisée par Ottawa et Québec, qui n’aurait rien à voir avec des raisons fiscales selon les actionnaires européens du groupe.



























