samedi 16 mars 2019

Justin Trudeau - Philippe Couillard -Excision des filles plus de 100,000 par année un viol collectif qui doit être punit

Excision des filles plus de 100,000 par année un
 viol collectif qui doit être punit aucun accommodement
ou compromis acceptable

 Allah est Grand - Royaume-Uni : condamnation historique d'une mère pour avoir excisé sa fille
Abderrazzak El Jaï, Grand Multi, Grand prêtre ayant toutes les connaissances a affirmée à la télévision britannique ceci «La femme a le droit de sortir deux fois de chez elle, une première fois pour aller chez son mari, la deuxième fois pour aller se faire enterrer».
C'est une première au Royaume-Uni, où l'excision est illégale depuis 1985.

Une Ougandaise de 37 ans a été condamnée à onze ans de prison pour avoir pratiqué une excision sur sa fille de trois ans. Le père de la victime, un Ghanéen de 43 ans, également poursuivi, échappe à l'incarcération. Un verdict qui fait date et qui rejoint d'autres actions similaires en Suisse et en France. 
Les mutilations génitales sont "une pratique barbare et un crime grave, a déclaré la juge londonienne. Un crime visant les femmes, qui leur est infligé quand elles sont jeunes et vulnérables". Et pour qualifier les conséquences psychologiques pour la victime, la juge évoque "un fardeau important et qui dure toute la vie"... "Vous avez trahi la confiance qu'elle place en vous, sa protectrice", a-t-elle lancé à la mère de la fillette. Également poursuivi, le père de la victime, un Ghanéen de 43 ans, n’a pas été condamné.


L’excision, ablation rituelle du clitoris et des petites lèvres, est illégale depuis 1985 au Royaume-Uni. Depuis, la loi a été complétée afin de permettre les poursuites contre les personnes qui profitent de séjours à l’étranger pour commettre ces mutilations.
Excision en hausse au Royaume-Uni les musulmans y ont créé leurs nids
En août 2017, les parents avaient amené leur petite fille en sang à l’hôpital. Ils prétendaient qu’elle était tombée d’un plan de travail de cuisine et s’était blessée sur le bord d’une porte de placard en métal. Une version réfutée par tous les experts appelés à témoigner au cours du procès.
Les médecins constatent que les blessures concordent davantage avec l’hypothèse d’une mutilation génitale. Un chirurgien conclut que l’enfant a été mutilée au scalpel, après avoir détecté trois blessures distinctes, et aucune ecchymose.
Après une perquisition au domicile londonien de la mère, les enquêteurs ont découvert qu’elle s’adonnait à des pratiques relevant de la sorcellerie. La raison pour laquelle la femme a imposé une excision à son enfant, contrairement à sa culture, n’est pas claire, mais la sorcellerie est une possibilité, selon la juge.
Outre sa condamnation pour excision, la mère de famille a été condamnée à deux ans de prison supplémentaires pour possession d’images indécentes et de "pornographie extrême". Le père de la fillette a été condamné à onze mois de prison, une peine qu’il a déjà effectuée, pour possession d’images indécentes et extrêmes.

Des religions de barbares et pratiqué par d’autre religions que l’iSLAM
Ce procès met en lumière le problème de l'excision au Royaume-Uni. Selon une récente enquête du Local Government Association (LGA), une organisation britannique sans but lucratif, les chiffres sont alarmants. Entre 2017 et 2018, 1 960 jeunes filles ont été victimes, ou sont susceptibles d'avoir été victimes, d'une EXCISION. L'année précédente, ce chiffre ne s'élevait à 970 cas. 

Ce nombre, aussi inquiétant soit-il, n'est que la partie émergée de l'iceberg. Les experts craignent que les chiffres réels ne soient bien plus importants, l'excision étant toujours un acte pratiqué à l'abri des regards. Ce rapport indique également que d'autres formes d'abus sont en hausse : la sorcellerie, par exemple, a augmenté de 12%. 
En Suisse, aussi, la justice œuvre mais dans le pays de Justin Trudeau, qu’il approuve car ça fait parti de leurs coutumes de barbares
La condamnation d'une mère somalienne qui avait fait exciser ses fillettes au pays avant de gagner la Suisse a été confirmée fin février. La Somalienne, qui était soupçonnée d'avoir poussé à la mutilation des organes génitaux de ses deux filles, a été condamnée à une peine de huit mois de prison avec sursis par le tribunal de police à Boudry. 
Politico religion de malades mentaux
Suisse La condamnation d'une mère somalienne qui avait fait exciser ses fillettes au pays avant de gagner la Suisse est confirmée.
Une mère indigne somalienne est condamnée après l’excision de ses fillettes.  Cette chienne a entamé une demande de pardon à Neuchâtel en Suisse, et lui a été refusé, qu’elle aille guerpir avec les rats ses confères qui sont à son imagw prophétique
A déclaré la juge Nathalie Kocherhans
"Je n'ai pas la prétention de faire changer les choses mais de faire en sorte que ce jugement apporte une pierre à l'édifice pour éliminer les souffrances de millions de fillettes"
Ce jugement était très attendu, car il n'y avait pas encore de jurisprudence sur l'article 124 du Code pénal, qui existe depuis 2012.

Pour la juge, le fait que l'accusée n'était pas domiciliée en Suisse au moment des faits - elle vivait en Somalie - ne constitue pas un motif d'acquittement, comme l'avait plaidé la défense. "Il n'y a pas d'interprétation possible" du principe d'universalité,
«Prenez-en de la graine les Féministes gangrénée par les musulmanes voilées au sein de l’Association des Femmes du Québec dont le président un ancien homme mutilé en femme mieux connu sous l’appellation LGBT dont fait parti les familles de libéraux au Canada, a-t-elle tenu à préciser, car même en simple transit en Suisse, l'accusée aurait pu se faire condamner.
Excision, meurtre sexuel
Arracher  les jouissances de leur vie sexuelle pour leur entière vie vécue sur cette planète pour la gloire des barbus selon Tarig Ramadan, pédophile et représentant islamique auprès des médias et des collèges français d’Emmanuel Macron, président multiculturaliste de France
Les deux fillettes, âgées de 12 et 11 ans actuellement, avaient entre sept et six ans et demi au moment des faits. L'aînée a subi une excision totale ou quasi-totale (infibulation, soit mutilation génitale de type III) et la cadette une ablation clitoridienne partielle,
On estime que près de 15 000 filles et femmes sont concernées en Suisse, dont 6 000 à Genève. 
En Belgique
En Belgique, selon la dernière étude menée par le Groupe pour l'Abolition des Mutilations Sexuelles (GAMS), quelque 17 273 femmes et filles sont déjà probablement excisées et 8 644 sont intactes, mais courent le risque de l'être, car originaires de pays où l'excision est d'usage. Des chiffres qui ont doublé en cinq ans, suite à l'arrivée de nouvelles populations en provenance de pays ou l'excision est pratiquée.

L’excision est interdite en Belgique depuis 2001. L’article 409 du Code pénal sanctionne d’une peine d’emprisonnement de 3 à 5 ans quiconque aura favorisé toute forme de MGF d’une personne de sexe féminin, avec ou sans consentement de cette dernière.
Un acte posé à l’étranger peut également être punissable une fois la personne de retour en Belgique. Aucune poursuite judiciaire malgré des signalements d’enfants à risque d’excision, regrette Fatoumata Sidibé, députée bruxelloise DéFI et présidente de DéFIFemmes.

France multiculturaliste
L'avocate Linda Weil-Curiel, la présidente de la Commission pour l’abolition des mutilations sexuelles. Comme elle l'explique dans un article dans Le Figaro, Madame, cette absence de cas judiciaires est "d'un côté bon signe.
Et de l'autre, ça ne l’est pas car cela veut dire que ça n’est plus d’intérêt public.
Pour Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne à l'origine de  La Maison des Femmes à Saint-Denis en région parisienne, "C'est une bonne chose que la loi soit appliquée et que la justice fasse son travail. En France, nous avons des lois tout aussi coercitives mais qu’en même plus de 10 000 fillettes subiront ce sort avec amour du Prophète."
Et ailleurs dans le monde?
En Égypte, une femme excisée sur cinq est égyptienne, Allah est grand en sexualité. Pourquoi ce pays avance-t-il si peu dans l'éradication de l'excision ? Large soutien à la pratique, médicalisation, répression des ONG, mauvaise utilisation des subventions...
La moitié des Égyptiens pense que l'excision est un devoir religieux, même si le mufti, autorité sunnite d'al Azhar, a répété à plusieurs reprises que cette pratique était contraire à l'islam. En 2008, l'excision est devenue un crime et les peines encourues par les exciseurs et parents complices ont même été alourdis en 2017. En 2019,  500, 000 filles ou femmes Égyptiennes seront excisées. Des réceptacles à sperme, voilà!
De Terriennes, Isabelle Mougere,  avec mes propres commentaires

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