jeudi 16 janvier 2020

Valérie Plante mairesse écologique, Alan de Sousa, maire de Ville Saint-Laurent et Aref Salem conseiller nous tiennent en otage à Montréal


Valérie Plante mairesse écologique, Alan de Sousa, maire de Ville Saint-Laurent et Aref Salem conseiller nous tiennent en otage à Montréal. Avec ces bordures et contours des trottoirs des amas de glace et de neige de plus d’un mètre dangereux pour nos déplacements et accidents physiques 

Ces bancs de neiges et de glace empêchera les piétons d'entrer, d’enjamber ou sortir des bus sans glissade et accident.
 
Nos trottoirs ne sont jamais bien dégagés et lorsque le petit tracteur passe fait des colonnes de neiges et de glaces non traversables pour sauter dans le bus 
Du sel sur les rues et de petits cailloux parsemé sur les trottoirs
Les charrues immenses envoient sur les côtés de trottoirs en même temps que la chenillette des accumulations notables de neige jusqu'à un mètre en plus de l’accumulation d’eau sur la neige
 
Sur les rues les villes étant du sel mais jamais sur les trottoirs pour protéger l’environnement qu’elles sont les meilleurs idioties de nos politiciens véreux.  Ils préfèrent que nous cassions les jambes et les bras et nous voilà à nouveau à l’urgence des hôpitaux.

Question il y-a-t-il un moyen d’enlever ces bordures de neige et de glace après le passage des charrues, et non pas le lendemain? Une souffleuse peut- être qui enlèverai immédiatement ce amas de glace ou neige d’un mètre
 
Les bus ne peuvent s’accoter au bord des trottoirs donc nous devons sauter du bus sur un trottoir glacés. Les bancs de neige causée par les charrues à neiges et chenille font un mur de glace entre le bus et trottoirs car les bus y restent pris dans cette accumulation de neige et glace. 

De même au alentour des stations de métro rien ne nettoie jamais entre le trottoir et la rue et l’entrée des Métros avant plusieurs jours.  A vos risques et périls, vous devez sauter au dessus des bancs de neiges. 
Par expérience je tombe sur les trottoirs de 3 à 4 fois par année, et même les conducteurs de bus  n’en croit pas leurs yeux, puisque le bus est embourbé dans ces montagnes de glace.

Bienvenue dans nos urgences d’hôpitaux avec des attentes de 24 heures avant d’être traité.  Nous nous croyons dans des camps de réfugiés en Syrie
 
Nous devons de nous relever péniblement  lever car je me suis frapper la tête sur vitres de l’abri bus et la conductrice du bus voulait appeler l’ambulance et j’ai refusé et recommencer à marcher difficilement
 
Les trottoirs et piétons les mal aimé par nos administrations municipale
Les automobilistes impatient, ou bien avec leur cellulaire ou en textant  ne respectent aucunement les piétons à Montréal, lorsqu’ils vont en Ontario ou bien aux États-Unis, ils respectent les piétons.  Pourquoi? Posez la question c’est un répondre.
Déconcertant, décourageant les messages de nos administrateurs de nos villes dans leurs limousines avec chauffeurs Madame Valérie Plante.
Réseaux routiers mal géré et le système de transport en commun.  
Et certainement à Montréal le transport en commun est bien commun ici. Surpeuplé avec les voyageurs  et les sièges réservés pour l femmes enceintes, avec enfants, handicapé, personnes âgées debout et qui doit s'agripper aux sangles du plafond du bus car ces sièges sont occupés par des personnes collectés à leurs cellulaires et tablettes et leur yeux dirigé vers le sol et le dégoût des autres utilisateurs.
 
L’espace public, les rues, boulevards ou avenue doivent être divisé équitablement avec les préoccupations de la sécurité de tous et nous devons avoir des gestionnaires innovatifs et des ingénieurs avec un cerveau et capable de raisonnement
Nous devons aussi ajouter, les lobbys des pistes cyclables coupes les rues et les trottoirs, et populaire et les cyclistes qui vous foncent dessus sur les trottoirs. Décidément  les piétons sont naturellement les perdants, ils ne paient les taxes sur le carburant et les plaques d’immatriculation
 
Exemples : donnons à nos vieux et aux jeunes plus de temps pour traverser les rues. Même les bus nous foncent dessus! 
C’est un génocide des piétons avec les 30 municipalités dans la grande région de Montréal, et des lois différents à chaque juridiction à Montréal. 
La Tour de Babel de Luc Ferrandez ségrégationniste, d'apartheid du maire Empereur dictateur du plateau
Il faudrait viser ce type d’inversion de courbes pour les piétons. Or, nos rues et trottoirs Québec, ont tué 44 en 2015 et 69 en 2018 et ne tenant pas compte des blessées, des membres cassés. 

Il faut impérativement rendre nos rues plus sécuritaires, et tous les gens même les piétons plus responsables.  Les piétons sont obligés de marchés dans la rue avec les voitures et une possible contravention de 50.00 $ et de son faire frappé
Des Montréalais se disent abandonnés par la Ville après que les trottoirs devant chez eux se sont transformés en patinoire avec la pluie et le gel des derniers jours.   
«Ça n’a juste pas de bon sens. Il faut que j’achète et que je répande moi-même du sel parce que la Ville ne le fait pas», s’indigne André Ladouceur chroniqueur dans nos médias.   

Ce résident de la rue Panet, dans le quartier centre-sud, est en furie contre la Ville qui n’a pas déglacé sa rue depuis au moins une semaine, comme en témoigne l’épaisse couche de glace pure qui recouvrait mercredi après-midi cette rue fortement inclinée. Un fait confirmé par plusieurs de ses voisins, dont Christophe Keller, qui avançait à petits pas en descendant ce toboggan naturel.   
 
Nous tombons et nous nous blessons boulevard Côte-Vertu à Saint-Laurent, Montréal
«J’ai déjà failli tomber plusieurs fois. Avec ma fille qui est assez jeune, ce n’est vraiment pas commode», explique-t-il.   
Sur le trottoir, aucune trace de gravier ou de sel fondant. Pourtant, Audrey Gauthier, porte-parole de la Ville de Montréal, a affirmé hier au «Journal de Montréal» que les résidents de la rue Panet avaient reçu deux fois la visite d’une épandeuse au cours des 24 dernières heures.   

DÉGLAÇAGE INÉGAL  à Montréal et les municipalités anglophones sont bien déneigés et le contraire dans les municipalités francophones qui sont des vrais bordel. Et ces municipalités francophones sont gérées par des babouins demeurent dans un pays sous développés du tiers monde.   
Même chose dans l’arrondissement d’Outremont où seules les traces de pas figées dans une épaisse couche de glace permettaient de distinguer les trottoirs bordant un parc assez fréquenté en temps normal.   
«C’est comme ça depuis Noël, alors qu’en temps normal, c’est assez bien dégagé. L’autre jour, je suis tombée devant chez moi, d’ailleurs», se plaint Christina Olivanti, rencontrée un peu plus loin, sur l’avenue Maplewood.   
 
Dans certains arrondissements, l’opération déglaçage était bien plus avancée, comme l’a constaté «Le Journal de Montréal».   
Dans le quartier Rosemont, entre autres, la grande majorité des rues visitées étaient sèches et parsemées de gravier, tout comme dans Verdun.   
À Anjou, où le maire Luis Miranda est pourtant connu pour être proactif en matière de déneigement, plusieurs artères majeures présentaient encore une chaussée en partie glacée, dont des boulevards majeurs.   
AVEC SA MARCHETTE   
Des aînés rencontrés à l’angle de la rue Beaubien Est et du Boulevard les Galeries d’Anjou, juste en face d’une importante résidence pour personnes âgées, peinaient à avancer sur les trottoirs glissants.   

«C’est très difficile, mais il faut que j’aille chercher une commande chez le pharmacien, donc je n’ai pas d’autre choix que sortir», confie Achour Aitmand avant de repartir, cramponné à sa marchette.   
«Il y a des bouts où c’est dur, surtout sur les bords des trottoirs lorsqu’il faut passer par-dessus les bancs de glace pour prendre l’autobus», indique Huguette Gagnon, ajoutant qu’elle utilise une canne uniquement l’hiver, pour l’aider à se mouvoir sur les trottoirs glacés.
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