Samuel Charbonneau demeurant à Saint-Jérôme a jeté un Jacques Bernier âgé de 71 ans dans l’escalier adjacent son logement, causant sa mort

Samuel Charbonneau demeurant à Saint-Jérôme a jeté un Jacques Bernier âgé de 71 ans dans l’escalier adjacent son logement, causant sa mort, derrière les barreaux pour trois années et tout en chamboulant les vies de dizaines de personnes

Mme. Hélène Bernier, 67 ans et sœur de Jacques Bernier, avec nos justices bonbons québécois que Samuel Charbonneau  qu’il aurait juste des travaux communautaires. Au moins, il est en dedans et, soulagée à sa sortie de la salle de cour Mme. Hélène Bernier

Peu avant, Samuel Charbonneau, 28 ans, qui a involontairement causé la mort de l’aîné de 71 ans, a entendu la juge Nancy McKenna lui imposer cette peine de pénitencier.

La famille Bernier est peut être satisfait du jugement. Le jugement adhère à la suggestion de peine que nous lui avions proposée, a commenté Me Steve Baribeau, procureur de la Couronne.

Considérant que Samuel Charbonneau âgé de 28 ans seulement a récolté un dossier criminel soit 2 ans et plus.

La quasi majorité des détenus sous responsabilité fédérale peuvent demander la semi-liberté six mois avant d'être admissibles à la libération conditionnelle totale ou six mois après le début de l'exécution de la peine, selon la plus éloignée de ces dates.  

Samuel Charbonneau ne réalise pas et ne comprend les gravités de ses gestes

Peu avant de se faire passer les menottes dans le box des accusés, Samuel Charbonneau avait passé ses derniers moments de liberté en grillant une cigarette avec ses proches à l’extérieur, le sourire aux lèvres avec une copine et le couperait tranchera son manque de maturité.

 La famille Bernier était en larmes, lors du rappel des faits du drame qui s’est joué le 11 septembre 2021, dans la petite municipalité d’Huberdeau, dans les Laurentides.

Menaces et insultes

Lors de cette soirée, l’accusé et un ami ont marché devant le duplex où résidait le septuagénaire.

En pleine pandémie, alors que les passants ne portaient pas de masque, M. Jacques Bernier les a menacés et insultés, de son balcon, haut d’une quinzaine de marches d’escalier en métal, à environ trois mètres du sol.

Ces derniers ont répondu à celui qui était reconnu dans son quartier pour invectiver les passants, mais ont tout de même poursuivi leur chemin.

Or, après s’être enivré au bar du coin, Samuel Charbonneau est revenu cogner chez l’aîné, prétendant encore à ce jour avoir eu l’intention de discuter avec lui, afin de comprendre son attitude.

Samuel Charbonneau  quel était son  objectif croyait-il atteindre en allant cogner chez la victime, à 22h15, alors qu’il est M. Jacques Bernier, lui-même fortement intoxiqué par l’alcool? 

En effet, aucune condition propice au dialogue n’était impossible, a tranché la magistrate, qui a qualifié cette explication d’invraisemblable.

Samuel Charbonneau, sa visite chez M. Jacques Bernier n’était pas motivée par un désir de dialogue et d’échange sur le ton de la compréhension, de conciliation  mais bien de confrontations.

Aucunement passif

D’autant plus qu’après s’être à nouveau querellé avec sa victime et l’avoir poussée à deux mains dans le dos, Samuel Charbonneau, ivre a quitté les lieux.

Samuel Charbonneau, est retourné se vanter de son exploit au bar, au lieu d’aider l’homme en difficulté après sa lourde chute causant la mort.

Samuel Charbonneau : Je l’ai crissé en bas des escaliers. Je l’ai crissé en bas des marches. Je m’en calice, se serait-il enorgueilli auprès d’une serveuse de l’endroit, qui a rempli une déclaration.

Samuel Charbonneau ne réalise pas à cet instant qu’il est un meurtrier  

Samuel Charbonneau et es agissements, ses aveux en interrogatoire, selon lequel il allait affronter la victime, mis en relief avec son comportement postérieur au bar, démontrent clairement que l’accusé était en colère et aucunement passif, a souligné la juge McKenna.

Samuel Charbonneau s’est  rendu aux autorités dès le lendemain du drame, et il a plaidé coupable à la première occasion et a admis son crime. 

Samuel Charbonneau n’a aucun antécédent judiciaire et  peut-être récupérable mais la prison peut aussi le mettre plus mauvais.

Samuel Charbonneau, peut-il voyager hors du Québec, en ayant un dossier criminel?

Cependant, vous vous demandez s’il est possible de voyager hors du Québec avec un dossier criminel. Voyager au Canada avec un dossier criminel

Voyager hors du Québec ne signifie pas automatiquement sortir du pays. En effet, il est possible que vous souhaitiez sortir du territoire québécois pour vous rendre dans une autre province canadienne ou l’un des trois territoires.

Comme c’est le gouvernement fédéral qui est responsable des dossiers criminels,  Il vous est donc possible de voyager d’une province canadienne à une autre sans problème

Voyager dans un autre pays avec un dossier criminel

Si vous envisagez plutôt de voyager dans le Sud, sachez que plusieurs pays tels que le Mexique, Cuba et la République Dominicaine vous permettront d’entrer sur leur territoire même si vous avez un dossier criminel. 

En fait, lorsqu’il est question d’accueil d’individus étrangers, les pays ont le droit d’appliquer les politiques qu’ils désirent et même d’y aller, cas par cas. Certains font donc preuve d’une grande flexibilité alors que d’autres se montrent extrêmement rigides.

États-Unis à oublier et les prisons américaines ne sont pas des clubs Med

En ce sens, posséder un dossier criminel représente un facteur d’inadmissibilité aux États-Unis. Ces mesures empêchent même les individus qui ont un casier judiciaire de simplement faire escale dans un aéroport américain.  

Les points d’entrée américains sont informatisés et reliés à une base de données qui permet aux agents frontaliers d’avoir accès aux renseignements sur les condamnations au criminel des citoyens canadiens. 

Il y a donc de fortes chances que vous soyez intercepté si vous tentez de passer les frontières.