Scott Moe premier ministre de la Saskatchewan veut que les parents soient informés l’identité de genre à l’école les jeunes les plus vulnérables, notamment ceux s’identifiant aux lobbys de LGBTQ+.
Le gouvernement de la Saskatchewan se sert de la clause nonobstant de la Constitution pour faire appliquer une directive portant sur l’identité de genre à l’école après son invalidation temporaire par un juge défroqué et sans jugement.
Fin août, le premier ministre conservateur Scott Moe a adopté une politique pour que les parents d’enfants de 16 ans et moins soient tenus d’être informés et consentants lorsque leur progéniture réclame un changement de nom et de pronoms à l’école.
Dans une déclaration publiée jeudi, M. Moe s’est dit Extrêmement préoccupé par le fait que la cour a outrepassé ses responsabilités judiciaires à l’encontre de l’inclusion des parents et de leurs enfants et de choisir avec toutes les incidentes que causerait durant leur vie en société.
Deux adolescents de quinze ans ont été inculpés mercredi pour le meurtre d’une jeune en Colombie Britannique transgenre de seize ans, Brianna Ghey, qui a provoqué l’émotion dans la communauté LGBT+ Justin
Scott Moe que l’injonction invalidant temporairement sa politique a été accordée par un juge de la Cour du Banc du Roi.
La position de base ne devrait jamais être de cacher les informations de l’enfant à ses parents selon la constitution
Le ministre fédéral de la Justice à Ottawa, Arif Virani, a publié un communiqué dans lequel il souligne les inquiétudes du juge selon lesquelles la politique causerait irréparables chez ses jeunes les plus vulnérables ne connaissant pas la vie en public
Scott Moe de violer des droits individuels ne devrait pas être une décision prise à la légère de la part des juges sans jugements pensant qu’ils pensent l’autorité parlementaire, les Gouvernements des juges
Scott Moe plaide que sa politique reçoit un appui largement majoritaire auprès de la population de la Saskatchewan.
La question lui semble pressante puisqu’il a décidé de rappeler les députés au parlement provincial quelques semaines en avance pour pouvoir déclencher la clause nonobstant.
Nous voici au Québec des gouvernements qui ne gèrent pas de peur de n’être réélu afin de plaire aux caprices de tous et chacuns
M. Bernard Drainville, ministre de l’Éducation du Québec et je dois demander les permissions à nos syndicats avant de légiférer .
Nous nous inquiétons de la tendance prise par les écoles, dans le cadre des mesures de soutien relativement à l’identité de genre, à cacher aux parents des informations essentielles sur leurs enfants.
Blaine Higgs premier ministre du Nouveau-Brunswick, le premier ministre modifie la politique 713 de sa province pour que les parents d'un mineur soient informés des demandes de changement de nom, pronom ou mention de sexe de leur enfant à l’école e doit informer les parents de tels changements concernant leurs enfants, ainsi que du matériel pédagogique utilisé dans les matières sensibles telles que l’éducation à la sexualité. Cela semble aller de soi.
Et voici les procédures de Pingouins nonchalant offrant la nation Québécoise les bras ouverts à toutes diversités à l’opposé de la Saskatchewan et le nouveau Brunswick et le ministère de la Justice Fédérale
Le ministre jette l’éponge aux écoles concernant les directives pourtant crucial en société
Bla! Bla! Bla! Bla! Bla! De gérer Mesures d’ouverture et de soutien envers les jeunes trans et les jeunes non-binaires, il est conseillé aux établissements scolaires de «mettre en place un processus visant à faciliter le changement de prénom choisi et de la mention du sexe du jeune dans les documents internes», sans l’obligation d’en informer les parents.
De telles recommandations n’ont aucune base législative. Selon la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels, les parents ont accès au dossier de leur enfant jusqu’à 18 ans.
Afin de cacher l’information aux parents, les écoles usent d’un subterfuge consistant à modifier la façon de s’adresser au jeune à l’école, mais sans l’indiquer explicitement dans son dossier. C’est inadmissible.
S’il existe bien des exceptions légales à la divulgation d’informations aux parents, celles-ci concernent des situations bien particulières se rapportant au dossier médical de l’enfant.
Mais c’est alors aux services hospitaliers et de soins de santé, et non à l’école, qu’incombe la responsabilité d’informer ou non les parents. En aucun cas les responsables scolaires ne sont autorisés à se substituer aux professionnels de la santé.
Pour ce qui est de la transition sociale en tant que telle, elle est décrite dans le rapport comme une intervention active ayant des effets significatifs sur le fonctionnement psychologique de l’enfant. Une étude récente suggère qu’elle n’apporterait aucun avantage pour la santé mentale, et selon une autre étude, la relation avec la famille et les pairs serait plus significative que l’affirmation de genre comme indicateur de bonne santé mentale.
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