Justice Québec conciliant avec des criminels et tueurs , les détenues d’une une prison provinciale seront désormais incarcérées dans un établissement correspondant à leur identité SEXUEL.
Un autre cas comme celui d’un père condamné pour les meurtres de sa conjointe et leurs deux enfants qui avaient exigé d’aller dans une prison pour femmes.
«Ce n’est pas vrai que je vais permettre à un tueur qui a tué une femme, qui a tué des enfants, d’aller dans une prison pour femmes, avec ses attributs physiques d’homme.
Son ministère annonce aujourd’hui une nouvelle directive à venir pour le traitement des personnes qui se disent transgenres dans les établissements de la province. Ces prisons abritent des détenus en attente de leur procès et ceux qui purgent une peine de moins de deux ans.
Fini donc l'auto-identification du genre pour ces détenus.
Pas de «transitions opportunistes»
On veut notamment éviter des «transitions opportunistes» de la part de détenus et assurer la sécurité des autres personnes incarcérées.
Jusqu’à présent, un détenu dans une prison provinciale n’avait qu’à faire valoir un changement dans son identité de genre pour être changé d’établissement.
Par exemple, un homme qui s’identifie comme une femme pouvait être détenu auprès de la clientèle féminine, et vice-versa.
Et cela, sans même avoir entamé un réel processus de changement de sexe.
«Je ne la comprends pas, la justice!»: la mère de Synthia Bussières vit l’ENFER à cause d’Al Ballouz
Ce ne sera plus possible. Une transition de genre complète, comprenant l’opération, sera dorénavant exigée.
«L’attribut physique fait foi de tout», insiste le ministre Bonnardel.
Un récent cas a d’ailleurs fait les manchettes et suscité de la grogne, celui de Mohamad Al Ballouz, condamné pour meurtre de ses enfants et sa conjointe, en 2022, à Brossard.
Les crimes d'honneur, où des femmes et leurs enfants sont tués pour restaurer l'honneur de la famille, sont un phénomène tragique et complexe, souvent lié à des normes culturelles et sociales. Des hommes, souvent le père ou le frère, sont les auteurs de ces meurtres, considérant que les victimes ont déshonoré la famille Mohammed le prophète le permet.
Mohamad Al Ballouz assassine froidement son épouse Synthia Bussières et leurs enfants, Zac et Éliam, âgés de deux et cinq ans.
Mohamad Al Ballouz avec ses victimes, Il avait, en plein milieu de son enquête préliminaire, demandé à ce qu’on s’adresse à lui comme s’il était une femme.
Si bien que, lors de son procès l’automne dernier, le père, qui s’identifie maintenant sous le nom de Levana Ballouz, était détenu dans une prison pour femmes, à sa demande.
Sommes-nous tous devenu en tant que société aussi bonaces que ça Réponse Oui!
C’est notamment en raison du malaise qu’a suscité ce cas que le ministre Bonnardel a changé les règles. Je porte une perruque de femme donc je ne peux être inculpés
Donc c’est la femme en moi qui a assassiné Synthia Bussières et leurs enfants, Zac et Éliam, âgés de deux et cinq ans.
Le ministre veut ainsi éviter des dérapages graves dans nos Palais d’injustices, tel que des agressions sexuelles survenues dans des centres de détention ailleurs au Canada et dans d’autres pays.
Cette mesure évitera aussi qu’une employée d’une prison doive effectuer une fouille corporelle à une personne qui se considère comme une femme, mais qui a toujours son organe génital mâle.
Un pénis femelle avec 2 testicules bien poilus et gorgés de spermatozoïdes à l’acquêt pour attraper ses proies.
Mohamad Al Ballouz porte une perruque au tribunal s’identifiant dorénavant comme une femme et qui porte une perruque.
Il assure que des accommodations seront malgré tout possibles pour les détenus qui se disent des gras transgénériques aux sauces des Trudeau, que ce soit pour obtenir des perruques ou des prothèses ou même pour avoir accès à une cellule simple, avec maitre d’hôtels repas particulier Anal si cela est jugé nécessaire ainsi que des lieux de prières pour exercer ses pulsions.
Au Québec, six des 5400 personnes incarcérées dans une prison provinciale s’identifient comme transgenres.
Rappelons que, même si l’auto-identification est aussi prônée dans les centres de détention fédéraux, Mohamad Al Ballouz est finalement détenu avec des hommes à la prison de Port-Cartier.
Question banale quelles sont les raisons d’une personne d’une personne de telle religion d'aller se marier avec une personne d’une autre religion n’ayant aucune valeurs réciproques.
C’est tout comme demander aux loups de venir nourrir et surveiller tous les moutons dans la bergerie avec des laissez-passer totaux quels festins chez……..