Reaction Dynamics- Fusée entièrement Québécois - AURORA son premier baptême spatial le premier engin spatial fabriqué à Longueuil et lancer de la Nouvelle-Écosse en 2025
Messieurs Bachar Elzein, Maxime Goulet-Bourdon se sont bien positionnés pour offrir au monde entier des lanceurs de satellite à 50% du prix actuel, pour compétitionner SpaceX
Installée à Longueuil, à un jet de pierre de leur principal bailleur de fonds, l’Agence spatiale canadienne, qui les a subventionné à hauteur de 2,4M$ en 2024, l'entreprise aura entièrement conçu et fabriqué une fusée, du moteur au fuselage, une première Québécoise
Nos buts est de lancer d'ici 10 ans de 24 à 36 fusées par an, transportant des satellites vers l’espace pour des clients de tous les coins du monde.
La fusée Aurora qui décollera en septembre prochain sera la première d'une série de la société Reaction Dynamics, de Longueuil.
Bachar Elzein ses rêves de fusées se réalisent
Dès l’âge de 12 ans et jusqu’à ses études en génie mécanique à Polytechnique Montréal, M. Elzein rêvait de fusées.
Avec le club étudiant Oronos, il s’est illustré au concours : Spaceport America Cup à Las Cruces, Nouveau-Mexique, remportant les premières places en 2012, 2013 et 2014.
Bachar Elzein nous affirme que ce sont des victoires d’équipe général de Reaction Dynamics en précisant que jusqu’à 100 groupes à travers le monde se présentent à cette compétition consistant à lancer de petites fusées vers des objectifs dans le ciel.
C’est dans la précision que l’expertise québécoise s’est révélée supérieure aux compétiteurs.
L'entreprise québécoise Reaction Dynamics possède une usine à Longueuil et un site d'expérimentation à Joliette.
Durant ses études de baccalauréat, Bachar Elzein a découvert un principe innovateur permettant de propulser une fusée avec un nouveau type de carburant plus écologique mais surtout plus efficace.
Ce concept a été breveté en 2024 après cinq ans de démarche.
Il conférera à l’entreprise une longueur d’avance sur ses concurrents internationaux, selon l’ingénieur.
Septembre prochain, l’entreprise connaîtra son baptême du feu lorsqu’elle lancera dans l’espace un premier prototype capable de transporter des satellites.
Quelque 10 000 satellites circulent en orbite autour du monde. La plupart servent aux télécommunications, les autres à l’observation de la Terre pour la météo, la navigation et les applications militaires.
Le coût de lancement de chaque satellite varie de 2 à 5M$ pour des lancements multiples de petits satellites et peut atteindre 55 millions de dollars pour les plus gros de près de 3 tonnes ou même 100 M$ pour les 9 tonnes.
Le Canada est le seul pays du G7 à ne pas avoir un site de lancement de fusées, ce qui le rend dépendant des partenaires internationaux pour les décollages.
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