mercredi 18 juillet 2018

Dalila Awada. - Justin Trudeau - Philippe Couillard - Philippe Magnand - Juge Carole Bastien - Paul EID, les manipulations et mensonges islamistes

Dalila Awada, propagandiste islamiste avec  un voile seyant et coloré de la juge Carole Bastien, même fleuri ou coloré le voile demeure une imposition théologiques des barbares avec ses inquisiteurs, ses exécutés avec les complaisances de nos premiers ministres vendu à l’Islam

La juge Carole Bastien: ne voit seulement la jeune femme voilée et une parade de mode devant la Cours de justice, de la croisade islamiste, de leurs manipulation de système de Droit. UN MANQUE DE JUGEMENT FLAGRANT.
Que les Québécois ont connue lors d’un débat avec Djemila Benhabib à Tout le monde en parle au sujet de la Charte des valeurs, a gagné le procès en diffamation qu’elle avait intenté au blogueur Philippe Magnan du site Poste de veille.
Philippe Magnan devra lui verser $60 000
MONTRÉAL | Le blogueur Philippe Magnan responsable du site «Poste de veille», a été condamné à verser 60 000 $ plus intérêts et frais de justice à la militante féministe Dalila Awada pour les torts qu’il a causés à cette dernière en la diffamant à répétition dans ses publications sur internet.
Les gestes qui étaient reprochés à Magnan remontent à l’époque où le débat sur la charte des valeurs battait son plein au Québec, notamment après la participation de Mme Awada, en septembre 2013, à l’émission Tout le monde en parle où elle avait défendu le droit des femmes à porter le voile. Magnan, un fervent défenseur du projet de la charte de la laïcité, avait alors commencé à publier des informations et vidéos associant Mme Awada à une mouvance islamiste chiite qu’il jugeait dangereuse.
Plusieurs écrits et vidéos attaquant Mme Awada ont été diffusés par Magnan sous différents noms.
Faisant valoir les impacts très négatifs du comportement de Magnan sur sa réputation et sa vie privée , Mme Awada, qui nie toute allégeance ou collaboration avec des groupes islamistes, a décidé de poursuivre le blogueur pour 70 000 $ en dommages moraux et 15 000 $ à titre de dommages punitifs, soit un peu moins que ce que la Cour supérieure du Québec lui a accordé plus tôt cette semaine, soit 50 000 $ pour dommages moraux et 10 000 $ pour dommages punitifs.

«La réaction négative a été très forte envers Awada tant sur internet que dans sa vie personnelle, peut-on lire dans le jugement de la cour. Ses relations interpersonnelles ont été altérées. Des personnes ont pris des distances avec elle. [...] Awada, souvent sollicitée par les médias pour discuter du voile ou d’autres sujets, a vu se tarir ses contacts. Elle a abandonné ses études pendant un an, étant très affectée et humiliée par ces propos. Elle a ressenti de la peur après avoir été interpellée par des inconnus de façon négative sur la voie publique ou dans des événements publics.

Au cours du procès, Magnan a tenté de faire valoir son droit à la liberté d’expression, mais, a écrit la juge Carole Julien dans sa décision, «les actions de Magnan n’ont rien à voir avec la liberté d’expression garantie par la Charte [des droits], mais participent au contraire de la faute civile».
«Le débat public sur le PL 60 [projet de charte des valeurs] et sur les droits et devoirs des citoyens du Québec et du Canada, qu’ils soient nés ici ou qu’ils aient choisi de s’y installer, est un débat qui doit se faire dans le respect des personnes et avec un minimum de civilité, souligne la juge. C’est ce que Magnan n’a pas su faire. Ce faisant, il a causé un tort irrémédiable à Awada et en a fait un objet de ridicule et de suspicion. Elle méritait mieux.»

Magnan a 30 jours à compter de la date du jugement (rendu le 10 juillet) pour payer à Dalila Awada les sommes pour lesquelles il a été condamné.

https://www.journaldemontreal.com/2018/07/13/condamne-pour-diffamation-le-blogueur-magnan-doit-verser-60-000--a-la-militante-dalila-awada
Suite: Des juges sans jugements
Je suis peut-être vieux jeu, je suis peut-être dépassé et trop à cheval sur les principes, mais il me semble que, pour être juge, tu dois avoir du jugement. Me semble que c’est la base.
Un cuisinier doit savoir cuisiner, un enseignant doit savoir enseigner et un juge doit faire preuve de jugement.
Il est indéniable que monsieur Magnan avait dépassé les bornes dans ses attaques personnelles contre Mlle Awada. Il avait même avoué à un de ses amis qu’il l’avait instrumentalisée et qu’elle n’était pas une islamiste.
Justice a été rendue, mais cette décision ne doit pas empêcher les médias d’exposer ceux et celles qui feraient la promotion de l’islam politique ici.
Évidemment, la question se pose : jusqu’où peut-on aller en ce sens ? Penser n’est pas un crime.
Manque de nuance et d’impartialité
Le jugement de la juge Carole Bastien de la Cour supérieure du Québec couvre 40 pages. Dès le début, on ressent un malaise. Elle écrit : « Le public fait la connaissance d’une jeune femme brillante, articulée, d’une beauté remarquable et portant avec élégance un voile seyant et coloré ».
Quand le féminisme classique défend l’idée que le hijab est une geôle psychologique pour les femmes, cette phrase étonne de la part d’une juge. Le voile est lourd de sens et controversé. Des Canadiennes qui refusaient de le porter ont été assassinées. Même fleuri et coloré, il demeure une imposition théologique avec ses inquisiteurs et ses exécuteurs.
Le Tribunal devait décider si Philippe Magnan avait diffamé Dalila Awada et non pas enquêter sur les réseaux islamistes au Québec. Mais sans une connaissance de ces mouvements et de leur détournement habituel de valeurs occidentales — justice, liberté, égalité — comment un juge peut-il évaluer la preuve si cette dernière repose sur des allégations majoritairement improuvables, mais pas nécessairement fausses ?
Les terroristes sont tous des musulmans, islamistes et non l’inverse, nous devons nommer les choses, les mots tels qu’ils sont, si l’animal maille c’est un chat, s’il jappe c’est un chien et si la Juge Bastien a mal fait son travail dans cette cause et qu’elle voulait encensé l’Islam et leur racisme systémique, elle a réussi  et a eu extrêmement peur d’être authentifié par les professeurs gauchiste de l’UQAM de raciste
Prononcé par le président de la France Emmanuel Macron
Emmanuel Macron, le terroriste islamique attaque l’Occident
Le président Emmanuel Macron a placé mardi le 29 août 2017, la lutte contre le terrorisme islamiste musulman au cœur de la diplomatie française et assuré qu'il allait redonner à une France "indépendante" son rang dans le monde, dans son premier discours de politique étrangère devant les diplomates français.
"La sécurité des Français est la raison d'être de notre diplomatie, cette exigence est viscérale et nous devons y répondre sans faiblir", a lancé le chef de l'État devant plus de 150 ambassadeurs français réunis à l'Elysée pour la traditionnelle rentrée diplomatique.
Fixant à ses diplomates "trois axes forts", la sécurité, l'indépendance et l'influence de la France, M. Macron a décliné, dans un long inventaire de l'état du monde, sa volonté d'une France "reprenant son rang parmi les nations" et "capable de se faire entendre".
Le président Emmanuel Macron "La lutte contre le terrorisme islamiste est la première priorité de notre politique étrangère.
Oui, je parle bien d'un terrorisme islamiste et j'assume parfaitement l'emploi de cet adjectif", a déclaré le chef de l'État, assurant que "l'angélisme n'est pas de mise à cet égard" a réclamé le président de la France, Emmanuel Macron
Justin Trudeau, Angela Merkel, Denis Coderre, Régis Labeaume, Hillary Clinton, Barack Obama, Theresa May, Pape François, Amir Khadir, Gabriel Nadeau Dubois, François Legault, Rachel Notley, Kathleen Wynne, Thomas Mulcair, RDI, Radio-Canada- Jean-François Lisée, Magazine Marianne – Le Figaro – Télés d’État de France – TV2, TV3, UQAM – Féministes – Intellectuels – La juge Carole Bastien, Prenez en tous de la graine.
Les terroristes sont des musulmans, des islamistes, des musulmans, des messieurs Pyjamas, musulman, qui ne travaille pas sur les assistances sociales et qui pogne le cul des filles françaises dont les juges libèrent avec compassion anti nationaliste islamique dans la rue, selon le président de la France. Donald Trump, le président des États-Unis est le seul qui a réveillé les vautours qui dormaient.


"Dach (acronyme arabe du groupe Etat islamique) est notre ennemi", a martelé M. Macron, ajoutant que "le retour de la paix et la stabilisation en Irak et en Syrie sont une priorité vitale pour la France". M. Emmanuel Macron, qui avait choqué l'opposition syrienne en juin en disant qu'il ne voyait pas de successeur légitime au président Bachar al-Assad, a assuré que "la reconstitution d'un Etat de droit en Syrie devra s'accompagner de la justice pour les crimes commis, notamment par les dirigeants".
http://www.la-croix.com/France/Macron-place-lutte-contre-terrorisme-islamiste-coeur-diplomatie-2017-08-29-1300872729
La juge Bastien n’a pas rendu justice, et sans jugement mental au droit de parole selon les Chartres du Canada et du Québec
La juge Carole Bastien, féministe pro islamiste, un jugement de minable, anti patriotisme, antinationaliste et pauvre et n’ayant aucun  en discernement avec les vérités décrit dans les médias de leurs croisades au Canada et au Québec avec les aides de Justin Trudeau et Philippe Couillard, anti-canadiens de source
Juge Bastien un jugement défaillant et répréhensible
La juge Bastien estime, par exemple, que le terme « islamiste » a une connotation négative dans l’œuvre de Magnan. Seulement ? Larousse définit ainsi islamiste : « Désigne, depuis les années 1970, un courant de l’islam faisant de la charia source unique du droit et du fonctionnement de la société dans l’objectif d’instaurer un État musulman régi par les religieux de barbares de l’Arabie saoudite, du Yeoman, de l’Iran, de l’Irak, du Pakistan, etc.. »
Vrai ou faux ?
Ce qu’a insinué Philippe Magnan au sujet de Dalila Awada témoigne d’un manque de jugement grave. Mais les allégations au sujet des propagandistes de la charia et du voile, des mouvements pro-iraniens, l’Association Musulmane du Canada (MAC) des frères musulmans, des amis de Justin Trudeau, de la Ligue islamique mondiale et de la cérémonie du voile pour des fillettes de neuf ans n’étaient pas toutes fausses pour autant.
De plus, quand Dalila Awada déclare en interrogatoire ne « pas connaître le lien entre khomeyniste et chiite », on peut en douter MENTEUSE. C’est presque interchangeable !
Mais là où l’on sursaute, c’est en lisant les propos du témoin expert, Paul Eid, prof de sociologie à l’UQAM, choisi par Dalila Awada.
Paul Eid pro immigration et pro islamiste
Paul Eid est professeur de sociologie à l’Université du Québec à Montréal depuis juin 2011. Détenteur d'un doctorat en sociologie (Université de Toronto), il est membre du Centre de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté (CRIEC), co-directeur de l’axe Processus d’intégration et structuration communautaire et coordonnateur de l’Observatoire international sur le racisme et les discriminations (un volet du CRIEC).
Paul Eid -  parti libéral, et raciste salafiste anti nationaliste et rejette nos valeurs ancestrales chrétiennes dont l’UQAM est le terrain fertile des fausses valeurs des professeurs gauchistes et qui sont totalement aveugle car il devrait travailler pour Radio-Canada avec Dominique Chartrand propagandiste des libéraux de Justin Trudeau
Ses plus récentes recherches et publications ont porté sur le processus de construction de l'identité ethnique et religieuse chez des jeunes Québécois d'origine arabe, ainsi que sur le rôle de la catégorisation dans l'émergence d'identités racisée et panethniques.
Il a aussi abondamment publié sur la prise en compte politique et juridique du pluralisme religieux et ethnoculturel dans l’espace public québécois, notamment en lien avec la question des accommodements raisonnables. Ces dernières années, il a produit à titre de chercheur, pour le compte de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec (CDPDJ), des études et des avis sur différentes formes de discrimination ciblant les minorités racisée et issues de l'immigration, notamment dans l'accès à l'emploi. Il a également corédigé pour la CDPDJ des publications portant sur la surveillance policière ciblée et la surjudiciarisation des minorités ravisées (profilage raciste) et des personnes itinérantes (profilage social) dans l'espace public.
Il travaille actuellement à mieux comprendre les mécanismes qui concourent à la formation de niches d’emploi ethniquement et sexuellement ségréguées sur le marché de l’emploi dit « secondaire ».
Paul Eid croit, lit-on dans le jugement, que le contexte social québécois est « étroitement lié à l’islamophobie », c’est-à-dire « un racisme antimusulman ». Taqqiya: l’islam autorise la tromperie, le mensonge et la dissimulation, diablerie
Les mensonges islamiques
Le mensonge fait partie intégrale de l’islamiste, le salafiste, le terroriste musulman dans le Coran écrit par le prophète Mohamed dans sa croisade d’où nos nouveaux imams racistes qui ne veulent aucune s’intégrer aux valeurs de nos ancêtres et Occidentales
La taqîya, parfois orthographiée taqiyya et takia, appelée تقيّة (taqīyya) en arabe est une pratique, au sein de l'Islam salafiste, consistant à dissimuler, de mentir aux infidèles, les Canadiens, les Québécois, les Occidentaux, les Chrétiens, ou à nier sa foi sous la contrainte afin d'éviter la persécution et faire prospérer leur croisade diabolique à travers toutes les civilisations.
Cette pratique est permise au sein du chiisme selon la CHARIA, pour les femelles seulement,  si plaisante au cœur de Justin Trudeau dans le cas où un fidèle fait face à une menace, mais elle est aussi permise au sein du sunnisme qui peut autoriser la pratique sans utiliser le terme de «taqîya», de professer leurs haines ancestrales dans ces circonstances.
La pratique de la taqîya a un fondement coranique, dont tous les imans promulguent allègrement dans leurs mosquées, notamment dans ces passages qui parlent du reniement de la foi en disant : « Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, la religion du gouvernement de Justin Trudeau, et associés, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. » Sourate (3, 28) Tandis qu'un autre passage mentionne « excepté celui qui a subi la contrainte et dont le cœur reste paisible en sa foi » Sourate (16, 106).
Au sein de certains milieux minoritaires, la tâqîya peut également avoir une dimension supplémentaire en tant que moyen stratégique de dissimuler sa foi dans un contexte de conquête.
C'est le cas notamment de groupes djihadistes extrémistes tels qu'Al-Qaïda, l'État islamique, le Muslim Association of Canada (MAC) association terroriste au Canada, les Frère musulmans, le Hamas, les réfugiés venant des pays islamiques, députés et ministres déguisés libéraux ou d’autres partis politiques dans leurs croisades Islamophile coraniques et au Québec à travers les accommodements déraisonnables et injustifiables. .
Le Coran encourage le mensonge donc quand pouvons-nous savoir s’ils leurs dénonciateurs nous disent la vérité, ils sont comme les politiciens
L’Islam : la «tromperie religieuse», (al Taqqiya). Ce principe encourage les musulmans à tromper des non-musulmans, NOUS OCCIDENTAUX, les Canadiens et Québécois, pour faire avancer la cause de l’Islam. Les groupes musulmans aujourd’hui en occident utilisent la dissimulation et l’omission pour donner l’impression que l’islam est une «religion de paix», ce qui est une fiction totalement faux.
La «tromperie» trouve son origine dans le coran. La sourate 3:28 dit bien qu’un croyant «ne doit pas prendre pour alliés des infidèles» …à moins que ce soit pour «se protéger d’eux».
«Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles, sauf pour se protéger d’eux….» «Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons..»
L’islam est une religion et un système politique malsain et diabolique qui dicte que l’on doit faire la guerre aux mécréants jusqu’à ce qu’ils se convertissent ou se soumettent. Et c’est ainsi que les terroristes de par le monde justifient leurs actes, et cette justification est basée sur des éléments centraux de la tradition islamique barbare.
En accord avec la doctrine islamique de la Taqqiya, le «mensonge pieux» de la juge Bastien. Ou alors, ils font cela tout simplement parce qu’ils ne sont pas conscients de ce que l’islam enseigne réellement. Sahih Al-Bukhari Vol 4 Book 52, Hadith 269 :
Le Prophète Mohamed a dit : «La guerre est tromperie».
En général mentir n’est pas permis en islam. Mais à la différence d’autres religions, il y a certaines circonstances dans lesquelles un musulman peut mentir et où c’est considéré comme acceptable, voire même encouragé. Ils mentent toujours. Ce concept est appelé «al Taqqiya». Al Taqqiya signifie «dissimulation perceptrice préventive» façonné la vérité comme les politiciens mais de façons à détruire les autres religions, les gens, les peuples. Un musulman est autorisé à mentir pour se sauvegarder d’un mal qui pourrait lui arriver, à lui ou à l’islam.
Lorsque quelqu’un musulman, un islamiste, un député libéral musulman à Ottawa, Iqra Khalid, est sous pression, il peut mentir afin de protéger la religion. Ça vient du Coran chapitre III verset 28 et chapitre XVI, verset 106.
Abdullah Al-ARABY : Il y a certaines clauses pour le mensonge. Ainsi, un musulman peut mentir pour la cause de l’islam, ou bien pour déstabiliser un pays facilement comme le Canada insouciant.
Mahomet lui-même ordonna à des gens de mentir. Lorsque des gens à qui il avait ordonné d’aller tuer quelqu’un lui dirent «Nous ne saurions pas le tuer si nous ne lui mentons pas», il leur répondit : «D’accord, c’est bon, mentez» comme l’a fait Omar Khadr.
The Life of Muhammad, p. 367 : l’Envoyé d’Allah a dit: «Qui me débarrassera de Ka`b ibn Al-‘Achraf (…) ?»Muhammad ibn Maslama frère des Bani Abdul-Ashal répondit «Ô Envoyé d’Allah je peux m’en occuper; veux-tu que je le tue?»
«Certes oui, si tu peux» répliqua le Prophète.
(…) Muhammad dit: «Ô Envoyé de Dieu nous aurons à raconter des mensonges».
Il répondit «Dites ce que vous voulez, vous êtes libres en la matière».
Le monde en est témoin presque tous les jours, des dirigeants arabes disent une chose aux Occidentaux et exactement l’opposé à leurs coreligionnaires musulmans. Il est difficile pour la plupart d’entre nous de comprendre l’éthique islamique dualiste. Ils peuvent dire une chose, par exemple des négociations de «paix» avec les Israéliens, et l’opposé aux djihadistes. Mahomet a encouragé la tromperie des kafirs et le Coran fait écho à ces sentiments. Mais pour les apologistes de l’islam, l’islam est seulement une religion et un chef religieux islamique ne saurait jamais nous mentir. Ils ne voient pas que l’islam politique n’a pas de signification honorable, et ils n’ont pas de compréhension de la dualité de l’islam politique/religieux.
Devons-nous  devoir intenter un recours collectif contre la diffamation de tout le peuple québécois ?
Question : S’ils ne sont pas heureux avec nous, qu’ils retournent dans leur merveilleux pays et je me demande les raisons de vouloir immigrer au Canada et avec les gens à bras ouverts qui se LAISSENT PIÉTINER piétiner sans arrêts AVEC COMPLAISANCE DES SOCIOLOGUES ET DES GAUCHISTES par ces nouveaux venus et bassin électoral captif des formations politiques, les libéraux du Québec et du Canada
Et du texte de Lise Ravay
https://www.journaldemontreal.com/2018/07/16/un-voile-seyant-et-colore--la-juge-carole-bastien
Sans préjudice


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