Monsieur Grondin, pensais que la mort se raproche en 2023 incapable d'avoir un rendez-vous avec un pneumologue au public et se tourne santé privé et Dominic Fleury s’ubira une opération chiurgicale à Cuba, en le charcutant
Richard Grondin a eu la vie sauve après rendez-vous en quelques jours vous avec un pneumologue au privé. Au public, tous dormaient ronflaient se foutant de Richard Grondin un contribuable et non pas une élite sociétal politique.
Richard Grondin, un pompier de Québec de 58 ans, s'est retrouvé à l'hôpital de Laval pour un grave problème cardiaque qui n'avait pas été diagnostiqué au réseau public depuis plusieurs mois.
Six visites dans une clinique sans rendez-vous avec des médecins différents ne connaissant pas son dossier médical
Le médecin de famille est en congé de maternité, dans des clinique sans rendez-vous de sa clinique médicale, entre août 2022 et mai dernier et il a été rencontré par quatre médecins différents à maintes reprises reprises, on lui a prescrit des pompes et un antibiotique.
Ces derniers temps, l’essoufflement était devenu très incommodant même une simple marche était une épreuve insurmontable et je n’étais plus capable d’accomplir mon travail de pompier.
Et lorsque j’allais à la clinique, il me disait d’aller à l’urgence de l’hôpital pour poiroter des heures.
Lors du dernier rendez-vous à la clinique le 5 mai 2023, M. Grondin dit avoir insisté pour voir un pneumologue au public le merveilleux rendez-vous pour avril 2024.
M. Grondin quatre jours plus tard après plus de deux heures de route et payé 200 $ pour voir un pneumologue au privé, sur le champ, immédiatement pas d’attendre de ligne des coupons numérotés P1 à P7 à Laval. Le 17 mai dernier, le patient a dû revenir pour un test d’apnée.
En difficulté respiratoire durant l’examen, on lui a fait passer un électrocardiogramme qui a révélé un problème cardiaque. Sur-le-champ, M. Grondin a été envoyé en ambulance à l’hôpital Cité-de-la-Santé, à Laval.
Son cœur trop faible
Depuis, il a reçu un diagnostic de fibrillation auriculaire. Son cœur ne fonctionnait plus qu’à 40 % de capacité.
Malgré tout, M. Grondin a de bons mots à l’endroit du système de santé public.
Le problème, c’est de rentrer dans le réseau. Après, t’es bien servi, et accompagné, jure l’homme de 58 ans,
Aucun service en soins reçus en première ligne et j’étais ignoré complètement
Dominic Fleury, un autre patient rejeté par notre système et charcuté à Cuba
Autre injustifiable raté à la Régie de l’Assurance maladie du Québec (RAMQ) Dinosaure, carnivore incontrôlable soif d’argent pour les médecins, spécialistes, syndicats des chasses gardées en se nourrissant de patient Québécois sans aucun droit de parole. La machine sacrée Gouvernementale a tout nivelé pour s’engraisser sur son passage.
Dominic Fleury, Sherbrookois de 46 ans qui était affligé d’un douloureux mal de dos regrette amèrement d’avoir payé 18 000$ pour une chirurgie qui a tourné au cauchemar, à Cuba, où il a reçu de mauvais soins et est revenu encore plus souffrant qu’avant.
Âgé de 46 ans, l’homme souffrait au dos depuis près de 10 ans. Malgré une forte médication, il n’arrivait pas à soulager sa douleur. Technicien en automatisation, il avait même du mal à travailler et à s’occuper de sa maison.
Mais malgré sa condition, M. Dominic Fleury n’arrivait pas à se faire opérer dans le réseau public.
Pas assez grave, les services de la RAMQ, dormait au gaz
On m’avait dit que mon cas n’était pas assez lourd au Québec pour être opéré et j’avais entendu de bons commentaires les hôpitaux de Cuba.
M. Dominic Fleury a contacté une agence de tourisme médical de Québec et a payé $18 000 pour sa chirurgie de fusion lombaire à Cuba. Il a été opéré en février 2020.
Espérant la guérison rapide, je me suis dit ce qu’il arrivera, arrivera, je suis au bout du rouleau J’ai fait du tout au tout, et j’ai tout perdu, avoue-t-il. Ils m’ont vraiment brisé là-bas. Ça a tellement mal passé et ma santé s’est détériorée depuis
Nuit «d’enfer» aux soins intensifs, difficultés à voir le personnel médical, nourriture infecte, médicaments rationnés, pénurie de matériel médical: M. Fleury a éprouvé toutes sortes de problèmes durant son séjour de trois semaines.
À Cuba, Dominic Fleury a mangé à plusieurs reprises du pain sec avec du fromage, accompagné d'un jus tiède ou chaud. PHOTO FOURNIE PAR DOMINIC FLEURY
Puisqu’il ne pouvait pas être accompagné, il s’est retrouvé seul à devoir communiquer avec un traducteur.
J’ai tellement souffert. Le médecin ne venait pas. Il fallait que je fasse ce qu’ils disaient, je n’étais même pas capable de se lever de son lit d’hôpital, se désole le père de Dominic Fleury.
Après neuf jours, il a même été transféré dans une maison d’hôte sans service médical. Pour son suivi postopératoire, Dominic Fleury, devait prendre un taxi jusqu’à l’hôpital.
À son retour au Québec, son état avait empiré, et il peinait à se tenir debout. En plus, l’homme, qui avait perdu 20 livres, s’est retrouvé sans suivi médical.
Des vis dévissées composent dorénavant le corps de Dominic Fleury
Dominic Fleury, Québécois et francophone, a été abandonné à lui-même.
À son retour au Québec souffrant corps et âmes
Heureusement, un chirurgien du Centre hospitalier de l’Université de Montréal a accepté de le prendre en charge. Les radiographies postopératoires de Cuba ont montré toutes sortes de complications: un rejet de matériel médical et des vis tenant les tiges dévissées ou trop proches des nerfs, souligne le patient.
L’homme a finalement été réopéré à deux reprises en avril dernier, après six mois d’attente. Le quadragénaire croit toutefois qu’il a eu un service rapide parce qu’il était désormais un cas prioritaire.
On dit souvent que le réseau public du Québec n’est pas assez bon, pour moi, j’ai été chanceux revenir dans mon pays le Québec. On a tout jeté aux poubelles la quincaillerie qu’on m’avait mise à Cuba souligne-t-il.
Trois mois plus tard, l’homme poursuit sa convalescence, et ne prend désormais plus que trois médicaments par jour. Dominic Fleury, a bon espoir de retourner travailler prochainement, après trois ans d’arrêt.
«Je suis vraiment redevable au système du Québec», soutient celui qui déconseille à quiconque de faire du tourisme médical à Cuba.
C’est important de dissuader les gens même si c’est pour une chirurgie
Solutions au Gouvernement du Québec et à RAMQ c’est de permettre des assurances privés et au même moment de les contrôler et de voir à ce que les médecins, spécialistes, infirmières et autres des réseaux public pour tous les citoyens pouvant se payer des services hors du système public, qu’est en survie phase terminale
Une autre proposition d’un Québécois qui considère que le nombre d’heures des blocs opératoires ne fonctionnent que 30% du temps alloués et payé par le réseau public.
La solution que je vous propose pourrait soulager le système public lui permettant D’augmenter ses services auprès des personnes sans assurance privé et dégorger la RAMQ.
Une autre solution et proposition nos blocks opératoires étant fermé en fin de semaine, pourquoi pas les loués à prix d’or aux Américains et qu’ils fourniraient leur propres personnels et tout ce qu’ils ont de besoin pour opérer en leur offrant des lieux chiques pour leur convalescence à prix d’or.
Arrêtez de vous plaindre que la santé au Québec à deux vitesses avec le privé. À combien de reprises que notre système public demande les secours du privé. Présentement au Québec près d’un demi-million de Québécois sont sur les listes d’attente sachant qu’ils ne seront jamais opérés par manque d’argent et habituellement nos gouvernements connaissent toutes les façons de nous taxer et siphonner jusqu’au sang.
Si vous ne réalisé pas que depuis Gaétan Barrette et même avant lui que notre système de santé est à trois vitesses et de recevoir les services hospitalisés dans d’autre pays. D’ici quelques années Justin Trudeau nous noyant avec 70 millions d’immigrants ne pensez-pas que ceci n’effectueras aucunement toutes nos vies, et il détruit le Canada en entier.
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