lundi 1 novembre 2021

Dr. François Marquis livre à cœur ouvert dans – Mes carnets de pandémie témoignage de son expérience vécue en tant que médecin intensiviste au cœur de la crise socio sanitaire, COVID-19.

 Dr. François Marquis livre à cœur ouvert dans – Mes carnets de pandémie  témoignage de son expérience vécue en tant que médecin intensiviste au cœur de la crise socio sanitaire, COVID-19. 

Dr. François Marquis raconte comment il avait trouvé éprouvant de se retrouver, aussi fréquemment, à accompagner des patients qui mouraient sans leur famille, n’ayant pas accès à l’hôpital.

«Aucun professionnel de la santé n’est insensible à la mort. On porte en soi chaque patient perdu», a-t-il écrit dans ses carnets.

Dr. François Marquis, vedette de 24/7 diffusée depuis 2015 à Télé-Québec, où une équipe de télévision filme des patients et leurs cliniciens à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont.

Ses contributions de plus en plus fréquentes aux bulletins d’information radiophoniques et télévisés – incluant deux apparitions à Tout le monde en parle en six mois – feront de lui une des étoiles de la pandémie. 

Il a alors accepté l’invitation, lancée par sa collègue Dre. Marie Lambert-Chan, de partager la façon dont il avait vécu la pandémie, par le biais d’une conversation franche qui a été enregistrée.

 «C’était comme de parler à une amie. Le fait de créer un climat de confiance et de confiance m’a aidé. On a essayé de rester absolument vrais».

Le projet visait à produire des billets publiés dans la revue Québec science», mais il a ensuite pris la forme d’un livre qui offre plus de profondeur.

L’équipe soignante a essayé avec acharnement de connecter les familles avec les moyens technologiques, comme Zoom, Teams ou Skype, pour qu’elles vivent les derniers moments de leur proche. Or, les tentatives ont trop souvent échoué…

Dr. François Marquis intraitable

Dr. François Marquis, médecin intensiviste de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont a exprimé sa frustration envers les non-vaccinés en occurrence, le Dr. MAXIME BERNIER, POLITICIEN, infectionniste mentale au dépotoir de Beauceville étant le principal déchet non-recyclable et non-recyclé.

Dr. Maxime Bernier, adresse postale, 10 rue des dépotoirs à déchets, Canada,  et par signaux de fumée 1-800 - JUNK- BERNIER, qui ont gravement nui au réseau de la santé.

Les anti-vaccins ont créés des manques de plus de 50 % de nos personnels soignant dans les hôpitaux, cliniques, CHSLD, etc.

Dr. Maxime Bernier a accumulé plus de 100 000$ en contraventions pour ses discours criminels anti-vax  d’un océan à l’autre, l’armée du Salut pourra vous fournir de la nourriture et des vêtements mouillés.

AUX FRONTS

Dr. François Marquis s’est offusqué que des gens doublement vaccinés, qui respectent toutes les mesures socio sanitaires, soient privés de chirurgies importantes, à cause de récalcitrants non vaccinés qui attrapent la COVID-19 et qui doivent être traités en priorité.

Dr. François Marquis est  intraitable envers ces docteurs des trempes du Très Honorable, Dr. Maxime Bernier, mon but est de démystifié les systèmes de santés et  député déchu au fédéral et compagnie à l’égard du personnel en santé qui refuse de se faire vacciner contre la COVID-19, une maladie grave et mortelle.

«Ce sont des comportement de personnes irresponsables qui mettent à risque l'ensemble de la société.

Dr. François Marquis se demande-t-il, est-ce qu’on laisserait des alcooliques conduire des autobus scolaires ou bien laisserons-nous des aveugles piloter des avions?», a-t-il questionné aux Syndicats ou professionnels de la santé ne voulant se faire vacciné de leurs égoïstes et de leur seul et unique choix personnel.

Dr. François Marquis s’est également dit inquiet des «trolls», «wokes», «des hurluberlus talentueux, des désinformations sur les réseaux sociaux est devenue le sport national de certain 

Prises de consciences collectives

Avec son livre, Dr. François Marquis souhaite faire comprendre à la population l’impact de ses actions sur les milieux de soin, durement éprouvés, et des restrictions imposées.

Au terme de la pandémie, il espère que le réseau de la santé aura la décence et l’humanité de faire les prises de conscience qui s’imposent et fera preuve de résilience pour honorer la mémoire des défunts.

«Sinon c’est une insulte aux patients et leur famille», a conclu le médecin.

Dr. Alain Vadeboncœur aurait bien pu devenir mathématicien plutôt que médecin       

Dr. Alain Lamarre a contribué pendant cinq ans aux travaux d’un prix Nobel de médecine en Suisse        

Dr. Denis Leclerc C’est une découverte sur un virus végétal qui a fait bifurquer  de l’agronomie à l’immunologie ;        

DR. François Marquis a fait le choix de devenir médecin au bord d’une piscine alors qu’il était sauveteur.                

Si les parcours sont tous uniques, le point commun unissant ces gens s’est toutefois révélé durant les 18 derniers mois. Ils ont appris à faire partie du débat public au quotidien et à partager leurs connaissances. 

Médecins, spécialistes, INFIRMIÈRES, PRÉPOSÉS, AUTRES contre le COVID-19

Dre. Diane Lamarre, par exemple, donnait cinq entrevues par jour sur les ondes de TVA et de LCN. 

Dre. Roxane Borgès Da Silva en est à 860 citations médias depuis le début de la crise, de l’économie à la santé.

Dre. Caroline Quach-Thanh à plus de 1000 citations 

Dr. Mathieu Simon – un scientifique qui rêvait de chasser les dinosaures

Dr. Karl Weis microbiologiste et infectiologue

Dr. Gaston De Serres, épidémiologiste à l’INSPQ

Dr. Alain Lamarre, virologue et immunologue à INRS

Dr. Nicholas Brousseau, Médecin-conseil à l’INSPQ

Mme. Nathalie Grandvaux  professeure et directrice de laboratoire CHUM

Ces gens l’ont fait pour que le public comprenne les enjeux complexes de cette pandémie.

«C’est ma contribution à la crise, encore plus que ma recherche, je crois, de réussir à vulgariser les choses», affirme le virologue Dr. Alain Lamarre, pour qui ce lien était primordial. «Dans le contexte, c’était important que les gens comprennent.»

«Si le gouvernement ne comprend pas aujourd’hui l’importance d’investir, je ne sais pas ce que ça prendra», lance le chercheur Denis Leclerc, qui, comme ses collègues, espère qu’un financement stable sera au rendez-vous.

Le professeur Rémi Quirion était une étoile de la recherche sur les maladies du cerveau à l’Université McGill quand il a été nommé «scientifique en chef» du Québec, en 2011.


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