jeudi 14 décembre 2023

Front Commun des Hôpitaux et des Fédérations de médecins syndicalisés d’épines vénéneuses et protégeons leurs jobs

Front Commun des Hôpitaux et des Fédérations de médecins syndicalisés  d’épines  vénéneuses et protégeons leurs jobs, nos avenirs de ces mêmes spécialistes travaillant au privé simultanément au privé 

Fonctionnarisme  qui nous empêche d’y avoir accès en créant des barrages tel qu’à la baie James  étant insurmontable pour  le commun des mortels que nous sommes tous.

En janvier 2023, mon médecin me dit que le moment est venu d’avoir une colonoscopie, la dernière remontant à 2017 et la  requête à l’hôpital public le plus proche si vous n’avez reçu votre rendez-vous. Veuillez me contacter si je peux vous placer à l’intérieur de mon horaire d’ici 12 mois prochain

Ayant communiqué plus de 20 reprises pour connaitre la date pour les tests.

Un an plus tard la proposé aux rendez-vous me demande de ne plus leur téléphoner et d’attendre que l’Hôpital puisque trouver un spécialiste travaillant simultanément avec le système public et  au privé.

Je lui demande  de me donner une liste de médecins spécialistes en privée et elle me dit ceci : il travaille à l’Hôpital deux jours par mois et les autres jours il est à sa clinique privé dont il porte son nom et utilise tous les tests demandés pour notre patient seront analyser par l’hôpital public 

Même pas un appel pour me dire qu’on avait reçu la requête, ou me dire mon rang sur la liste d’attente, encore moins pour me donner une date d’examen.

Vous concernant il n’y a aucune politique ministérielle pour vous  qu’est orphelin que le système ignore et des comités  seront en pied d’œuvre imaginant tous les façons, pouvant vous enjamber dans toutes vos recherches et que vos démarches seront caducs

Je retourne voir mon médecin. Armé d’une nouvelle requête, je décide de tenter ma chance dans les régions pour savoir si je peux recevoir les services de spécialiste  suite au triage de l’infirmière en poste me demande mon code postal. 

Je lui donne mon code postal et me répond de façon agressive mais polie, de vous n’êtes pas un résident de notre région en conséquence votre demande pour recevoir des soins en régions considérant que ce n’est pas une urgence médicale vous devez retourner voir à votre hôpital si vous pouvez trouver un spécialiste vous référant à l’hôpital de notre région et nous vous répondrons dans les prochains douze mois.

Veuillez pas communiquer avec nous à ce sujet nous  avons tellement d’ouvrage, pas une seule seconde pour soi-même, travaillons tel que des bœufs, de vrais chiens à préparer  les voyages de nos administrateurs à Tahiti, concernant les solutions aux problèmes d’achalandages tout en prenant bien soin de se conformer aux Fronts communs  des élites supérieurs dans notre système de santé publique sans oublier le bien de nos syndicats

Autres chasses aux spécialistes

Dans le réseau public, on m’informe que toutes les demandes doivent être acheminées à un centre régional de gestion des rendez-vous.

Je téléphone. Un jeune homme très courtois prend mes renseignements et m’explique que je recevrai une confirmation par la poste dans les douze  mois pour une confirmation de ma date d’examen?

Non, m’explique le jeune homme assis à son bureau agonisant sous les appels téléphoniques me signifie qu’un  professionnel en santé et non pas un spécialiste se penchera sur mon cas et on vous confirmera par lettre, dans deux mois, que vous êtes bien sur une liste d’attente.

 Je donne mon adresse courriel pour faciliter les communications entre l’hôpital et moi si je suis sorti faire mes emplettes et ils me téléphonent pour me donner un rendez-vous. Sera inscrit sur ma fiche que je n’étais pas disponible donc ma requête est poussé pour un rendez-vous dans les prochains 36 mois.

 Je demande innocemment: je peux m’attendre à quels délais?

Il ne se mouillera pas là-dessus, dit-il, mais il pourrait s’écouler un bon bout de temps.

Il demande: votre médecin juge-t-il que vous êtes un cas prioritaire? Je réponds: non.

Alors il faudra patienter, dit-il. Fin de l’entretien et il accroche. 

Entre les branches, j’apprends qu’il serait fort étonnant qu’on m’appelle avant trois ans.

Je fouille du côté des cliniques privées.

Je téléphone le lundi 4 décembre à 9h du matin. On me dit qu’une infirmière m’appellera  plus tard dans la journée et je reçois  un appel de la clinique privé de mon médecin spécialiste.

Mardi, on me dit le prix et on me propose une date pour la procédure. 

Dans deux semaines maximum mais si c’est urgent nous pouvons faire l’examen le 5 décembre avec supplément. 

Je dis oui.

Mercredi, une infirmière m’explique comment je dois me préparer d’ici là. 

En trois jours,  le spécialiste qui travaille deux jours par moi dans le système public et  voilà il me reçoit avec très grande gentillesse et me demandant si je paierai l’intervention par cartes de crédit, les chèques sont refusés ou bien en argent comptant  et nous déduirons votre facture de 10% et vous n’aurez aucun reçu de notre part. 

Je vous offre ce service en tant qu’ami et  je n’aurai pas en aviser aucun palier des impôts tout en souriant.

Et ceux qui n’ont pas les moyens, ils font quoi? Ils poireautent, quand ils ne sont pas carrément oubliés, Sport National au Québec  les listes d’attentes.

Réalité simpliste, si vous ne faites pas parties des élites prioritaires votre œuf est cuit

Nous sommes des poires ou des dindes biens gavés de mensonges.



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