mardi 7 juin 2022

François Legault – Deuxième partie - Québécois et Canadiens des autres provinces doivent s’occuper de leurs propres frontières et de l’immigration

 François Legault – Deuxième partie -  Québécois et Canadiens des autres provinces doivent s’occuper de leurs propres frontières et de l’immigration, considérants les incapacités, volontairement du premier ministre du Canada Justin Trudeau le cactus dansant aux frontières kumbaya my lord


Au Manitoba les citoyens bâtissent des clôtures pour empêcher les amis de Justin Trudeau, de Denis Coderre, Philippe Couillard d’envahir le Canada

Et il y a cette clôture-ci, Ô manifeste d’intolérance, que l’on retrouve quelque part dans le Manitoba, semble-t-il. Peut-on imaginer pareille infamie chez nous?

Québec Bashing

Une arrestation aux États-Unis

Dans un communiqué publié en après-midi, le Bureau du procureur des États-Unis pour le Minnesota a annoncé qu’une plainte a été formulée contre un citoyen américain résidant de la Floride de 47 ans, Steve Shand. Il est accusé de passage de clandestins.

Steve Shand, un Américain résidant en Floride, a été arrêté aux États-Unis et accusé de passage de clandestins.



Le communiqué indique que des agents du Homeland Security Investigations ont répondu à une demande d’aide d’agents de l’U.S. Border Patrol de Pembina, au Dakota du Nord, mercredi. Ces derniers avaient arrêté une fourgonnette blanche de 15 places à moins de 1,6 km de la frontière avec le Canada, dans une région rurale.

Les policiers ont déterminé que les deux passagers étaient d’origine indienne. Ils étaient sans papiers.

Toujours selon le communiqué, des tasses en plastique, de l’eau et du jus en bouteille, ainsi que des collations se trouvaient dans le véhicule, qui avait été loué le 18 janvier par l’accusé. C’est à ce moment qu’il a été arrêté.

Lors du transport des trois individus, les agents de police ont croisé cinq autres personnes d’origine indienne à quelques centaines de mètres de la frontière.

Selon le communiqué, ces personnes ont expliqué qu’elles avaient traversé la frontière à pied, s’attendant à ce que quelqu’un vienne les chercher. Selon leurs estimations, elles marchaient depuis plus de 11 heures.

Si cette situation s’était produite au Québec le Canada s’arrache tous les cheveux pour démontrer les dangerosités des Francophones et Québécois

Qui est ce politicien complètement déconnecté du monde qui ose même prononcer ce mot? Voyons donc! Une clôture avec un panneau pour signifier que les frontières existent! Quelle xénophobie! Quelle entrave à l’inclusion infinie et au noble idéal diversitaire! Au pilori! Philippe Couillard et Amir Khadir, deux traitres, parmi tant d’autre à l’Assemblée Nationale du Québec

Sans visa, le nombre de demandeurs d'asile mexicains poursuit sa progression

Le nombre de demandeurs d'asile en provenance du Mexique continue de grimper au Canada.

MANITOBA

La Presse Canadienne avec des nouvelles données de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) révèle que 110 Mexicains ont demandé le statut de réfugié le mois dernier, contre 85 en février et 71 en janvier.

Le volume de demandes des trois premiers mois de l'année a donc déjà dépassé celui de l'ensemble de 2016 : 266 demandes contre un total de 241 l'année dernière.

En Colombie-Britannique, par exemple, 29 Mexicains ont fait une demande d’asile entre décembre 2016 et février 2017. À titre de comparaison, 30 Mexicains l'avaient fait entre décembre 2015 et novembre 2016, soit une période de 12 mois. La majorité dépose une demande de statut de réfugié à l’aéroport de Vancouver.

Le flux de demandeurs d'asile mexicains avait motivé le gouvernement de Stephen Harper à imposer ces visas en 2009, mais ils constituaient depuis un important irritant entre Ottawa et Mexico.

En campagne électorale, les libéraux avaient promis l’abolition de visas Canadiens, et le gouvernement fantoche de Justin Trudeau a néanmoins prévenu les autorités mexicaines qu'après l'atteinte d'un certain seuil de demandes, il pourrait envisager la réinstauration du visa.

En 2008, soit l'année précédant l'imposition du visa, quelque 9000 demandes de statut de réfugié avaient été déposées par des Mexicains, soit le tiers de l'ensemble des requêtes.

Le coût de l'élimination du visa sur 10 ans se situerait légèrement au-delà des 260 millions de dollars en y soustrayant les retombées du tourisme mexicain.

Migrants : les services frontaliers canadiens débordés

 Radio-Canada propagandiste d'Ottawa, Mélanie Joly

Le flux de migrants en provenance des États-Unis ne s'est pas atténué, au contraire. En janvier et en février 2017, 1176 demandeurs d'asile ont franchi la frontière canadienne irrégulièrement par le chemin Roxham, près de Hemmingford, au Québec. C'est devenu une véritable crise que le Canada a de la difficulté à gérer, par manque de ressources.

 « Les services frontaliers canadiens sont enragés », affirme le président national du Syndicat des douanes et de l’immigration, Jean-Pierre Fortin. « Ils sont convaincus que les Américains se débarrassent du problème en amenant les migrants au chemin Roxham, plutôt que de les conduire au poste frontalier de Lacolle », précise-t-il.

Les services canadiens ont beau discuter de ce problème avec leurs homologues américains sur une base quotidienne, rien ne change.

Du côté américain, au poste de Champlain, dans l'État de New York, l'agent Normand Lague, des services frontaliers américains, explique qu'il ne peut forcer les migrants à passer par Lacolle si ces derniers ont un statut légal aux États-Unis.

L'agent Normand Lague, responsable du district Champlain aux États-Unis Canada

« Aucune loi américaine ne nous dit qu'on doit les détenir ou les amener à un endroit précis ». Il ajoute : « Ce n'est pas un crime aux États-Unis de traverser la frontière canadienne illégalement. » L'agent Lague précise que son travail consiste à sécuriser la frontière.

Différentes perceptions au Québec, des moutons blancs francophones

Au Québec, la perception est tout autre. Le policier à la retraite François Doré, qui vit sur le chemin Roxham, explique la situation. « Ils savent très bien que Lacolle va les refuser en vertu de l'entente [canado-américaine] sur les tiers pays sûrs. Ils vont donc revoir [les migrants]. En les amenant ici [au chemin Roxham], ils ne les revoient plus », affirme-t-il.

Selon lui, les agents frontaliers américains « se débarrassent du problème, c'est clair ».

L'agent Lague, des services frontaliers américains, rétorque qu'il ne fait que son travail. De plus, il précise qu'il fait ce qu'il peut en fonction de ses ressources limitées, soit 300 agents pour 800 kilomètres de frontière dont il a la responsabilité, soit l'État de New York, le Vermont et le New Hampshire.

En effet, l'agence des services frontaliers américains, la United States Border Patrol, compte 21 000 membres, dont seulement 2000 sont affectés à la frontière canadienne, jugée moins à risque par les autorités américaines.

Le Canada se retrouve donc dans une situation délicate face au géant américain qui, depuis le 11 septembre 2001, adopté par des politiques strictes pour la sécurité de ses frontières, tout en faisant preuve d'un certain laxisme face au voisin canadien.

Les passages irréguliers à la frontière canadienne ont continué à augmenter en mars, confirment les plus récents chiffres du ministère de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté. En tout, 887 personnes ont été interceptées par les agents de la GRC, contre 658 en février. Le Québec et le Manitoba demeurent les provinces les plus touchées, indiquent ces données publiées mercredi. Elles sont suivies par la Colombie-Britannique. 

MISE AU POINT

Dans une version précédente de ce texte, nous employons l’expression « passages illégaux « pour désigner les « passages irréguliers » des FAUX  demandeurs d’asile dont il est question ici.

S’il est vrai que ces individus sont, pour la plupart, entrés de manière irrégulière au Canada, ils n’en sont pas pour autant illégaux ou clandestins.

Par souci d’exactitude, Radio-Canada privilégie l’expression demandeur d’asile quand il est question de ces personnes.

Sécurité à la frontière Justin Trudeau - La  citoyenneté Canadienne immédiate remis à tous les terroristes islamistes

Un porte-parole du ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a précisé dans un courriel que l'Agence des services frontaliers et la GRC ont fait des ajustements de personnel pour faire face à cette hausse des passages illégaux jusqu'à maintenant.

Il a rappelé que les personnes qui traversent illégalement la frontière détiennent déjà un visa américain et que, par conséquent, elles subissent une double vérification de leur identité et de leurs antécédents, d'abord aux États-Unis, puis au Canada.

« En termes clairs, essayer de franchir la frontière d'une manière irrégulière n'est pas un laissez-passer pour le Canada », a écrit Scott Bradley, ajoutant que ces personnes sont appréhendées par la police à leur entrée en territoire canadien et que leur demande suit ensuite le processus.

Clôture au Manitoba installé par les citoyens

Et il y a cette clôture-ci, Ô manifeste d’intolérance, que l’on retrouve quelque part dans le Manitoba, semble-t-il. Peut-on imaginer pareille infamie chez nous? Que nenni!

Qui est ce politicien complètement déconnecté du monde qui ose même prononcer ce mot? Voyons donc! Une clôture avec un panneau pour signifier que les frontières existent! Quelle xénophobie! Quelle entrave à l’inclusion infinie et au noble idéal diversitaire! Au pilori!


Personne ne sait combien de demandeurs d'asile sont entrés clandestinement au Canada

Radio-Canada propagandiste de Justin Trudeau Un nombre grandissant de personnes traversent la frontière canado-américaine à pied afin de présenter une demande d'asile au Canada, mais les autorités ne savent pas combien de personnes sont entrées clandestinement au pays ni combien ont obtenu le droit d'y rester.

Dès leurs premiers pas en sol canadien, les demandeurs d'asile sont rapidement emportés par un système compliqué composé d'agences fédérales et provinciales, ainsi que des organismes sans but lucratif, qui gèrent tous leurs données de manière différente.

AVERTISSEMENT

Aucune de ces agences ne comptabilise spécifiquement le nombre de personnes qui ont présenté une demande d'asile après être entrées au pays clandestinement.

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) et l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) ont d’ailleurs décidé de ne plus publier de données concernant les demandeurs d'asile, affirmant qu'il est trop difficile de comptabiliser les données systématiquement d'une région à l'autre.

En vertu de l'Entente sur les tiers pays sûrs, le Canada n'accepte généralement pas les demandeurs d'asile en provenance des États-Unis.

Il existe toutefois certaines exceptions : comme le Canada est aussi signataire de la Convention sur les réfugiés des Nations Unies, ceux qui traversent la frontière clandestinement peuvent se voir accorder une permission spéciale pour que leur demande d'asile soit traitée au Canada.

AVERTISSEMENT

La manière la plus efficace de profiter de cette exception est de se présenter directement dans un bureau de l'ASFC ou de se faire escorter dans un de ces bureaux par des policiers.

Comme le Canada et les États-Unis partagent une frontière non défendue qui s'étire sur plus de 6400 kilomètres, il est presque impossible de savoir combien de personnes l'ont traversée illégalement.

Données inconciliables

Au cours des deux premiers mois de 2017, l'ASFC a reçu 2176 demandes d'asile. Ce chiffre comprend les personnes qui ont présenté leur demande dans un poste frontalier, ainsi que celles qui ont présenté leur demande après être entrées au pays clandestinement.

AVERTISSEMENT

Parallèlement, Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) accepte aussi des demandes d'asile formulées par des personnes qui sont déjà en sol canadien. Mais leurs données comprennent aussi les demandes faites par des personnes entrées au pays légalement, comme celles qui détiennent un visa étudiant.

La Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) sait combien de personnes ont fait une demande d'asile, mais là aussi, impossible de savoir comment la personne est entrée au pays.

L'exemple du Manitoba

Même au Manitoba, où il y a seulement une agence policière et un organisme sans but lucratif qui s'occupent des réfugiés, il est difficile de savoir combien de migrants clandestins sont actuellement dans la province.

Selon la GRC, 143 personnes ont traversé la frontière clandestinement près d'Emerson entre le 1er janvier et le 28 février 2017.

Parmi celles-ci, 136 personnes se sont rendues à Winnipeg et ont reçu un appui du Conseil multiconfessionnel d'aide à l'établissement des immigrants au Manitoba.

Quant aux sept autres personnes, il est possible qu'elles aient présenté des demandes d'asile de leur propre initiative, qu'elles aient présenté leur demande dans une autre province, ou qu'elles se cachent.

Il est également possible qu'on leur ait refusé l'entrée au pays pour des raisons de sécurité et qu'elles soient détenues en attente de leur expulsion. L'ASFC confirme avoir refusé l'entrée à des demandeurs d'asile qui ont franchi la frontière canado-américaine à pied, mais refuse de confirmer combien.

Le ministère de la Justice du Manitoba affirme que huit personnes sont actuellement en détention pour des questions liées à l'immigration. CBC News a confirmé qu'au moins une d'entre elles est un demandeur d'asile qui est entré au Canada à pied.

Pour sa part, le bureau manitobain de la CISR dit avoir reçu 48 nouvelles demandes d'asile au cours des deux premiers mois de l'année. La majorité des demandeurs semblent vouloir rester au Manitoba : la province a reçu 43 demandes d'assistance sociale de la part de réfugiés au cours de la même période.

AVERTISSEMENT

Où sont passées les 100 autres personnes recensées par la GRC au début du processus? Est-ce symptomatique de retards dans le système de traitement? Ou ont-elles déjà quitté la province, comme plusieurs personnes que nous avons rencontrées ont affirmé avoir l'intention de le faire?

Impossible d'en être certain

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Publié le mercredi 19 avril 2018 Mise  à jour le mercredi 25 avril 2018

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