mercredi 11 juin 2025

Radia Boukheroufa révolutionne l’urgence de l’hôpital général de Montréal, travaillant pour des solutions aux urgences débordées en ouvrant un centre de jour pour des soins non urgents, qui lui a permis de voir plus de 2000 patients et libérer des lits

 Mme. Radia Boukheroufa révolutionne l’urgence de l’hôpital général de Montréal, travaillant  pour des solutions aux urgences débordées en ouvrant un centre de jour pour des soins non urgents, qui lui a permis de voir plus de 2000 patients et libérer des lits.

C’est vraiment pour raccourcir l’hospitalisation des patients et donner une alternative à l’urgence, explique la cheffe d’unité des soins infirmiers à Inauguré il y a un peu plus d’un an, le centre de jour permet à des patients qui poireautant normalement à l’urgence d’avoir accès à des traitements. 

Des patients qui ont besoin d’un suivi médical, sans toutefois devoir rester sur place, explique Mme Boukheroufa.

Par exemple, le centre de jour accueille les malades qui ont besoin d’injections de fer, d’antibiotiques ou même des traitements contre le cancer, mais qui peuvent retourner à la maison ensuite.

10 lits libérés

Le directeur associé aux soins infirmiers, M. Gino Curadeau, estime que la nouvelle unité a permis à l’hôpital de libérer l’équivalent de 10 lits d’hospitalisation. En plus de réduire le temps sur civière des visites à l’urgence.

M. Gino Curadeau, il faut que le patient soit assez stable pour venir ici et retourner à la maison», dit-il.

L’équipe est surtout formée d’infirmières, mais compte aussi un médecin pour les évaluations.

L’urgence peut référer des cas, mais le centre de jour fait aussi les suivis à la suite d’une hospitalisation, par exemple.

Ce sont des patients qui sont souvent laissés à eux-mêmes, n’ayant pas d’autre choix que de se rendre à l’urgence en cas de problèmes.

Agence de santé du Québec son rôle principale c’est de mettre les bâtons dans les roues à prouver des inefficacités des inégalités dans le système contrôler par les fédérations de médecins, différents syndicats lobbyiste de toutes sortes

Ce qu’est extraordinaire aucun patient, malade recevant des services sont invités à débattre aux tables de discussions au Ministère de la Santé

Ce que je donnerai ici comme exemples que dans certaines religions progressistes les femmes ne peuvent sortir de la maison ou bien voir un médecin. Donc le mari ou ses frères, les males uniquement  de la femme malade explique au médecin mâle -  les problèmes physiques et mental féminine de son épouse

Le ministère de la santé du Québec.

NON Bla, Bla, Bla, considérant que ce ne sont pas des fonctionnaires, des hauts ronds de cuire cimenté à leur bureau ainsi que des médecins payé à ne rien faire parlant tel que commères autour de tables  sachant que s’ils trouvent une ou des solutions pouvant attitrés aux services de l’État, sachant que chacun cherche à conserver son emploi

Dur à dire, car la nouvelle agence Santé Québec, pourtant chargée des opérations dans le réseau et d’identifier les meilleures pratiques, a référé  au ministère de la Santé. 

Ce pousse crayon, ce gratte-papier du Ministère de la Santé du Québec nous souligne par courriel que ce projet fait partie de plusieurs initiatives qui visent à optimiser les services ambulatoires réponse de politicien qui s’en lave les mains.

Mais M. Curadeau est convaincu que oui. Le pousse-pousse  souligne que le plan est d’allonger les heures d’ouverture du centre de jour et une demande a été faite pour y inclure des infirmières praticiennes spécialisées (IPS) dont personne n’a jamais rencontré, chasse gardé des médecins et des fédérations médicales.

En un peu plus d'un an, le centre a reçu 2868 visites

1194 patients pour investigation en provenance des urgences

660 patients pour suivi post-hospitalisation, référés des unités de soins pour congés précoces ou suivi

972 patients du domaine ambulatoire

42 patients référés de la ligne de soutien téléphonique post-hospitalisation


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