lundi 20 août 2018

Est-ce Andrew James Scheer a-t-il des couilles de la trempe de Stephan Harper - Les traîtres Justin Trudeau -Philippe Couillard - Jasmeet Singh

Est-ce Andrew James Scheer  a-t-il des couilles de la trempe de Stephen Harper ou bien porte-t-il couches culottes robes de poupées pour les enfants.
 
Mais certainement  pour les voteurs du Québec le rejeton du multiculturalisme du diable islamique Justin Trudeau est à excommunier,  à être détruit avant le prochain scrutin.
Etes-vous son sosie, Andrew James Scheer , son serviteur, vous devriez porter un turban, ou du papier de toilette sur votre tête comme au NPD, ou un autre traître Libéral son duplicata multiculturaliste pour la destruction du Canada car les Québécois ne voterons pas pour le parti Conservateur
Maxime Bernier a 100 pour 100 raison, le multiculturalisme à la Justin détruira le Canada de même que Pierre Elliott Trudeau, le premier traître Canadien a détruit le Québec en entier
Les Québécois ne pas de multiculturalisme car les immigrants doivent s’intégrer ou partir et non divisé, le Canada et le Québec par ethnies et spécialement religion, musulmanes, sikhs, etc.
Andrew James Scheer  est-il une mauviette et bien membre du Québec Bashing des Anglos Canadiens
Tous les éditoriales du Québec, dont Lise Ravary, Mathieu Bock Côté, Richard Martineau, le Journal de Montréal et de Québec, les stations Cogeco Radios et télévision, les tribunes téléphoniques à la télévision TVA etc.
Maxime Bernier n’a jamais tricoté ses opinions pour en faire une courtepointe multicolore et consensuelle, Canadian-style. Conservateur parmi les conservateurs, libertarien opposé à la sacro-sainte gestion de l’offre, ce qui lui aurait coûté la direction du Parti conservateur, il vient encore de se mettre les pieds dans un plat identifié « controverse ».
Le multiculturalisme voit l’individu non comme un membre de la société, mais comme un élément d’un plus petit groupe défini en fonction de l’ethnie, de la race ou de la culture.
Maxime Bernier a raison d’attaquer le multiculturalisme de Justin, le serviteur salafiste
Le multiculturalisme est une forme douce et insidieuse d’apartheid. Il engage un pays déjà divisé sur le chemin d’une plus grande division sociale.
Le multiculturalisme mine de l’intérieur l’unité et l’identité canadiennes. »
« Les gens ne migrent pas afin de préserver leur culture et d’entretenir leur appartenance à une ethnie. Les immigrants viennent ici pour devenir canadiens
Statut à Victoria et remisée. En mai dernier, rappelle Bernier,
Iqra Khalid la députée libérale Iqra Khalid, responsable de la motion M103 contre l’islamophobie, avait présidé à l’inauguration de la statue du fondateur de l’État islamique du Pakistan, le séparatiste M.A. Jinnah, sur un territoire amputé à l’Inde en 1947, dans un bain de sang inimaginable.
Si la France est multiethnique, elle n'a pas de tradition multiculturelle. Pour Natacha Polony, abandonner l'exigence d'une culture commune c'est tuer l'idéal d'émancipation français.
Natacha Polony est chroniqueuse au Figaro. Son dernier livre, « Ces pays qu’on Abat, la France, le Canada, la Belgique, la Grande-Bretagne, etc.», est paru en 2014 aux éditions Plon.
Dans le flot ininterrompu des déclarations qui invitent à mettre en œuvre le «plus jamais comme avant» imposé par les événements, une petite musique se fait entendre, qui ne laisse pas d'inquiéter. Déjà, nous avions appris que, le 11 janvier, nous devions marcher, au choix, «contre le Front national» (selon la direction de Mediapart), «contre les attaques envers les musulmans» (Clémentine Autain). Nous avions compris, à force de l'entendre, que tout cela «n'a rien à voir avec l'islam» (Allah akbar, le Prophète… non, non, rien à voir).
Nous avions même fini par savoir que c'était le «totalitarisme laïcard» qui tuait, puisque Benoist Apparu appelait à l'éradiquer. Désormais, nous savons que des jeunes gens peuvent justifier des meurtres atroces, ou du moins les comprendre, parce que «dans leur culture», l'image du Prophète est ce qu'il y a de plus sacré. Et nous entendons de la part de Français inquiets qu'il «ne faut pas dessiner de caricatures parce qu'il faut les respecter
Votez Maxime Bernier
Cette phrase, avec son air de bienveillance, nous raconte ce qu'est devenue la France. Ainsi, au pays de Rabelais, de Voltaire et d'Hugo, on estime que des enfants français, nés en France, ayant suivi leur scolarité dans l'école de la République, appartiennent à une culture«autre», une culture à ce point différente de la «nôtre» (mais qui est ce «nous»?) qu'ils sont incapables de s'émanciper des dogmes d'une religion déclinée dans sa version la plus rigoriste et la plus éloignée de notre modernité laïque.
Maxime Bernier a raison de se battre pour le Canada des Anglais
Qui s'en étonnera puisqu'on entend à longueur de journée des discours de gentils animateurs de banlieue ou de professeurs bienveillants nous expliquer sur les plateaux de télévision que la France est «multiculturelle», et qu'il faut bien l'admettre (sinon, l'on est un affreux raciste).
Aussi, disons-le clairement, ce dont la France souffre aujourd'hui est avant tout une absence totale de maîtrise de la langue (ce qui, de la part de professeurs, pose tout de même un certain problème).
Non, la France n'a jamais été un pays «multiculturel», mais un pays «multiethnique». On peut avoir toutes les couleurs de peau, venir des confins du monde, et être citoyen français. Mais ce qui distingue la République française des autres démocraties libérales est justement qu'elle est un peu moins libérale puisqu'elle unit ces gens de toutes les origines en un peuple partageant une même culture.

Maxime BERNIER A RAISON D'ÊTRE PATRIOTIQUE ET NON PAS UNE SANGSUES POLITIQUES DU CANADA ANGLAIS, DE MACLEAN
Comme le soulignait le chroniqueur torontois Tarek Fatah, si un premier ministre canadien est moins bien accepté ici qu’un personnage historique pakistanais, Maxime Bernier a peut-être raison.
Même avec tous les défauts de Sir John A. Macdonald. Le Canada requiert les services de plusieurs Donald Trump, au moins patriote américains et qui ne vend pas ses concitoyens.
Voici ce qui se passe présentement  en Europe, les multiculturalismes d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel, les traîtres à leurs pays
Emmanuel Macron les français non pas de culture car la culture française n’existe pas. La taupe ilamiste, salafiste au seimnn du gouvernement Français
Si la France est multiethnique, elle n'a pas de tradition multiculturelle. Pour Natacha Polony, abandonner l'exigence d'une culture commune c'est tuer l'idéal d'émancipation français.
Natacha Polony est chroniqueuse au Figaro. Son dernier livre, « Ces pays qu’on Abat, la France, le Canada, la Belgique, la Grande-Bretagne, etc.», est paru en 2014 aux éditions Plon.

Andrews Scheer a tard sur toute la ligne le multiculturalisme c'est la fin du Canada et de l’Occident
Dans le flot ininterrompu des déclarations qui invitent à mettre en œuvre le «plus jamais comme avant» imposé par les événements, une petite musique se fait entendre, qui ne laisse pas d'inquiéter. Déjà, nous avions appris que, le 11 janvier, nous devions marcher, au choix, «contre le Front national» (selon la direction de Mediapart), «contre les attaques envers les musulmans» (Clémentine Autain).
Nous avions compris, à force de l'entendre, que tout cela «n'a rien à voir avec l'islam» (Allah Akbar, le Prophète, Justin Trudeau ou Andrew  Scheer ou l’enrubanné terroriste Pakistanais Jasmeet Singh,  ou le raciste systémique, Philippe Couillard … non, non, rien à voir, ce sont des propagandistes religieux dans leurs croisades territoriales avec les associations islamiques et frères musulmans).
Nous avions même fini par savoir que c'était le «totalitarisme laïcard» qui tuait, puisque Benoist Apparu appelait à l'éradiquer.
Désormais, nous savons que des jeunes gens peuvent justifier des meurtres atroces, ou du moins les comprendre, parce que «dans leur culture», l'image du Prophète est ce qu'il y a de plus sacré. Et nous entendons de la part de Français inquiets qu'il «ne faut pas dessiner de caricatures parce qu'il faut respecter les
Cette phrase, avec son air de bienveillance, nous raconte ce qu'est devenue la France.

Ainsi, au pays de Rabelais, de Voltaire et d'Hugo, on estime que des enfants français, nés en France, ayant suivi leur scolarité dans l'école de la République, appartiennent à une culture ou «autre», une culture à ce point différente de la «nôtre» (mais qui est ce «nous»?) qu'ils sont incapables de s'émanciper des dogmes d'une religion déclinée dans sa version la plus rigoriste et la plus éloignée de notre modernité laïque.
Qui s'en étonnera puisqu'on entend à longueur de journée des discours de gentils animateurs de banlieue ou de professeurs bienveillants nous expliquer sur les plateaux de télévision que la France est «multiculturelle», et qu'il faut bien l'admettre (sinon, l'on est un affreux raciste).
Aussi, disons-le clairement, ce dont la France souffre aujourd'hui est avant tout une absence totale de maîtrise de la langue (ce qui, de la part de professeurs, pose tout de même un certain problème). Non, la France n'a jamais été un pays «multiculturel», mais un pays «multiethnique».
On peut avoir toutes les couleurs de peau, venir des confins du monde, et être citoyen français. Mais ce qui distingue la République française des autres démocraties libérales est justement qu'elle est un peu moins libérale puisqu'elle unit ces gens de toutes les origines en un peuple partageant une même culture.

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