Patrick Brown maire de Brampton elles peuvent sembler inusitées contre la loi 21 sur laïcité au Québec, les interventions ne sont pas étrangères à ses ambitions politiques de cacher ses inconduites sexuelles.

Patrick Brown maire de Brampton elles peuvent sembler inusitées contre la loi 21 sur laïcité au Québec, les interventions ne sont pas étrangères à ses ambitions politiques de cacher ses inconduites sexuelles.

«Ce n’est pas une coïncidence, ce n’est pas anodin que ça vienne de lui», estime la politologue Stéphanie Chouinard. «C’est certainement une façon de plaire à son électorat local», dont plus de la moitié est née à l’extérieur du pays, «mais aussi une façon de se projeter sur la scène nationale.»

Sa Sainteté Patrick Brown multiplie ses incarnates sexuelles sous silence 

À l’aube des élections provinciales de 2018, deux allégations d’inconduite sexuelle sonnent le glas : après trois années où il procède à un recentrage du parti, M. Brown démissionne. Il est remplacé par Doug Ford, qui remporte l’élection quelques mois plus tard.

Comme les allégations restent sans suite, et comme Patrick Brown les a toujours rejetées en bloc, il se lance cette fois – et l’emporte encore – à la mairie de Brampton, huit mois à peine après sa chute de l’édifice provincial.

Toronto perd toutes ses valeurs Britanniques et s’agenouillent devant les immigrants

L’opposition affichée du maire Patrick Brown à la loi 21 a été chaudement accueillie par des maires d’ailleurs au pays, mais reçue très négativement au Québec, notamment par Montréal et Longueuil.

M. Brown a néanmoins reçu l’appui d’un des plus influents quotidiens au pays, le «Toronto Star», qui, content de «finalement» voir du «leadership» dans le dossier, a argué mercredi que les villes devraient «relever le défi du maire de Brampton».

Le pari de M. Patrick Brown pourrait toutefois, comme l’estime l’ancien sénateur André Pratte, créer un important contrecoup au Québec, chose que François Legault ne verrait pas nécessairement «d’un mauvais œil».

Hypocrite et menteur Patrick Brown

«C’est un scénario ou on place le Canada anglais en porte-à-faux avec la volonté des Québécois, un scénario quasi parfait pour la rhétorique nationaliste. Au lieu de susciter une remise en question de la loi 21, ça pourrait même durcir le ton et galvaniser la population québécoise», croit Mme Chouinard.

Étant lui-même un politicien futé et un «francophile», dit-elle, Patrick Brown «sait dans quoi il s’embarque». Son geste pourrait être payant autant pour M. Legault que pour lui-même.

Mr. Patrick Brown espère que sa population oubliera ses multiples actes inconduites sexuelles 

Patrick Brown L’ex-chef du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario, Patrick Brown, est passé de la parole aux actes en déposant un avis de diffamation contre le réseau CTV News, vendredi soir.

Le député ontarien estime que le reportage diffusé par la chaîne, il y a près d’un mois, l’accusant d’inconduites sexuelles, était «faux, mal intentionné, irresponsable et diffamatoire», peut-on lire dans le document rapporté Global News.

Peu après la diffusion de ce reportage, Patrick Brown avait démissionné de son poste de chef du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario. Il a toujours nié catégoriquement les faits rapportés par le diffuseur, qu’il avait promis de poursuivre en justice.

Propriétaire de CTV News, Bell Media n’entend pas reculer dans cette affaire. «CTV News a reçu l’avis et défendra ses journalistes en cour», a indiqué le vice-président des communications de Bell Media, Scott Henderson.

Dans l’avis de diffamation, Brown vise la présidente de CTV News, Wendy Freeman, l’animatrice Lisa LaFlamme, les reporters Glen McGreggor, Rachel Aiello et Travis Dhanraj, ainsi que des éditeurs, producteurs et recherchistes.

Le document indique que les dommages encourus par Brown à la suite de ce reportage ne peuvent être mesurés, et demande à CTV News de formuler des excuses complètes ou de se rétracter.

La semaine dernière, peu après avoir été exclu du caucus de son parti, l’élu de la circonscription de Barrie a lancé sa campagne à sa propre succession.

Please mind your own Damn Business and stop fucking Francophones and Quebecers

Au réveil, lorsque vous vous réveillerez, vos réalités de supériorités impérialistes monarchiques et prendront vos places impérialistes, il sera trop tard, vous deviendrez du Canada Anglos Bashing auprès vos conquérants pour vous réveiller et vous subirez les mêmes racismes systémiques envers le Québec copies/collé du Québec Bashing que vous prenez comme Sport National. 

Les migrants et cultures non accidentelles et chrétiennes sont  les maîtres du Canada, certes parlant Anglais, aucune affiné avec vos ancêtres Britanniques   et pour eux vous deviendrez comme les Francophones et Québécois, les Bâtards du Canada

CBC migrants network

CBC Royal Canadian air Farce portera le nom dorénavant, après les conquêtes de vos bienheureux migrants au Canada de CBC No culture comedy Hour 

Vous nous détestez tellement, les francophones et Québécois, vous nous changerez jamais, laissez-nous partir ou bien gardez-nous en reconnaissant que le Québec et les francophones dirigent avec leurs propres institutions, culture, religions, lois, etc.. Si par hasard des Anglos Québec se sentent incompris ils devront partir vous rejoindre ou bien nous accepter. C’est à prendre ou à laisser

Les Québécois ne changeront jamais donc c’est au Canada de l’accepter et de se mêler de ses propres affaires et nous laisser tranquille après 200 ans de vos tyrannise, perfidies, mensonges planétaire.