jeudi 3 octobre 2024

Honorable Randy Boissonnault pouvez-vous corriger cette injustice flagrante de l’assurance à 84 ans de suivre des séances de l’intégration à l’emploi

Honorable Randy Boissonnault Ministre

House of Commons

Ottawa, Ontario,
Canada K1A 0A6

Honorable Randy Boissonnault Ministre de l’Emploi du Canada, du Développement de la main-d’œuvre et des Langues officielles

Bonjour, Monsieur le Ministre

Honorable Randy Boissonnault pouvez-vous corriger cette injustice flagrante de l’assurance à 84 ans de suivre  des séances de l’intégration à l’emploi

Espérant recevoir une réponse favorable pour Mme Colette Lachance  et  tous vos charges de travail Herculéen pouvez-vous résoudre et faire faire les paiements qu’elle y droit

Merci pour votre aide

Mme Colette Lachance son histoire :

Mme Colette Lachance l’ainée de 84 ans obligé d’assister à Mise à pied récemment, une travailleuse âgée de 84 ans est contrainte, comme n’importe quel jeune adulte au chômage, et de l’obliger  d’assister à des rencontres de groupe pour favoriser son intégration au marché du travail, sans quoi elle perdra son droit aux prestations d’assurance-emploi.

«Pensez-vous que je ne sais pas comment me trouver de l’emploi à mon âge? J’ai travaillé toute ma vie, bonté divine! J’ai 84 ans (...).  D’ici 5 ans elle sera peut en centre pour personne âgée

Pouvez-vous demander aux fonctionnaires dont ils travaillent très  efficacement d’utilisé leur jugeote dépendamment l’âge de l’individu 

Je ne suis pas encore prête à devenir la vieille que je suis!» lance d’un trait Colette Lachance, surprise des exigences strictes.

Par pur plaisir, l’octogénaire occupait encore jusqu’à tout récemment un emploi à la tabagie de l’hôtel Château Laurier, sur Grande Allée. 

Le commerce a toutefois été vendu.

En autobus

Après un déménagement dans le secteur de Vanier, elle faisait quand même le long trajet pour chaque quart de travail. En autobus, il faut compter jusqu’à deux heures, avec une marche à partir du boulevard René-Lévesque à la fin.

«La tabagie était à vendre depuis cinq ans. Avec 16 heures par semaine, je ne faisais pas d’argent avec ça. Je prenais le taxi pour revenir. Ça faisait 18 ans que j’étais là et j’aurais continué. 

C’était pour garder la forme physique et mentale», précise-t-elle.

Ouverte à un retour au travail, Mme Lachance n’est pas prête à accepter n’importe quoi même si sa condition physique est excellente.

«Si je ne me présente pas, ils vont me couper. Je me fiche du montant, c’est une question de principe. 

Si je peux aider d’autres personnes, tant mieux. Il y a sûrement des gens qui en ont besoin plus que moi. Ce n’est pas parce qu’on prend de l’âge qu’on n’est plus bon!»

Sur Teams

Le document est clair. La rencontre prévue le 8 octobre prochain doit effectivement servir à explorer les différentes possibilités qui s’offrent à elle en matière d’emploi.

«Vous recevrez à cette occasion de l’information sur le marché du travail et sur les différentes activités qui pourraient favoriser votre intégration au marché du travail», indique la convocation, précisant du même coup que la présence est obligatoire.

Sans raison valable, Mme Lachance risque de perdre son droit aux prestations. De surcroît, la rencontre par visioconférence se tient sur la plateforme Teams. «Je ne sais même pas comment ça marche!» dit-elle.

Toujours très active, la dame ne veut pas non plus faire de fausse déclaration. «Je ne veux pas ça. Mon conjoint est malade. 

Pas de distinction

Selon une porte-parole de chez Emploi et Développement social Canada, le régime ne fait pas de distinction fondée sur l’âge. Toutes les personnes qui cotisent à l’assurance-emploi sont en droit de recevoir des prestations à condition de satisfaire aux conditions d’admissibilité.

Selon les règlements, pour déterminer si un emploi est convenable, le régime doit appliquer un critère en examinant si l’état de santé et les capacités physiques du prestataire lui permettent de se rendre au lieu de travail et d’effectuer le travail.

«Il faut que ça change. J’ai demandé de rencontrer quelqu’un. Ils ont dit non. Je l’ai payé, mon chômage. Pourquoi je n’y aurais pas droit?» termine Mme Lachance.

Pourquoi lui mettre des bâtons dans les roues

Twitter

https://x.com/r_boissonnault?lang=fr

Email

randy.boissonnault@parl.gc.ca

Randy Boissonnault  ministre

Facebook

Randy Boissonnault  ministre

https://www.facebook.com/R.Boissonnault

Telephone: 613-992-4524
Fax: 613-943-0044

Cc: Cogeco Média, Journal de Montréal et Québec, The Montréal Gazette, The Toronto Star, le National Post, Radio-Canada


Aucun commentaire:

Publier un commentaire