Jose Portillo Bienvenidos au Québec et tombé amoureux de Thetford Mines et ainsi que le barbier Marcos Dauzon à Plessisville Ici, au Québec tu te promènes dans la rue et les gens te saluent et vous vivez en paix en terre Québécoise.
Tu n’es pas un immigrant au Québec, tu fais partie intégrante de la communauté, les habitants que tu côtoies te saluent et de la culture Francophone et vivons en symbioses ayant les mêmes coutumes de liberté religieuses occidentales de pensée et libre comme un oiseau pour y construire nos avenirs.
À Thetford Mines, un homme originaire du Salvador a assisté à l’arrivée de migrants dans la ville et en a profité pour adapter son commerce en offrant des produits mexicains et colombiens
Jose Portillo et son épouse Ping Xie, propriétaires du dépanneur, épicerie Chez Marie-Anne, rue Notre-Dame à Thetford Mines.
Nous sommes tombés amoureux de Thetford. Tu vas peut-être faire moins d’argent qu’à Montréal dans un business, mais tu as la paix, la tranquillité.
M. Portillo s’intéresse à la politique québécoise et n’a jamais demandé des accommodements et n’a jamais raté les célébrations de la Saint-Jean.
M. Portillo Je dirais que 90% des travailleurs temporaires aux exceptions suivantes anglophones et ayant des têtes enrubannés et non intégrable mentalement bloquer
Pierre Fortier, maire de Plessiville les latinos sont devenus indispensables: la rue principale, la ville reprend vie à Plessiville de fier citoyen du Québec
Un resto mexicain, une petite épicerie spécialisée et un barbier latino sont désormais installés au cœur du centre-ville
Des commerces latinos installés sur la rue principale de la petite municipalité ajoutent de la vie dans son centre-ville, qui dépérissait tranquillement à vue d’œil tel que le Québec Justin Trudeau le souhaite
Un restaurant mexicain, une tabagie spécialisée en produits latinos et un salon de barbier dont le propriétaire est du Nicaragua ont désormais pignon sur rue à un jet de pierre de l’hôtel de ville.
Cette oasis Latina est tout sauf banale dans une municipalité rurale et industrielle d’environ 10 000 âmes, qui s’est récemment ouverte à l’immigration.
Dans la dernière année, 55 travailleurs originaires de l’Amérique du Sud ont été accompagnés par l’organisme Impact Emploi pour s’installer à Plessisville même.
Marcos Dauzon, le barbier Évolution 505 compte nombre de ces immigrants parmi ses clients, mais aussi plusieurs Québécois.
«Ils me demandent souvent d’où je viens, si j’aime la région, si j’aime le hockey... je leur réponds: “Go, Tigres, go”», raconte en riant le barbier Marcos Dauzon, un demandeur d’asile du Mexique qui a assisté à quelques matchs de l’équipe de Victoriaville.
On les voit dans les usines, en travaillant, dans les restaurants, les résidences pour personnes âgées... Ils sont devenus indispensables.»
Un nouveau souffle
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