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Citation : diabolique et mensongère signé QS rabroue son député et une fondation condamne ses propos
QUÉBEC — Fondation Club Avenir fondation montréalaise a condamné jeudi soir les propos qu’a tenus le député Haroun Bouazzi, de Québec solidaire, qui était invité à sa tribune récemment.
Québec solidaire (QS) a rabroué son propre député Haroun Bouazzi qui a dit voir du racisme «tous les jours» à l’Assemblée nationale, ce qui lui a entraîné une condamnation unanime des autres partis.
Premièrement Allah et Haroun Bouazzi savons et voyons à l’Assemblée nationale tous les jours, les constructions de racisme nous décrivant tel que des êtres inférieurs envers de cet autre, est musulman, somme tous des êtres inférieurs aux autres députés blancs et chrétien à l’assemblé Nationale du Québec et foule lors de ses prestations son discours de racisme dont il est un expert du racisme systémique musulman
Taqqiya: l’islam autorise la tromperie, le mensonge et la dissimulation, diablerie
Haroun Bouazzi pratique-il la taqîya, est une pratique, au sein de l'Islam salafiste, consistant à dissimuler, de mentir aux infidèles, les Canadiens, les Québécois, les Occidentaux, les Chrétiens, ou à nier sa foi sous la contrainte afin d'éviter la persécution et faire prospérer leur croisade diabolique à travers toutes les civilisations
La Fondation Club Avenir est un organisme à but non lucratif ayant pour mission d’encourager l’excellence des membres de la communauté algérienne au Canada
M. Haroun Bouazzi, nous démontre avec toute clarté à tous son racisme musulman journalier implanté entre ses deux oreilles cherchant s’il a même un asticot à la place du cerveau
Racisme systémique à la Couillard et à la dégénérative Trudeau
La Fondation a désapprouvé cet écart et se dissocie des propos tenus par le député. Le Gala est avant tout une soirée pour fêter l’intégration positive et le bon vivre ensemble.»
Nous lui avons exprimé que ses propos étaient maladroits et exagérés», a-t-elle écrit.
Aucun député de Québec solidaire ne pense que les députés québécois sont des racistes incarnés sauf certaines exceptions.
M. St-Pierre Plamondon vous citera a des centaines de déclarations M. Haroun Bouazzi et c’est loin d’être une anecdote ce raciste incarné
Quand Québec solidaire et Gabriel Nadeau Dubois et compagnie ont décidé de faire de lui son candidat et un député de l’Assemblée nationale en toute connaissance de ses racismes islamisé et musulman
Gabriel Nadeau Dubois portant le voile, savait très bien quelles étaient les vues de M. Bouazzi sur le Québec, sur nos institutions et nos partis politiques,
M. Haroun Bouazzi, moi, je vous assure solennellement devant cet assemblée à savoir que les personnes élues à l’Assemblée nationale sont des racistes extrémistes
Trop tard le mal est fait pas d’excuse et démissionné
Vous savez très bien M. Haroun Bouazzi ce que vous avez dit en faisant référence à votre quotidien à l’Assemblée»,
«Ces accusations sont graves. Votre déni aussi.»
Des parlementaires des autres formations politiques ont aussi condamné les déclarations de M. Bouazzi par le réseau X.
«En tenant de tels propos radicaux, le député Haroun Bouazzi sait très bien ce qu’il fait: il divise, a écrit le leader parlementaire du gouvernement et ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette. Un élu a plutôt la responsabilité d’unir.»
Pour sa part, la députée libérale Marwah Rizqy a rappelé dans un long message qu’elle était elle-même d’origine marocaine et que jamais nous sommes catalogués et sentir «dangereuse» ou «inférieure» à l’Assemblée nationale du Québec.
«Des accusations de racisme envers l’Assemblée nationale et ses parlementaires sont très graves et commandent le plus grand sérieux, écrit-elle. Elles doivent être supportées par des faits, sinon quoi, elles jettent un immense discrédit envers l’Institution des institutions. Des explications s’imposent.»
Le Règlement de l’Assemblée nationale prévoit qu’«un député qui a la parole ne peut employer un langage grossier ou irrespectueux envers l’Assemblée», mais sa portée s’étend à l’enceinte du parlement.
Mme Rizqy a ajouté qu’elle avait hésité avant de prendre la parole, mais que «c’est important que chaque Québécois, peu importe son origine ethnique ou sa religion, sache qu’il est possible au Québec d’aspirer aux plus hautes fonctions».
Son collègue, le député Monsef Derraji, a pour sa part écrit: «l’essentiel, c’est de se sentir chez soi. Si on se reconnaît comme Québécois, c’est ainsi qu’on nous verra.»
Dans son allocution, M. Boauzzi a aussi dressé un parallèle entre deux controverses récentes pour illustrer son argument sur le profilage de minorités maghrébines et musulmanes.
Il a fait notamment référence à l’école publique Bedford à Montréal, où une enquête a déterminé qu’une clique d’enseignants d’origine maghrébine se livrait à du prosélytisme et avait instauré un climat toxique.
Il dit ainsi avoir entendu des propos sur «des profs incompétents et tout le discours qui vient avec l’entrisme, l’envahissement de cette culture et du danger qui l’entoure».
Et en comparaison, il a évoqué le scandale du centre de réadaptation Cité-des-Prairies, à Montréal, où une dizaine d’éducatrices avaient des relations sexuelles avec de jeunes criminels, dont plusieurs mineurs, selon une enquête interne.
«Est-ce que vous savez de quelle culture elles sont ou quelle est leur religion?» demandait-il à l’assistance.
«Moi non plus, mais ce que je peux vous dire, c’est que ce sont ni des maghrébins, ni des musulmans, parce que sinon, on serait sûr de savoir de quelle religion ou de quelle origine ils sont», a-t-il lancé, sous les applaudissements de la foule.
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