jeudi 26 décembre 2024

Presse Canadien signé Dylan Robertson Donald Trump a demandé Wayne Gretzky d’être le premier gouverneur de l’État du Canada le 22 décembre 2024

 Presse Canadien signé  Dylan Robertson Donald Trump a demandé Wayne Gretzky d’être le premier gouverneur de l’État du Canada le 22 décembre 2024

Justin Trudeau notre oiseau moqueur (mockingbird)  affronte  à une crise politique soutenue depuis 10 ans  et orchestré par les stratèges de Donald Trump futur président des États-Unis d’Amérique et du Canada

Justin Trudeau informé des intentions que Donald Trump, Je viens de quitter Wayne Gretzky, sur sa plateforme Truth Social  le 25 décembre 2024 en 

Donald Trump, et Wayne Gretzky  prochain gouverneur du 51ème États des États-Unis d’Amérique, 

Tu gagnerais facilement, et tu n'aurais même pas besoin de faire campagne a ajouté le président élu nous avons pipés les cartes et déjà commandités  et  les élites Torontoises en fera propagande

Son commentaire sur le fait d'être gouverneur du Canada fait référence au fait que M. Trump a suggéré à plusieurs reprises que le pays devienne un État américain, ce qui, maintient Ottawa, n'est qu'une blague. ? ? ? 

Avec Donald Trump ne soyez pas dupes il n’est pas blagueur et je vous donne un exemple il a refusé de serrer la main à Angela Merkel chancelière d’Allemagne  le 17 mars 2017 et quelque temps après acheter le territoire du Groenland appartenant au Danemark  

Trump critique le Danemark, qui joue l’apaisement après son refus de vendre le Groenland et je l’aurai cette Ile de même que le Canada en son entier

Si le Danemark a joué l’apaisement à Noël , Donald Trump, visiblement VEXÉ, a justifié l’annulation de sa visite dans le pays scandinave par le ton « méchant » des propos de la première ministre danoise et le refus de Copenhague de vendre le Groenland aux États-Unis.

La déclaration de la première [ministre] selon laquelle c’était une idée absurde » d’acheter le Groenland « était méchante » (« nasty »), a tonné le président américain, interrogé par les journalistes, alors que Mette Frederiksen avait assuré plus tôt qu’il n’y avait « pas de crise » entre Copenhague et Washington.

« Tout ce qu’elle avait à faire était de dire “non, nous ne serons pas intéressés” » par l’idée de vendre le Groenland, a poursuivi l’ancien homme d’affaires new-yorkais.

Mme. Mette Frederiksen première ministre du Danemark « Elle ne s’adresse pas à moi, elle s’adresse aux États-Unis d’Amérique. On ne me parle pas de cette façon aux États-Unis », a averti M. Trump, 

Justin Trudeau et Mélia Trump:







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