jeudi 27 septembre 2018

Philippe Couillard – Stéphanie Vallée ministre de l’injustice du Québec, pro salafiste Sentence bonbon pour 3 réfugiés dont Mohammed Ibrahim Pakistanais et non citoyen Canadien qui ont volé 236 000 dollars en aide sociale,

Philippe Couillard – Stéphanie Vallée ministre de l’injustice du Québec, pro salafiste Sentence bonbon pour 3 réfugiés  dont Mohammed Ibrahim Pakistanais et non citoyen Canadien qui ont volé $ 236 000 en aide sociale, l’argent des contribuables les plus taxé et imposé en Amérique
Un réfugié dont la famille a fraudé pendant 12 ans l’aide sociale d’un montant allant jusqu’à 236 000 $ s’en est tiré avec des travaux communautaires et une probation vendredi à Montréal.
Mohammed Ibrahim, 48 ans, est arrivé au Québec avec sa famille en 1999. Sans emploi, tout comme sa femme et leurs trois enfants, ils ont fait une demande d’aide sociale afin de subvenir à leurs besoins.
Mais rapidement, ils ont trouvé une faille leur permettant de vivre bien mieux que ce qu’un seul maigre chèque mensuel leur permettait.
En intervertissant leurs noms et prénoms et en donnant des adresses de boîtes postales, ils pouvaient ainsi récolter plusieurs chèques chaque mois.
« C’est vraiment dès leur arrivée au Canada qu’ils ont créé ce stratagème, ces musulmans islamistes, et terroristes, et voleurs. Ça montre qu’ils avaient une certaine connaissance du système pour augmenter leur source de revenus », a confié au Journal une source bien au fait du dossier, puisque les détails de la cause n’ont pas été présentés à la cour contrairement à l’habitude.
Des immigrants coraniques charianiques des Bougons aux frais des contribuables
Ainsi, pendant 12 ans, la famille de véritables immigrants Bougon a fraudé l’aide sociale sans que personne ne s’en rende compte. Le pot aux roses a été découvert quand les membres de la famille ont entamé leurs démarches pour obtenir la citoyenneté canadienne.
Un fonctionnaire qui consultait les dossiers s’est rendu compte que des individus avec différents noms étaient liés aux mêmes photos.

Mohammed Ibrahim, sa femme de 58 ans Zaheda Begum, ainsi que leurs trois fils Tanvir, Shakib et Igbal Rahman, ont ainsi été accusés de fraude, de complot et de fabrication de faux, entre autres.
Malgré l’étendue de la fraude et sa durée, Ibrahim n’ira pas en prison. C’est qu’à la suggestion de la procureure Maria-Giustina Corsi et d’Antonio Cabral de la défense, il a écopé d’une probation de trois ans, ainsi que de 240 heures de travaux communautaires.
« C’est une suggestion commune qui est le fruit de plusieurs mois de négociations », a expliqué Me Cabral, vendredi au palais de justice de Montréal.
Remboursement anecdotique
Au début du dossier, la Couronne voulait pourtant demander une peine d’emprisonnement. Mais Ibrahim a remboursé la moitié des 37 000 $ qu’il a frauduleusement reçus, et il devra rembourser le reste d’ici deux ans.
« Il a démontré de la bonne volonté », a expliqué Me Corsi.
Selon nos informations, Mohamed Ibrahim a pu remettre cette somme grâce à sa famille au Bangladesh qui a organisé une collecte de fonds pour lui éviter la prison. Ses prestations d’aide sociale avaient également été amputées afin de rembourser l’argent frauduleusement acquis.
« Comme il n’a pas la citoyenneté canadienne, il risque un éventuel renvoi vers le Bangladesh»
Remboursement avec les félicitations d’usage de Justin Trudeau et Philippe Couillard envers les islamistes
Un poids deux mesures, les immigrants ont des droits que la majorité ne peut réclamer par crainte de racisme, islamophobe.
Et si cette fraude avait été commise par un blanc francophone du Québec et chrétien la sentence aurait été de la prison avec des casiers judiciaires, de rembourser la totalité à l’aide sociale en plus des travaux communautaires
Des sentences bonbons pour des musulmans arnaqueurs
Trois frères d’une famille de réfugiés  ami intime de Justin Trudeau premier ministre du Canada islamique  qui ont arnaqué le régime d’aide social et les contribuables Québécois pendant plus d’une décennie éviteront non seulement la prison, mais seront soulagés d’un casier judiciaire.
Shakib, Tanvir, Igbal Rahman et Mohammed Rahman des voleurs ont bénéficié de la clémence du tribunal hier, au palais de justice de Montréal, en obtenant une absolution conditionnelle.
Maintenant sur le marché du travail, les trois hommes dans la trentaine devront cependant rembourser les dizaines de milliers de dollars qu’ils ont frauduleusement soutirés à l’État, effectuer 120 heures de travaux communautaires et avoir une conduite irréprochable au cours des deux prochaines années.
Un seul prénom, nous sommes à nouveau les dindons de la farce

Les frères originaires du Bangladesh devront aussi renoncer à utiliser leur deuxième prénom respectif – Alimudin, Latifudin et Matadin – pour tout papier d’identité du gouvernement, tels un permis de conduire ou une carte d’assurance maladie, ainsi que pour tout document bancaire ou carte de crédit.
C’est après s’être forgé plusieurs identités en « mélangeant » l’ordre de leurs deux prénoms de naissance et de leur nom de famille qu’ils avaient pu berner le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale.
Incités par leur père, un voleur Pakistanais
Le ministère envoyait ainsi plusieurs chèques par mois au lieu d’un seul aux membres de cette famille digne de l’émission Les Bougon.
La procureure de la Couronne, Me Maria-Giustina Corsi, a insisté sur cette condition inhabituelle afin d’empêcher toute récidive d’un tel stratagème.
Mohammed Ibrahim père coupable
Leur père, Mohammed Ibrahim, avait initié cette fraude de plus de 200 000 $ sur une période de 12 ans dès son arrivée au Québec en 1999.

Ce serait lui qui aurait encouragé ses fils à falsifier les demandes de prestation de « bien-être » à l’État.
« C’était une directive familiale. Chaque membre de la famille le faisait, mais ce n’est pas une excuse », a plaidé l’avocat David Petranic à la juge Joëlle Roy, en ajoutant que son client, Shakib Rahman, a remboursé plus de 40 000 $ au gouvernement.
L’arnaque n’a été découverte qu’en 2011, après que des membres de cette famille eurent demandé leur citoyenneté canadienne. Les fonctionnaires avaient plusieurs dossiers des Rahman avec différents noms joints aux mêmes photos.
Le gouvernement s’est dit « satisfait » de l’issue des procédures judiciaires en raison des remboursements promis « jusqu’au dernier sou », selon Me Corsi.
En juin, le père a écopé d’une probation de trois ans et de 240 heures de travaux communautaires. La mère, Zaheda Begum, elle aussi accusée, a été acquittée le jour où son mari a plaidé coupable.
La  juge Joëlle Roy devrait être réprimandée pour son manque de jugement

Tribunal des Droits et libertés des personnes, un tribunal partial pour les extrémistes, les minorités, les gauchistes, etc.
Au Canada et au Québec il est préférable d’être une minorité dans le giron musulman que d’être un citoyen de souche qui ses impôts et contribution au gouvernement. Le Québec le paradis des accommodements injustifiés et déraisonnable du Tribunal des Droits et libertés des personnes ayant des penchant raciste et partial qui suive les directives systémiques de son racisme, les idées multiculturalistes, destructrices  de Philippe Couillard, Québécophobe, Francophone et Christianophobe pro islamiste de l’Arabie Saoudite
L’honorable Stéphanie Vallée ministre de l’injustice du Québec, nous ne pouvons attaquer notre bassin captif d’électeurs allophones et anglophones libérales
https://www.journaldemontreal.com/2018/06/08/ils-ont-fraude-laide-sociale-durant-12-ans

https://www.journaldemontreal.com/2018/09/25/les-trois-freres-bougon-ne-feront-pas-de-prison

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