mardi 11 septembre 2018

Philippe Couillard, Jean-François Lisée, François Legault, Manon Massé - Les parents transgenres en Angleterre choisissent le sexe de l'enfant après leur naissance

Philippe Couillard, Jean-François Lisée, Jean-François Legault, Manon Massé - Les parents  transgenres en Angleterre choisissent le sexe de l'enfant après leur naissance
Justin Trudeau Premier ministre du Canada et son idéologie multiculturelle et transgenre, tout cela pour détruire notre société
Sommes-nous devenus fous ? »


Elle ne pouvait mieux dire. Oui, nous sommes devenus fous ! Les minorités et nouveaux migrants gagnent toujours, sur la majorité, est-ce normal dans les pays chrétiens occidentaux
Si être une femme ne veut plus rien dire, pourquoi alors se bâdrer avec le féminisme ?
Les enfants jetables
La Fédération des femmes du Québec (FFQ), parlait au nom de toutes les femmes, des nounounes dont Richard Martineau, les chroniqueuses des médias les qualifient sans aucun jugement, et bon sens. Aujourd’hui dirigée par un transgenre, homme-femme, Gabrielle Bouchard, à salaire de 150 000 $ par année payé par les contribuables gangrénée par les musulmanes voilées la FFQ a fait des femmes marginales sa priorité absolue, anti féministe pro coranique et pro charianique.
Tellement marginales que certaines ne sont pas, techniquement parlant, comme elle, des femmes.
Confusion générale des sexes à la naissance
Selon la théorie du genre  des cons en 2018, les gauchistes, les marginaux et professeurs ignorants ou des associations marxismes des étudiants de l’UQAM ou le selfie islamiste, salafiste, l’Honorable premier ministre Justin Trudeau qui cautionne ouvertement avec ses députés et ministre à travers e Canada entier les frères musulmans que les organes génitaux indiquent le sexe à la naissance, mais pas le genre selon ses discours libéraux avec des ignorants.
Le genre, masculin et féminin, est une affaire de choix ou de conditionnement, de la société selon le déshonorable multiculturaliste,  Justin Mohamed Trudeau. On peut même choisir de n’être ni homme ni femme, on se dit alors « non binaire », ou changer de genre au gré des humeurs, soit être « fluide de genre ».
Je lisais hier dans un quotidien britannique l’histoire d’un couple, parents d’un garçon de 5 ans – qui ignore être un garçon – qui se définissent comme « fluide de genre ». Ils vont « s’échanger » de sexe. Louise, le père biologique de Star aura une chirurgie de conversion sexuelle pour devenir une femme. Et Nikki en fera de même pour devenir Charlie, un homme.
Maman a expliqué à son fils qu’elle irait voir un médecin spécial qui lui enlèvera son ducky (canard), le mot qu’utilise Star pour dire pénis.


Des parents transgenre qui sont tous deux à subir des changements de sexe insistent fait de leur fils, cinq ans, est « excité »sujet leurs opérations - mais cette téléspectateurs Morning affirment qu'il est « injuste » de l'exposer à leurs plans
Louise et Nikki Draven sera fois subir des interventions chirurgicales de confirmation de genre
Ils élèvent un fils de cinq ans appelé Star, qui, selon eux, les comprend
Nikki dit que Star a hâte que quelqu'un fasse pipi avec lui

Ce matin, les téléspectateurs ont dit que Star était «trop jeune» pour comprendre ses parents
De Molly Rose pike for Mailonline Angleterre
PUBLIÉ: 07h18 HAE, 11 septembre 2018 | MISE À JOUR: 07 H 33 HAE, 11 septembre 2018
Un couple de transgenres britanniques qui doivent subir une opération de changement de sexe a insisté pour que leur enfant de cinq ans - qu'ils élèvent sans distinction de genre - soit «excité» par leurs projets.
Louise Draven, 32 ans, est le père biologique de Star Cloud, tandis que Nikki Draven est sa mère biologique - mais tous deux ont l’intention de subir une chirurgie de conversion sexuelle pour être dans leur «corps idéal» au moment de la naissance de leur enfant.
Lors de ce matin mardi, Nikki, qui subira une opération au bas du dos pour lui donner un pénis, a déclaré que leur enfant était "excité" par les changements à venir car cela signifie que Nikki, qui appelle Daddy, se lèvera Comme lui.
Mais les téléspectateurs qui regardaient à la maison ont tweeté pour dire que Star Cloud était trop jeune pour comprendre ce qui se passait chez ses parents et que les parents couraient le risque de le "rater" ou de le "crucifier à l'école".

Le trio, originaire de Middlesbrough, a été surnommé la première famille fluide britannique.
Louise et Nikki Draven, de Middlesbrough, qui sont sexistes, prévoient toutes deux d’effectuer des chirurgies de confirmation du genre, dont leur fils Star, cinq ans, se réjouit. Sur la photo: le couple de présente ce matin

Nikki, une femme biologiquement, envisage de subir une opération au bas du dos qui lui donnera un pénis.

Le père biologique transgenre, Louise était un mâle au par avant, qui appelle maman, est à quelques mois seulement de subir une chirurgie de chirurgie de confirmation du sexe masculin à féminin.
La famille a expliqué que Louise se fait enlever son pénis - ce que Star appelle un «duckie» .
Vous comprenez, sexe de l’enfant sur demande
Le couple espère avoir terminé le processus quand Star aura 10 ans. Pauvre enfant.
Le Huffington Post français nous présentait cette semaine un « menstruateur » trans non binaire qui se plaint que le monde refuse « de reconnaître que les femmes ne sont pas les seules à avoir leurs règles ». Il dénonce le fait que, dans les toilettes des hommes, il n’y a pas de place pour disposer des tampons souillés.
Peut-être avez-vous compris que Cass est née de sexe féminin, mais s’affiche comme androgyne/masculin.
Ce mouvement n’existe pas ici ? Erreur. On m’a confirmé que les pédiatres voient de plus en plus de jeunes qui veulent changer de sexe. Des filles surtout. J’y reviendrai.
Le multigenrisme
Si être une femme ne veut plus rien dire, pourquoi alors se bâdrer avec le féminisme ? Nous n’en aurons plus besoin. Noyées dans le « multigenrisme », les femmes ne formeront plus qu’un groupe d’intérêt parmi tant d’autres, dépouillées des privilèges qui leur appartenaient en propre quand elles formaient la moitié de l’humanité. Comme donner la vie.
La fracture existe déjà. Pour les nouvelles féministes, défendre les Québécoises ordinaires comme l’a fait Lise Payette, pue le racisme, le capitalisme, l’homophobie, la transphobie et, bien entendu, l’islamophobie.
Hors de la marginalité, point d’hommage.
https://www.dailymail.co.uk/femail/article-6154731/Parents-set-undergo-sex-changes-insist-son-excited-plan.html

https://www.journaldemontreal.com/2018/09/10/impardonnable-outrage-a-lise-payette

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