dimanche 6 décembre 2020

Irène Mercier Deuxième partie CHLSD privé à Boucherville Deuxième partie

 Irène Mercier Deuxième partie CHLSD privé à Boucherville


Irène Mercier


Laprise est transféré à Boucherville  en ambulance et je l’attendais à la porte de ce CHLSD et je dis au propriétaire nous sommes quatre et nous viendrons à tour de rôle la visite entre 8H00 et 22H00 – 

Après deux semaines de recherchent les responsables ils l’envoient dans CHSLD privé et subventionné à Boucherville, aucun disponible à Longueuil.  Nous devons payer les frais entre le privée et le publique environ $750. 00 par mois et les médicaments n’étaient pas inclus.  

Je devais aller à un autre CHLSD à Longueuil pour leur amener le $750.00 en personne à tous les mois car il n’acceptait pas le chèque par la poste et je devais signer

Donc je communique avec la pharmacie Jean-Coutu à Boucherville et demande au propriétaire de lui donner tout ce qu'elle a et de m’envoyer la facture et lui enverra un chèque.

 Deux à trois par semaine j’allais en autobus à Boucherville déjeuner avec elle, un trajet de 3 heures aller-retour. Maman était heureuse de me voir, je lui amenais des tomates et d’autres choses qu’elle voulait.

Irène Mercier était assise sur sa chaise roulante avec trois vieilles dames et moi au restaurant. Je prenais le déjeuner avec ces dames et une fois une dame me demande comment se fait-il que vous veniez la voir si souvent. Je lui répondis que c’est ma mère et c’est tout.  Elle me dit que sa fille n’a pas été la visiter depuis 20 ans, qu’elle n’appelle pas du tout.  Une autre vieille me dit presque la même chose.  Maman leur a répondu qu’elle avait des enfants reconnaissants.

En soirée CHSLD privé, la directrice m’appelle qu’au retour d’un examen à l’Hôpital Pierre Boucher, que les infirmières l’ont échappé par terre et brisée 3 côtés.

Le lendemain je vais à ce CHSLD une nouvelle directrice me dit de faire un rapport à la police de Boucherville, 2 heures de bus.  Après avoir fait rapport aux deux agents, ils me disent qu’ils ne peuvent rien faire les vieux tombent par accident, et qu’il n’a pas eu faute de leur part.

Une bonne journée, l'administrateur me dit que nous sommes presque les seuls à visiter leurs parents!

Irène Mercier demeura à cet endroit pendant environ 4 ou 5 mois.  Après je reçois un appel de l’Hôpital Pierre  Boucher et qu’elle sera transférée dans un CHSLD publique. Ce CHSLD était voisin du privé.  Nous attendions l’ambulance qui N’est jamais venu et Michel et Renaud ont transféré maman dans la neige en chaise roulante au nouveau CHSLD

Troisième partie CHLSD publique

La directrice du CHSLD publique me dit qu’elle doit être dans cette nouvelle demeure avant 10H00 et signé des papiers comme quoi je paierais tous les frais encourus par ma mère.  CHSLD de Longueuil m’envoyait lors des factures par la poste et je pouvais payer par courrier, toujours un mois d’avance

Et par après ils lui ont amené ses vêtements et autre chose dans une chambre simple au deuxième étage avec une toilette pour deux chambres. Je n’ai jamais plus mangé avec ma mère depuis ce temps-là.

Et j’ai fait le tour du deuxième étage.  Au bout complètement il y avait deux portes fermées mais ils avaient oublié de la cadenassé.  Donc je rentre, et je vois des personnes Alzheimer et en fin de vie dans ces chambres, qui criait, les yeux vitrés, dégueulent, et autres, l’enfer

À nouveau deux jours j’allais la voir, mais elle ne pouvait pas marcher et se déplacer.  Irène Mercier ne marcherait plus jamais, elle restait dans son lit pour manger, dormir, etc.

Une bonne journée avant qu’elle tombe dans le coma maqam était heureuse fraîche comme une jeune fille.   L’infirmière arrive dans la chambre et nous dit qu’elles ont des robes spéciales pour les malades ayant un gros espace pour aller à selle.  Je lui demande de me montrer je n’avais jamais vu cela et elle était rose, et me dit Alain je veux une.  Je dis à l’infirmière de m’envoyer une facture.

Ce que je me suis aperçu avant de mourir ou le coma la vie nous donne un 24 heures heureux et sans maladie.  C'est-à-dire le début de la fin.

Durant plusieurs semaines elle n’était pas nourrie, ne buvait pas ce qu’il appelle laisser mourir affamé durant des semaines.  Lisette l’appelait et maman ne pouvait plus parler et elle n’arrêtait de siller au téléphone, l’infirmière lui tenait le téléphone.

Je me rappelle aussi que Michel lui tenait la main et même dans le coma elle répondait par ses doigts.



Aucun commentaire:

Publier un commentaire