Gabriel Thiffeault - Traumatisé à 8 ans - Autiste à l’école secrètement subissait des sévices, violences, plusieurs mesures de contentions le faisant paniquer et camoufler, dissimuler, cacher de ses parents
Gabriel Thiffeault, 12 ans, refuse maintenant de retourner en classe. Sa mère a entrepris des démarches pour lui faire l'école à la maison.
Les parents d’un garçon autiste qui subissait des mesures de contention à son école n’en ont pas été informés, une situation inacceptable.
Véronique Lacombe avait bien remarqué que le comportement de son garçon de 12 ans avait changé depuis le retour en classe en janvier.
Mais ce n’est qu’au début avril qu’elle a découvert le pot aux roses en se rendant à l’école Hébert, à Laval, pour aller chercher son garçon en fin de journée.
En présence d’une intervenante, il a alors affirmé qu’il était «tanné de se faire prendre de force et empêché de bouger», rapporte sa mère.
Véronique Lacombe, j’ai sursauté, choqué……... L’intervenante a sorti rapidement un guide des méthodes de contention et il a pointé des positions qui lui avaient été faites», raconte-t-elle.
Or le protocole de crise mis en place pour Gabriel Thiffeault, depuis 2019, prévoit plutôt qu’il faut appeler les parents ou grands-parents dès que l’élève présente des signes de désorganisation ou encore le service de police si la situation dégénère trop rapidement.
«Les parents refusent que l’on fasse des mesures de contention, alors on fera le minimum pour sa sécurité et nous appellerons le 911 pour avoir du soutien. Les parents viendront le chercher», peut-on lire.
Mme Lacombe a par la suite appris que son garçon avait subi des mesures de contention à maintes reprises disciplinaires depuis janvier 2024, sans jamais en avoir été informée.
«Dès que mon enfant tombe ou se blesse dans la cour de l’école, on m’appelle immédiatement, on fait un rapport.
Là, on appelle le professeur d’éducation physique en renfort pour l’immobiliser et personne ne nous informe. J’appelle ça joue à la cachette et dissimulé et ensevelit les faits.
Impact sur la vie de l’enfant
Les parents sont souvent tenus dans l’ignorance lorsque le recours aux mesures de contention semble peu justifié
Au début avril, Gabriel aurait fait l’objet de mesures de contention après avoir lancé son manteau et ses bottes, d’après les informations obtenues à l’école par sa mère, qui affirme n’avoir jamais eu à gérer de crises à la maison.
De son côté, le centre de services scolaire de Laval confirme qu’une intervention auprès de cet élève a été nécessaire afin de protéger la sécurité des élèves et du personnel.
Les parents de Gabriel avaient refusé les mesures de contention pour leur garçon à la suite d’un incident survenu quatre ans plus tôt, alors que Gabriel avait été maintenu physiquement par deux adultes de l'école L'Envol, aussi située à Laval.
Sa mère décrit un événement «traumatisant» qui lui a laissé de graves séquelles sur le plan psychologique et veut mourir,
Ministère de l’éducation et ses directives inconnues et si vous désirez vous faire entendre voir les médias : réponses positives assurées
Bernard Drainville réagissait alors à un reportage de Radio-Canada dans lequel plusieurs parents dénonçaient un recours abusif à ces méthodes.
Au cabinet du ministre Drainville, on affirme que le travail se poursuit présentement. C’est un sujet sensible et nous n’y avons pas l’argent requis
Les blas, blas des politiciens
Considérant que Justin Trudeau accorde des subventions de 900 millions de dollars pour les asexuels et de leurs propagandes pour ce faire accepter comme LGBTQ qui lui tient à cœurs, j’irais jusqu’en en dire que ça le démange beaucoup
Les autistes ne sont même pas au même niveau que certaines minorités que les asexuels ou autres et mêmes voilés ,traités tel que déchets n’ayant aucun pouvoir électoraliste.
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