mardi 14 octobre 2025

Données médicales des Québécois hébergées sur des serveurs gérés aux États-Unis clé en main et n’aurons aucun accès aux donnés sous administration Trump

 Données médicales des Québécois hébergées sur des serveurs gérés  aux États-Unis clé en main et n’aurons aucun accès aux donnés sous administration Trump 

Le système de dossier santé numérique du Québec a été confié à l'entreprise américaine Epic Systems Corporation. 

Ce choix soulève des préoccupations, notamment en raison du CLOUD Act américain, une loi qui permettrait aux autorités américaines d'exiger l'accès aux données de l'entreprise, y compris celles des Québécois. 

De plus, certaines entreprises québécoises s'inquiètent de l'exclusion du marché local au profit de fournisseurs américains de grande envergure. 

Clause INHABITUELLE

Comme pour SAAQclic, le fournisseur LGS, une branche du géant IBM, a remporté un des plus importants contrats de transformation numérique dans le secteur de la santé.

Habituellement, des clauses protègent le gouvernement contre les retards et leurs impacts financiers.  Mais non pas pour ce contrat. Pourquoi?

En cas de retard, elles prévoient un prolongement de l’échéancier. Or, ce n’est pas le cas du projet SIFA des BOZOS.

Premièrement, ce n’est plus la clause standard du Gouvernement,

Cette clause d’empêchement est très inhabituelle et  coûtera des milliards $ cher à la société d’État, si elle décide de suspendre le projet.

Les renseignements personnels des Québécois pourraient se retrouver entre les mains d’intérêts américains dans le cadre de la numérisation de la santé, confiée au géant Epic Systems, Microsoft,

Après avoir attribué à des compagnies américaines les deux plus importants contrats de transformation du système de santé, 

Trop tard, le gouvernement Legault cherche désormais une façon de garantir la souveraineté des données confidentielles des citoyens. 

Pourquoi avoir donnés, remis de main sale nos données premièrement aux Américains 

Question quel BOZO qui s’en sont mis remplis plein les poches, quel ministre, quel entrepreneur, quelle fédération des médecins?

En septembre 2025 le gouvernement du Québec imposait un examen en profondeur de son Dossier santé numérique (DSN)

En plus des risques de voir le budget du projet doubler pour atteindre plus de milliard de dollars US G$, les auditeurs analysent et réalisent les menaces pesant sur les données personnelles des  citoyens du Québec.

RAMQ au service de Donald Trump

En octroyant à Epic Systems un contrat colossal de 1,5 milliard de dollars US pour l’implantation technologique dans le réseau sur une période de 15 ans, le ministère de la Santé leur donne sur plat d’argent toutes les clés de notre système de santé. Merci mes chers BOZOS.

Le gouvernement américain en 2018 adopté le Clarifying Lawful Overseas Use of Data Act (Cloud Act), qui permet aux autorités américaines, comme le FBI, CIA ICE police de contraindre les entreprises américaines à fournir des données stockées à l’étranger principalement au Québec. 

Même si les données appartiennent aux Québécois et sont hébergées au Québec, une entreprise sous juridiction américaine sera obligée de les remettre au gouvernement américain ou bien , Bienvenue au Alcatraz Alligator. 

Les données de santé sont particulièrement délicates, incluant les consommations des médicaments  et pouvant rectifier nos dossiers médicaux à leur guise, etc.

Guerre mondiale informatique

Il y a un impact potentiel sur la vie de la personne, tel que de modifier le dossier médical de quelqu’un, d’un groupe ou autre pour les mains mises de la CIA, FBI,

Pourtant, des entreprises québécoises souhaitent participer à la transformation du réseau, mais elles ont été boudées.

Un autre bel exemple du manque de prévoyance, voire de compétences, au gouvernement lorsqu’il s’agit des technologies de l’information.

Le CLOUD ACT- le Nuage Américaines, un bunker 

L’entreprise à laquelle Québec a confié le Dossier santé numérique est américaine. Epic Systems est donc soumis au CLOUD Act (Clarifying Lawful Overseas Use of Data Act). 

Les autorités américaines ont donc tout le loisir d’exiger qu’elle lui remette ses données.

Avez-vous envie que vos données médicales soient entre les mains de l’administration Trump? 

Et s’il décidait de changer vos médicaments  vos prescriptions, augmenter les prix des médicaments et des actes médicaux par d’autres médicaments certainement nos poltrons nos Bougons  du Québec ne pourront les empêchés, nous sommes jovialistes 

Robert R. Kennedy l’imbécile illettré  du niveau même de Donald en conférence de presse ne pouvait prononcer ou lire ce mot si compliqué

 Acétaminophène et Robert F. Kennedy une ampoule de moins d’un lumen ce ministre de la santé américain lui dit directement que c’est du Tylenol

Tu fais une conférence de presse et tu ne sais même pas de quoi tu parles? C’est intelligent édifiant  comme président

Le secrétaire à la Santé est assez illuminé pour interdire le Tylenol aux femmes enceintes. Qui sait s’il ne sera pas saisi d’une lubie sur les dossiers médicaux stockés aux États-Unis?

Données médicales des Québécois hébergées sur des serveurs gérés  aux États-Unis clé en main et n’aurons aucun accès aux donnés sous administration Trump - Deuxième partie de deux

Encore mieux, à l’ère de l’imputabilité dont se réclame le gouvernement Legault, qui sera imputable pour une brèche dans nos données?

Le pire, c’est que Québec aurait dû connaître le risque. Le CLOUD Act a été adopté en 2018, six ans avant le contrat avec Epic Systems!

On oserait croire qu’au ministère de la Cybersécurité et du Numérique, il y a au moins un ou deux fonctionnaires qui se préoccupent de souveraineté numérique. 

Mais non, on vient de se réveiller, c’était des pousses crayons

Santé Québec cherche une solution, nous dit-on pour nous rassurer. Bonne chance!

Est-ce que quelqu’un s’imagine vraiment que l’administration Trump est encline à négocier sur un enjeu aussi stratégique? La souveraineté des données numériques est le nerf de la guerre de notre époque. IMPOSSIBLE que les États-Unis créent une brèche dans la forteresse imprenable qu’ils ont érigée.

Les serveurs informatiques se trouvent à l’extérieur du Canada et du Québec depuis une quinzaine d’années.   

Les données des Québécois hébergées par Microsoft serviteur de Donald Trump  et accessibles au gouvernement américain en entier

Le passage récent d’un haut dirigeant de la multinationale devant des élus de la France  suscite énormément des craintes à cet égard.

Les données des Québécois hébergées sur des serveurs de Microsoft seront consultées par le gouvernement américain.

Si les données d’un citoyen canadien sont stockées sur les serveurs de Microsoft, y compris au Canada, elles peuvent être remises au gouvernement américain, sans que les autorités canadiennes n’aient leur mot à dire»,

Données sensibles

Pourtant, en juin dernier, le ministre Caire confiait ses inquiétudes à notre Bureau parlementaire face aux géants américains. 

Il avait alors annoncé que 40 % des données gouvernementales (jugées plus sensibles) seraient conservées sur un « nuage québécois », plutôt que les 20 % prévus à l’origine. 

Du retard pour le Dossier de santé numérique   « la fin de 2022 » pour tester la numérisation des dossiers médicaux.

Il s’agissait d’une période de test de deux ans avant le déploiement à grande échelle. 

Cette fois-ci, seul le géant américain Epic a de nouveau démontré son intérêt en commandant des documents dans le processus de candidature.  

Il s’agit de MEDFAR International, qui offre déjà un système de dossier médical électronique. 

L’entreprise affirme être déjà présente dans 1500 cliniques, dans trois pays.  

« Nous allons suivre les étapes, comme prévu, afin de faire le meilleur choix possible et qui sera le plus adapté aux besoins des Québécois et au contexte du Québec, explique-t-on au cabinet du ministre de la Santé. De plus, nous allons aussi avoir une stratégie de déploiement qui suivra les meilleures pratiques pour avoir une implantation à succès.




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