jeudi 16 janvier 2020

Donald Trump Bravo d’éliminer ces pourritures islamiques et le terroriste Qassem Soleimani l’homme politique qui se tient fier et debout pour protéger son pays

Donald Trump Bravo d’éliminer ces pourritures islamiques et  le terroriste Qassem Soleimani l’homme politique qui se tient fier et debout pour protéger son pays. Est-ce que Justin Trudeau le pleure?
Qassem Soleimani terroriste iranien du général musulman, islamiste, terroriste criminel planétaire aduler activement  par l’actrice activiste démocrate Rose Mc Gowen, à la mosquée voilée cette  petite et minable actrice irresponsable, anti-américaine, anti nationaliste, anti patriotique, communiste nous décrit ses propres immoralités, ses connaissances politiques avec des commentaires Hitlérien, Nazisme, aussi irresponsable et  délirants afin d’être violé par le Prophète.
Qassem Soleimani a présentement la chance d’avoir 78 vierges, et j’espère qu’il n’a pas de pénis dans l’enfer à Allah!
«Vive les terroristes» Associations des Acteurs sans jugement d’Hollywood subventionné par les démocrates et Nancy Pelosi, espérant se faire pousser un pénis, une vrai conne.
Une actrice inutile Rose Mcgowan qui devrait être déporté à Guantanamo
L'actrice hollywoodienne Rose Mcgowan présente ses excuses à l'Iran pour la mort du terroriste Soleimani (1) 
Donald Trump a lancé un appel aussi à Kim Jong-un, dictateur de se calmer
C’est un des chefs terroristes  qui vient d’être abattu Bravo – rappelons que les Gardiens de la révolution ont été classés comme organisation terroriste par les États-Unis – la presse accable Donald Trump et en fait un dangereux va-t-en-guerre.
Il est vrai que lorsque nos journalistes n’encensent pas Macron, Justin Trudeau, Angela Merkel les activistes salafistes wahhabites fiers amis des Émirs du Golfe ils tapent sur Donald Trump «US Bashing ». 
Ces musulmans nous ont envahies avec leur raciste religieux ? Ils sont tous shootés au poison du politiquement correct,  inoculé dans nos écoles de journalisme, pour lesquelles le patriotisme a obligatoirement des relents d’extrême-droite. 
Nos drapeaux de nos pays occidentaux sont en bernes
L’Iran est une dictature qui ne souffre aucune contestation intérieure et entend propager la domination chiite dans le monde musulman. Téhéran tient une place majeure  dans l’expansion du terrorisme en Europe, au Canada avec Justin Trudeau le multiculturalisme et au Moyen-Orient.
Ceux qui accusent Donald Trump d’enflammer la région oublient que ce sont les Iraniens qui ont abattu, en 2018, un drone américain dans le détroit d’Ormuz. Tenté par des représailles immédiates contre les installations militaires iraniennes, Donald Trump s’était ravisé à la dernière minute, en rappelant ses bombardiers.
Lors des attaques contre les sites pétroliers saoudiens en 2019, Donald Trump a accusé Téhéran mais sans pour autant engager de riposte.
Un comportement résigné de la part du Président de la première puissance mondiale, qui a exaspéré les faucons du Pentagone et a sans doute encouragé les Iraniens à jouer la surenchère tout comme la Corée du Nord.
L’attaque de l’ambassade américaine à Bagdad aura été l’étincelle fatale au général Soleimani, jugé responsable de nombreux morts dans les rangs des soldats américains et des civils.
Donald Trump pouvait-il laisser passer leurs attaques successives?
Fallait-il risquer une prise d’otages comme celle de Téhéran en 1979, quand  56 diplomates et civils américains sont restés prisonniers des Iraniens pendant 444 jours ?
Fallait-il risquer un nouvel assassinat  d’un ambassadeur américain par des foules déchaînées, comme ce fut le cas en 2012 en Libye ?
L’Iran, l’Irak, la Corée du monde sèment la pluie, leurs terrorismes, leurs racismes, extrémistes non voilés et récolterons les foudres.
La première exigence d’un Président en exercice est de protéger son pays et son peuple. Contrairement à Justin Trudeau, Emmanuel Macron, Angela Merkel les destructions de leurs pays, de nos démocraties, valeurs chrétiennes
Un chef d’État ne se déguise pas en ballerine, ce n’est pas une mauviette
Éliminer un ennemi des États-Unis, devenu toujours plus menaçant, fait partie des décisions difficiles que doit parfois prendre un chef d’État. Néanmoins Justin Trudeau prêchait dans les mosquées comment nous agenouiller devant eux.
En politique, il n’y a rien de pire que le renoncement face aux défis. Donald Trump ne pouvait plus tergiverser et passer pour un lâche. Quelle que soit la riposte iranienne, l’Amérique est assez puissante pour assumer seule les conséquences de ses décisions. De toute façon, dans ces bras de fer, c’est Téhéran, Bagdad,  Pyongyang ont le plus à perdre.
Donald Trump n’est pas dangereux
Soleimani était sans doute le chef militaire le plus puissant et le plus vénéré en Iran, mais c’était aussi le pire ennemi des États-Unis. Cette opération ciblée montre qu’aucun ennemi de l’Amérique, aucun terroriste, aucun chef de guerre, où qu’il se terre, n’est à l’abri des foudres de l’Oncle Sam. Et pour les alliés occidentaux visés par le terrorisme, c’est plutôt rassurant.

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