dimanche 28 avril 2024

Marc-André Trottier décédé à Cuba et, Faraj Allah Jarjour décéde à Cuba à son l'hôtel et le défunt attaché sur une chaise longue de piscine en plastique est resté sur la plage durant plusieurs au soleil

 Marc-André Trottier, décédé en vacance au Mélia Cayo Largo à Cuba  ainsi queFaraj Allah Jarjour décéde à Cuba  à son  l'hôtel et attaché sur une chaise longue de piscine en plastique est resté sur la plage durant plusieurs au soleil

Le Canada sclérosé de Justin Trudeau ne s’occupe que des LGBTQ  et des rêves subliminaux assexualisés  

Gouvernement du Canada les nullités travaillant dans  nos ambassades aucune aide de l’ambassade canadienne Une autre famille a eu du mal à rapatrier les restes de leur proche mort à Cuba et n'a rien reçu.

Québécois décédé à Cuba: la famille reçoit la mauvaise dépouille

La famille d’un sexagénaire mort d’une crise cardiaque a reçu la dépouille d’un Russe plutôt que celle espérée.

Une autre famille a eu du mal à rapatrier les restes de leur proche mort à Cuba et n’a reçu aucune aide de l’ambassade canadienne.

La fille de l’homme, Marc-André Trottier, décédé le 27 février dernier dans un centre de villégiature de Cayo Largo à Cuba raconte que son père est mort dans des circonstances qui demeurent nébuleuses et qu’à ce jour, elle n’était toujours pas certaine d’avoir reçu les cendres de son père.

Étant donné qu'il y a eu une erreur dans les numéros au départ, on a reçu les cendres d'un homme qui était décédé au Panama qui devait aussi revenir à Montréal.», explique Jennifer Trottier.

Quelques jours plus tard, on a finalement reçu les cendres de mon père, mais moi j'ai un doute sur la véracité de ces cendres, ajoute-t-elle. Ça ressemble à du petit gravier. Ce n'était pas tout à fait brûlé, c'est assez dur, ça à une drôle d'odeur, ça se décompose

Mme Trottier avance que sa famille n’aurait reçu aucune aide d’Affaires mondiales Canada.

Toutefois, Affaires mondiales Canada  nous a déclaré mardi après-midi que le ministère peut faciliter le transfert de fonds entre la famille et les services funéraires locaux, lorsqu'un citoyen canadien est décédé à Cuba, pour couvrir les coûts des services mortuaires et le rapatriement de la dépouille. 

Le transfert de fonds par l'intermédiaire d'Affaires mondiales Canada est soumis à des frais de service consulaire de 75 $CAN», a précisé la porte-parole de AMC, Charlotte MacLeod.

C'est le fournisseur local de services funéraires qui gère tous les aspects du décès d'un étranger à Cuba, y compris l'embaumement, la réservation des vols, la livraison de la dépouille à la compagnie aérienne et la communication des détails de l'expédition.

Faraj Allah Jarjour, décède le 22 mars 202 à Cuba  et l’hôtel transporte le corps de Faraj Allah Jarjour attaché sur une chaise longue de piscine en plastique est resté sur la plage pendant des heures  sous les feux du soleil

Une histoire similaire macabre alors que la famille  Miriam et Karam Jarjour  a reçu le mauvais corps après avoir déboursé 10 000$ pour rapatrier la dépouille de leur proche.

La famille du Lavallois décédé lors de vacances à Cuba le mois dernier cherche par tous les moyens à retrouver sa dépouille, après avoir reçu le mauvais corps vendredi.

Miriam et Karam Jarjour tentent depuis quelques jours d’obtenir une réponse à une question en apparence plutôt simple, mais à laquelle personne ne semble avoir d’explication: «Où est notre père?»

Le fils de Faraj Allah Jarjour, Karam Jarjour, sa femme Dina Ghoulam et sa fille Miriam Jarjour. 

«Tout le monde me dit que ce n’est pas leur responsabilité. Mais c’est la responsabilité de qui?», s’insurge la fille de Faraj Allah Jarjour, décédé le 22 mars dernier à Cuba.

 Voyez ceque  Miriam Jarjour, la fille du défunt:

Québécois décédé à Cuba: la famille reçoit la mauvaise dépouille. Entrevue avec Miriam Jarjour, la fille du défunt.

Sa famille et lui étaient arrivés à l’hôtel Mélia Varadero deux jours plus tôt pour des vacances d’une semaine dans un tout inclus.

Le destin de l’homme de 68 ans a toutefois pris une tournure tragique lorsqu’il a fait une crise cardiaque en nageant dans la mer avec sa fille.

«Je me suis mise à crier: aidez-moi!», raconte Myriam Jarjour dans son appartement de Laval, entourée de ses proches.

Aucune aide

Aucun sauveteur ne se trouvait à proximité sur la plage, selon la famille. C’est son frère Karam qui a été le premier à venir les aider, en vain. Ni médecin ni infirmière n’auraient été présents dans le complexe hôtelier. 

Des employés ont donc placé le corps de M. Jarjour sur une chaise longue sur la plage en attendant le transport funéraire.

Le corps de Faraj Allah Jarjour est resté sur la plage pendant des heures après son décès le 22 mars à Varadero, Cuba. PHOTO FOURNIE PAR LA FAMILLE

La dépouille a été exposée au soleil de Cuba pendant plus de huit heures, jusqu’à ce que des employés viennent la chercher en fin de soirée. La famille n’a jamais revu le corps.

Dans les jours suivants, les proches de M. Jarjour ont multiplié les démarches auprès de l’ambassade du Canada à La Havane afin de rapatrier le corps, puisque ce sont elles qui font la liaison avec Cuba et les entreprises spécialisées dans ce type de transport.

Ils ont dû mettre en commun leurs économies afin de débourser des frais de plus de 10 000$ pour ramener le corps à Montréal, où il sera enterré.

Corps à Montréal

La dépouille du sexagénaire qui avait émigré de Syrie il y a huit ans devait arriver vendredi à l’aéroport Montréal-Trudeau, puis être récupérée par le salon funéraire.

Les papiers d’identification qui se trouvaient avec le cercueil étaient ceux de M. Jarjour. 

Mais le corps qui se trouvait à l’intérieur n’était pas le bon.

J’étais sous le choc, je pleurais. Qu’est-ce que j’allais pouvoir dire à ma mère?», se rappelle Karam Jarjour.

La dépouille envoyée au Canada était en fait celle d’un homme russe avec des cheveux et des tatouages, 20 ans plus jeunes que M. Jarjour.

Les autorités consulaires russes ont depuis réussi à retracer le corps de leur citoyen, qui était lui décédé à Santa Lucia, et l’ont rapatrié auprès de ses proches. 

La famille de M. Jarjour n’a quant à elle pas eu de nouvelles d’Ottawa et ne sait toujours pas où peut se trouver la dépouille.

Les autorités canadiennes doivent faire des vérifications, ce n’est pas un t-shirt ou quelque chose envoyé par Amazon», peste Karam Jarjour.

Affaires mondiales Canada  se cache sous les Secrets d’États


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