Justin Trudeau en admiration du meurtre de déshonneur de Madame Sikh Malkit Kaur Sidhu, une Sikh voilée Sidhu, qui entoure son cervelet a fait assassiner sa fille en Inde, une religion miséricordieuse tout comme l’islam qui envahissent notre territoire avec les approbations de nos politiciens véreux
Une mère exemplaire selon le parti libéral du Canada et de la ministre de la justice du Canada, Judy Wilson-Raybould, et du ministre de la défense du Canada, Harjit Sajjan, Parti libéral du Canada (PLC), Jagmeet Singh chef du Nouveau Parti Démocratique du Canada (NPD) et Jaggi Singh imbécile mondialiste véreux, extrémiste, provocateur ami des médias, un ami inconditionnel de Justin Trudeau
Justin Trudeau, le déshonorable premier ministre du Canada le multiculturaliste infâme. démagogue, serpent, rat, Nous devons accepter ces meurtres de déshonneurs faisait partie de leurs et coutumes barbares Jody Wilson-Raybould ministre de la fausse justice islamique, sikhs, immigrants non intégrable avec ces religions de retardés mentaux.
Canada a extradé vers l’Inde après deux ans devant les tribunaux
Le Canada a extradé vers l'Inde la mère et l'oncle d'une jeune femme assassinée dans ce pays il y a 19 ans après avoir épousé un homme rejeté par sa famille, ont annoncé jeudi des médias canadiens.
Le corps de Jaswinder Kaur Sidhu avait été découvert en juin 2000 dans l'Etat du Penjab, la gorge tranchée. Elle était âgée de 25 ans au moment des faits.
Son oncle Surjit Singh Badesha avec son turban, son papier cul sur la tête et son kirpan (couteau) autorisé par les juges libéraux de la Cour Suprême du Canada qui font de la politique active de la cour suprême du Canada.
La mère indigne Malkit Kaur Sidhu ainsi que son époux enrubanné, qui vivent tous deux en Colombie-Britannique, sont accusés par les autorités indiennes d'avoir commandité le meurtre de la jeune femme.Jaswinder Kaur Sidhu sa fille et son copain
Selon la justice indienne, ces deux, immigrants non intégré et non intégrable , tel que les Sighs et compagnie, Zunera Ishad, terroriste Pakistanaise qui chie perpétuellement sur le drapeau du Canada autorisé par Justin Trudeau.
Canadiens d'origine indienne non intégrées à notre culture occidentale, nos valeurs chrétiennes, s'étaient énergiquement opposées au mariage de Jasvinder, issue d'un milieu aisé, avec un chauffeur de pousse-pousse issu d'une famille pauvre.
M. Badesha et Mme Sidhu, les criminels religieux extrémiste, Sikhs avaient fini par engager des tueurs à gages pour qu'ils tuent les époux.
Alors qu'il était en scooter, le couple avait été attaqué par un groupe d'hommes armés. L'époux avait survécu à ses blessures.
Sept hommes avaient été reconnus coupables du crime en Inde, mais plusieurs condamnations ont été infirmées en appel. Un homme impliqué dans le meurtre d'honneur d'une femme de la Colombie-Britannique qui obtient la résidence permanente , une erreur immigrante
Jashwinder Singh Sidhu et Jaswinder Kaur Sidhu assassiné par la mère et belle mère fournis
Alors qu'il purgeait une peine à perpétuité, Sidhu a demandé à devenir un résident permanent au Canada avec son épouse et son fils adulte. Il a menti sur son casier judiciaire
Darshan Singh Sidhu, l'une des sept personnes en Inde impliquées dans le meurtre «par l'honneur» d'une femme de la Colombie-Britannique dans ce pays en 2000, s'est vu accorder par erreur un visa de résident permanent pour le Canada en 2008 après avoir menti sur son casier judiciaire.
L'erreur a été révélée dans une récente décision de la Cour fédérale concernant la question de savoir si le fils de Sidhu, qui avait obtenu un visa au même moment, devrait être autorisé à rester au Canada malgré les fausses déclarations de son père, qui est depuis retourné en Inde.
Il s’agit de l’un des nombreux méandres juridiques au Canada et en Inde depuis le meurtre de Jaswinder Kaur Sidhu, 25 ans. La femme de Maple Ridge, en Colombie-Britannique, et son mari, le conducteur de pousse-pousse, Sukhwinder Singh Sidhu, ont été attaqués par une foule d'hommes dans la région du Pendjab, en Inde, en juin 2000. Son corps a été retrouvé le lendemain, la gorge tranchée.
La police en Inde a affirmé que la mère de Jaswinder, Malkit Kaur Sidhu, et son oncle, Surjit Singh Badesha, avaient ordonné le meurtre de la Colombie-Britannique après que Jaswinder n'avait pas épousé un homme plus riche choisi pour elle. Sept personnes en Inde, dont Darshan Singh Sidhu, ont été initialement reconnues coupables d’avoir orchestré le meurtre commis au nom de la famille de Jaswinder au Canada.
En janvier 2007, alors qu'il purgeait une peine d'emprisonnement à perpétuité, Sidhu a demandé à devenir un résident permanent au Canada avec son épouse et son fils adulte. (Il avait déjà une fille au Canada à l'époque qui était leur parrain). Lorsqu'on lui a demandé sur son formulaire de demande s'il avait fait l'objet d'une procédure pénale, Sidhu a répondu «non».
En 2008, Sidhu, qui était en train de faire appel de sa condamnation, s'est vu accorder une libération conditionnelle temporaire. En mai de la même année, Sidhu, son épouse et son fils âgé de 25 ans - visas canadiens en mains - se sont rendus à Vancouver et ont obtenu le statut de résident permanent après s'être entretenus à l'aéroport.
Sidhu et son épouse sont rentrés en Inde environ six semaines plus tard afin que Singh puisse recommencer à purger sa peine. Ils ne sont pas retournés au Canada. Cependant, leur fils, Barinder Singh Sidhu, est resté dans le pays et a fondé une famille.
Au début de 2014, lors d'une courte visite en Inde, le fils n'avait pas réalisé que sa carte de résident permanent était expirée et il a donc dû se rendre au consulat du Canada pour obtenir un visa de voyage pour revenir au Canada.
C'est alors que les autorités de l'immigration ont réalisé qu'elles avaient précédemment accordé des visas de résident permanent à un meurtrier condamné et à sa famille.
Ils ont laissé Barinder Singh Sidhu revenir au Canada, mais en 2015, un agent d'immigration a déposé un rapport affirmant qu'il ne devrait plus être autorisé à rester au motif qu'il avait dissimulé des informations sur la condamnation de son père.
Mais l'année suivante, la division de l'immigration de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) décida qu'il pouvait rester, car il n'était pas responsable des déclarations erronées de son père.
La Section d'appel de l'immigration de la CISR a confirmé cette décision en 2017, amenant le gouvernement à demander un contrôle judiciaire par la Cour fédérale du Canada.
Le gouvernement a fait valoir que même si le fils n'avait jamais été interrogé sur le casier judiciaire de son père dans le cadre de sa demande de résidence permanente ou lors de son entretien à l'aéroport de Vancouver, il était toujours tenu de divulguer ces informations en vertu d'un "devoir de franchise", et donc indirectement. ”Faits inexacts ou dissimulés.
Dans une décision rendue la semaine dernière, le juge Richard Mosley a conclu que le fils n'était pas tenu de divulguer les antécédents criminels de son père.Cependant, Mosley a toujours conclu que le fils était interdit de territoire au Canada en raison des déclarations fausses de son père, qui avait agi en tant que demandeur principal de la famille.
«Les parties ne contestent pas le fait que, sans la fausse déclaration de Darshan Singh Sidhu, (son fils) n'aurait pas été admis au Canada en tant que membre de la famille l'accompagnant», a déclaré Mosley. «Les visas auraient été refusés et la famille a refusé d'atterrir au port d'entrée. Son statut de résident permanent est donc fondé sur un mensonge, bien que celui de son père quand ils ont demandé et réussi à entrer au Canada. »
Le juge a renvoyé l'affaire à la division d'appel de l'immigration de la CISR pour réexamen.
Alex Stojicevic, l'avocat de Barinder Singh Sidhu, a déclaré mardi qu'il envisageait de faire appel de la décision de la Cour fédérale. L'autre option serait de laisser l'affaire à la CISR et de faire valoir que son client devrait être autorisé à rester au Canada pour des motifs d'ordre humanitaire.
«Contrairement à ses parents, mon client vit ici depuis 2008. Il a un emploi, a deux enfants ici qui sont citoyens canadiens, une femme qui est citoyenne canadienne et une soeur ici», a déclaré Stojicevic. «Il y a de forts facteurs en sa faveur. Et il n'a pas de record. "
Les responsables de l'immigration ont déclaré qu'ils ne pouvaient pas commenter l'affaire pour des raisons de confidentialité.
Dans l'intervalle, la condamnation de Darshan Singh Sidhu a été annulée par la Cour suprême de l'Inde, bien qu'il soit peu probable qu'il puisse jamais revenir au Canada, a déclaré Stojicevic.
En ce qui concerne Surjit Singh Badesha et Malkit Kaur Sidhu, responsables présumés du meurtre, leurs avocats de la Colombie-Britannique continuent de contester les tentatives faites par l'Inde pour extrader le couple et ont demandé la suspension permanente d'une ordonnance de remise rendue par le ministère de la Justice du Canada.
M. Badesha et Mme Sidhu ont nié toute implication dans le meurtre et ont fait appel de la demande d'extradition de l'Inde jusqu'en Cour suprême du Canada, qui les a déboutés en 2017.
https://www.tvanouvelles.ca/2019/01/24/extradition-dune-mere-soupconnee-davoir-fait-assassiner-sa-fille
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