mercredi 6 février 2019

Justin Trudeau, François Legault- Robert Perron - Simon Drouin- et en Afghanistan - Agresseurs sexuels ou pédophiles individuel ou bien les pédophiles religieux indépendamment des religions incluant le lien du Régistre à la GRC

Justin Trudeau, François Legault - les ministres de la justice - Agresseurs sexuels ou pédophiles individuel ou bien les pédophiles religieux indépendamment des religions
 
Robert Perron à l’endroit de quatre jeunes filles âgées de 14 à 15 ans délinquant sexuel  a plaidé coupable condamné à 54 mois de prison pour des crimes à caractère sexuel souhaite changer de nom et en a fait la demande au Directeur de l’état civil.
Les agresseurs sexuels ou pédophiles individuel ou bien les pédophiles religieux indépendamment des religions réfèrent  à toute personne ou tout groupe qui commet une agression sexuelle, qu’elle soit commise ou non sur un mineur, alors que le délinquant sexuel réfère à un individu ayant été reconnu coupable d'avoir commis une  infraction criminelle de nature sexuelle vis-à-vis des enfants.
Ce n’est pas une maladie mais des déviances sexuelles, voir les documents du Dr. Pierre Mailloux qui est le seul, l’unique psychiatre à vouloir arrêter ses prédateurs, mais le Conseil de discipline du Collège des Médecins du Québec qui l’a radié pour plusieurs d’années.
Ce terme renvoie à l’analogie du prédateur qui poursuit et chasse sa proie pour illustrer une personne qui serait constamment à l'affût de cibles potentielles sur lesquelles commettre des agressions sexuelles, ce qui représente le comportement d’une minorité d’agresseurs
Robert Perron libéré en octobre 2017 après avoir purgé la totalité de sa peine,  aujourd’hui âgé de 37 ans, souhaite changer son nom pour Robert Lévesque.
Dans la requête de 11 pages au Palais de justice, Perron allègue entre autres qu’un « délinquant ne devrait pas payer plus d’une fois son crime».
« Le fait de publier dans les journaux et sur internet son changement de nom reviendrait à toujours pouvoir l’identifier comme Robert Perron et changeant mon nom de famille ma déviation sexuelle disparaitra pour de bon  », ajoute-t-il.
Par ailleurs, dans son rapport de libération conditionnelle datant d’octobre 2017 obtenu par Le Journal, les commissaires estiment que Robert Perron représente un risque de récidive évalué à «modéré-élevé ainsi qu’une dangerosité sociale élevée».
Liste des prédateurs sexuels au Registre national des délinquants sexuels de la Gendarmerie Royale du Canada (RNDS) lien ci-dessous :
Simon Drouin

Simon Drouin, 33 ans, a comparu vendredi après-midi au palais de justice de Saint-Jérôme, pour faire face à 87 chefs d'accusation de nature sexuelle sur 70 adolescents.
Simon Drouin est accusé d’agression sexuelle, de leurre d’enfant, d’exhibitionnisme, de production et de possession de pornographie juvénile et d’incitation à des contacts sexuels. Il doit revenir lundi devant le tribunal.
« La majorité des victimes sont des victimes de leurre. Ce sont des crimes qui sont commis par le biais de l'Internet, des conversations à caractère sexuel qui ont lieu avec quelqu'un de moins de 18 ans »
Simon Drouin, qui habite à Saint-Faustin-Lac Carré, dans les Laurentides, aurait commis ses crimes entre 2010 et 2015.
Il aurait pris contact avec ses présumées victimes, âgées de 13 à 17 ans, via des réseaux sociaux ou des services de rencontre sur Internet.
« Rapidement, on se dirigeait vers des discussions à caractère sexuel et des invitations par la suite, relate Éloïse Cossette, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ). Il y a même eu dans certains cas des rencontres avec soit de l'incitation à des contacts ou carrément des agressions qui auraient été commises. »
Les présumées victimes habitent les Laurentides, la Montérégie et la région de Montréal.
Simon Drouin a été arrêté hier matin par la SQ au garage municipal de la ville de Mont-Tremblant, où il travaille depuis 2007 comme technicien en travaux publics.
En 2016, il avait été arrêté par la police de Saint-Jérôme en lien avec de la pornographie juvénile et il attendait de subir son procès.
En raison du grand nombre de victimes que laissait présumer l'examen du matériel informatique saisi, le dossier a été remis à la Sûreté du Québec (SQ) et a été confié aux enquêteurs sur les crimes en série.
Simon Drouin pourrait avoir fait d’autres victimes au Québec et dans d'autres provinces, indique Éloïse Cossette. La SQ invite d'ailleurs le public à lui transmettre des informations sur de possibles autres crimes.
 

Afghanistan

Garçons imberbes, en esclavagisme et prédateur sexuel ou pédophilie sexuel à Kaboul en Afghanistan
Bacha Bazi  en Afghanistan littéralement jouer avec des garçons imberbes, est une forme d’esclavagisme sexuel, la prostitution de garçons pré-pubères, d’adolescents vendus à des hommes riches ou puissants pour des divertissements sous forme de danse et des activités sexuelles, homosexuelles.
Cette entreprise prospère en Afghanistan, où de nombreux hommes les possèdent comme symbole de leur statut social. Certaines des personnes concernées déclarent avoir des relations sexuelles forcées. Les autorités tentent, de réprimer la pratique car la plupart des hommes sont puissants, bien armés, voire d’anciens commandants.

La danse des garçons Afghans
Dans une rue de Kaboul, on peut voir de jeunes garçons, déguisés en filles, danser devant une assemblée d’hommes mûrs.
Les bacha bereesh, littéralement « garçons imberbes », ont été repérés dans la rue pour leur beauté.
Issus de milieux très pauvres et propriété de leurs riches maîtres, ils sont exploités sexuellement et parfois maltraités jusqu’au meurtre. En réalité, le bacha bazi est en pleine expansion.
Un propriétaire et imam  pratique ce sport, des relations sexuelles avec des garçons de 15 ans ou moins depuis des dizaines d’années.
 
A propos des garçons, il raconte : « On les habille et on leur met des clochettes. On aime les voir danser… S’il y a du pouvoir et de l’argent, ils sont partants. » Un Imam a un autre discours..
« Ma famille a très peu d’argent. Je n’ai pas de quoi la faire vivre.  Dans le nord du pays, réputé pour la beauté des garçons, des entremetteurs passent leur journée à repérer dans la rue de nouvelles proies.


La pratique est illégale en vertu de la loi afghane, étant « à la fois contre la charia et le code civil malgré que dans le Coran, le Prophète utilisait les jeunes filles pré-pubères sexuellement », mais les lois sont rarement appliquées contre les délinquants puissants parmi l’élite politique très riche et puissante.
Au Canada marié des jeunes filles pré-pubère est illégale cette pédophilie dans plusieurs des religions qui arrivent sur notre territoire.
En Arabie saoudite, au Yémen et autres pays religieux islamiques pratiquent la pédophilie caché, tel Tariq Ramadan porte parole officiel sur toutes les tribunes internationales, salafiste, terroriste extrémiste menteur,  et était ami du gouvernement de Justin Trudeau qui le louangeait à Ottawa et accusé de pédophilie en France, et en Suisse.
Pape François

Le pape François a reconnu le 27 janvier 2019 au Panama que l'Eglise catholique, "blessée par son péché", "n'a pas su écouter", dans un message adressé à des prêtres, des évêques, séminaristes et religieuses au milieu des scandales d'agressions sexuelles qui éclaboussent l'institution.
États-Unis et nos alliés militaires
Le Pentagone aux Etats-Unis impose le silence dur les abus sexuels de ses alliés Afghans, Pakistanais
Le ministère de la défense empêche des militaires américains de dénoncer les viols d’enfants commis par les alliés jusque sur leurs propres bases militaires
(Publié le 22/09/2015) « Les abus sexuels commis sur des enfants par des responsables des forces armées et de la police afghanes décrits par des militaires américains qui ont servi en Afghanistan sont révoltants”, souligne The New Time dans un éditorial le 20 septembre, selon lesquelles – “plus révoltant encore” : “Les soldats et marines qui ont voulu intervenir et dénoncer ces faits ont été empêchés de le faire par leur hiérarchie.”
L’esclavage sexuel des jeunes garçons “est un problème de longue date en Afghanistan”, rappelle le journal. Cette pratique, particulièrement répandue dans les campagnes, parmi les commandants de région, est connue sous le nom de “bacha bazi”.
Mais le fait que le Pentagone a contraint les militaires américains à fermer les yeux sur ces sévices qu’ils avaient rapportés, notamment depuis 2011, y compris lorsque ces abus ont eu lieu sur des bases américaines, est un pur scandale, s’emporte le journal. Les soldats témoins se sont vu “ordonner d’ignorer ces abus et de détourner leur regard car cela fait partie de la culture locale”.
Une politique indulgente et complice des Américains
En intimant aux soldats américains de ne pas réagir et en les blâmant lorsqu’ils ont osé le faire, le Pentagone s’est rendu complice et “a choisi de sacrifier des enfants vulnérables afin de conserver de bonnes relations avec ses alliés afghans dont il a besoin pour lutter contre les talibans”.
Cette politique “indulgente voire complice du ministère de la Défense américain vis-à-vis des pédophiles dans les rangs des forces armées afghanes est indéfendable, conclut The New York Times, et aux antipodes des valeurs américaines et des lois internationales. »

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