lundi 4 septembre 2023

Avons-nous tous baissé les bras en contrôles autoritaires, une fillette de 3 ans incitée au vapotage Garderie à Mirabel et un nouveau-né forcé à fumer et une fillette de 6 ans agressée sexuellement l’école

 Avons-nous tous baissé les bras en contrôles autoritaires, une fillette de 3 ans incitée au vapotage Garderie à Mirabel et un nouveau-né forcé à fumer et une fillette de 6 ans agressée sexuellement l’école et le premier du Canada fume de la bonne

La vidéo où l’on voit des adolescentes initier une fillette de 3 ans à vapoter, qui a circulé sur les réseaux sociaux en fin de semaine dernière, 

La scène est survenue le 10 août dernier, dans la MRC de Bellechasse, dans la région de Chaudière-Appalaches. La séquence a été filmée sur l’application de messagerie instantanée Snapchat.

La vidéo permet de voir deux adolescentes, âgées de 14 et 15 ans, faire vapoter une jeune enfant de seulement 3 ans.

Ce n’est pas un  cas unique 

Cette vidéo rappelle un autre cas similaire survenu en mars dernier lorsqu’un bébé de 16 mois a été filmé sur Instagram pendant qu’il aspirait deux grandes inhalations d’une vapoteuse dans une garderie de Mirabel.

L’accusée s’en est sortie avec une probation de douze mois, période durant laquelle elle s’est engagée à avoir une bonne conduite.

Deuxième cas

Fillette agressée sexuellement par des camarades: sa mère dénonce les manœuvres pour la faire changer d’école

Une mère de Salaberry-de-Valleyfield se bat contre le centre de services scolaire qui traite sa fille comme un numéro

Une mère de la Montérégie dénonce les manœuvres de l’école de sa fille de 7 ans pour la faire changer d’établissement après qu’elle a été agressée sexuellement par des camarades de classe. 

Le 18 mai, elle a reçu un coup de fil de la direction de l’école primaire Langlois, à Salaberry-de-Valleyfield, m’invitant à s’y rendre d’urgence. 

On lui a alors appris que sa fille Samantha, nom fictif, 7 ans, avait été agressée la veille. Elle aurait été forcée de prendre part à des jeux sexuels par trois camarades de classe pendant qu’elle était au service de garde. 

La direction a exigé de la fermer et de ne pas ébruiter la situation, explique-t-elle. 

Les trois enfants, qui étaient eux aussi en 1re année, auraient attiré la fillette au fond de la cour, auraient exhibé leurs parties génitales devant elle et l’auraient obligée à uriner devant eux, sans que les surveillants s’en rendent compte, selon ce qui a été rapporté à la mère.

 La direction aurait aussi mentionné l’existence de plusieurs autres victimes. Au moins deux des enfants en question auraient développé de  certaines élèves lorsque la surveillance était déficiente au service de garde en raison d’un manque de personnel, raconte Josée.

Samantha a d’abord été affectée par les événements doit changer d’adresse pourquoi?

Le 23 juin, Josée, nom fictif, reçoit un appel de l’école lui annonçant que Samantha devra changer d’école à la rentrée prochaine sous prétexte qu’elle aurait déménagé. 

Or, Josée n’a jamais demandé ce transfert ni déclaré de changement d’adresse. 

En fait, Samantha préférerait rester à l’école Langlois afin de garder ses amis et son enseignant qu’elle adore et qui suivra sa cohorte en 2e année.

La direction aurait toutefois décidé de façon unilatérale que Langlois n’est plus son école de quartier en se basant sur des informations recueillies au service de garde auprès de la fillette elle-même. 

Josée a alors envoyé des preuves de résidence à l’école Langlois, en vain. Elle a ensuite formulé une plainte au Centre de services scolaire de la Vallée-des-Tisserands  en juillet. 

Elle a reçu une fin de non-recevoir le 11 juillet 2023, lui indiquant que Samantha devra aller à l’école Notre-Dame-du-Saint-Esprit.

La décision écrite ne fait pas mention de l’agression, mais Josée est convaincue que les démarches entreprises pour vérifier son adresse visaient à se débarrasser de sa fille plutôt que de gérer le problème des enfants qui l’ont agressée. 

Sommes-nous devenues des arriérés  sans conscience  si oui prenons des cartes de membres des partis libéral du canada (PLC),  parti libéral du Québec (PLQ) et de Québec Solidaires (QS) que tous les déchéances  sont permises………..

Garderie à Mirabel sur une vidéo un bébé forcé à fumer

Une ado québécoise s’est filmée en train de faire vapoter un poupon, tout en riant aux éclats

Le Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) a aussi été contacté pour se pencher sur cette vidéo troublante de 10 secondes publiée sur Instagram jeudi. On voit, dans celle-ci, un poupon aspirer deux grandes inhalations d’une vapoteuse.

Le bébé s’étouffe aussitôt, alors que la jeune Québécoise filmant la scène rit à gorge déployée.

«Quand tu n’as rien à faire et que tu décides de faire fumer un bébé de 16 mois», lit-on dans une publication partagée sur la page Instagram de l’adolescente. 

Dans une garderie dans le secteur de Saint-Augustin de Mirabel.

Ironiquement, la propriétaire de cette garderie a écrit sur son site qu’elle offrait un lieu sans fumée pour la santé des petits.

Les adultes ont pliés bagages et l’Enfant-Roi y est  le Roi inconstestable

Dans quelle mesure l’évolution de la société actuelle, du fait de ses nouvelles composantes telles que la mondialisation, le développement exponentiel du virtuel, infléchit-elle les fondements  avaient été établis en des temps où le système des valeurs était tout autre ? 

Que les adultes ont perdus les contrôles de leurs  enfants, parce qu’ils ont renoncé à faire preuve d’autorité et perdu confiance en eux-mêmes. 

Ils sont motivés par le désir de favoriser le développement de l’enfant de façon réfléchie et respectueuse. 

En théorie, leurs intentions sont bonnes et leurs efforts impressionnants : les parents d’aujourd’hui tentent de responsabiliser leurs enfants – ils veulent aussi les contenter et éviter les conflits. En réalité, ils risquent de perdre leur primauté sur leurs enfants.

 Pas de dessert avant d’avoir mangé ton brocoli » est devenu « Trois bouchées de brocoli et ensuite le dessert, qu’en dis-tu ? »

La commande s’est transformée en question, avec une promesse de récompense, ajoute-t-il. 

Le choix du repas exige de nos jours un sondage auprès des enfants pour savoir ce qu’ils acceptent de manger : poulet rôti et pommes de terre ou croquettes de poulet et frites. Leur choix est évident. Les parents renégocient l’alimentation familiale


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