dimanche 27 janvier 2019

Jocelyne Lizotte et Michel Cadotte son époux est accusé de meurtre par compassion. Il n’est pas un meurtrier, mais bien ce sont deux victimes du système judiciaire

Jocelyne Lizotte et Michel Cadotte son époux est accusé  de meurtre par compassion. Il n’est pas un meurtrier, mais bien ce sont deux victimes du système judiciaire qui protège les plus les meurtriers que les victimes. Changer les lois Justin Trudeau au fédéral  et François Legault au provincial.

Jocelyne Lizotte, qui souffrait de la maladie d’Alzheimer, passait le plus clair de son temps attachée à son lit ou à sa chaise, dans cette chambre du CHSLD du Centre-Sud où elle résidait depuis 2014. Elle ne reconnaissait même plus ses proches.
Michel Cadotte avait fait installer une télévision dans la chambre pour qu’elle puisse écouter de la musique pendant la sieste. Il lui donnait aussi régulièrement un morceau de chocolat », a expliqué une préposée aux bénéficiaires, jeudi, au procès de Michel Cadotte, afin d’illustrer comment il prenait soin de sa femme.
Meurtre par compassion dont le terme « le mot Meurtre n’a pas sa place» nous devons trouver un autre nom pour ces accidents de la vie
L’homme de 57 ans est accusé du meurtre au second degré de son épouse, Jocelyne Lizotte, après 19 ans de mariage et un an après que la dame se soit fait refuser l’aide médicale à mourir.
Accusé au criminel comme un meurtrier pouvant avoir un dénouement tragique pour ce grand homme mortifié par la disparition de son épouse, de son amour, de son ami pour la vie.

La compassion est de mise avec les aides pour ces personnes et leurs familles

Cet homme ne doit être jugé comme un criminel, mais selon la conscience humanitaire, de la majorité des Québécois, et Canadien, M. Michel Gadotte un être humain et très humain, tout comme en Alberta, le père de famille qui a mis fin aux misères de sa fille handicapé fortement  Robert Latimer qui a du passé une dizaine d’années comme un criminel, et ce qui n’était pas le cas il doit avoir de l’aide médical, psychologique et non pas la tôle.
Des hommes meurtris et leurs consciences sont attaquées.
Robert Latimer demande que son cas soit revu en plaidant que, à l’époque, les médecins avaient refusé d’administrer de puissants antidouleurs à sa fille Tracy, alors âgée de 12 ans, jugeant que cela aurait pu la tuer.

Le fermier avait affirmé ne plus pouvoir endurer de voir sa fille souffrir des intenses douleurs chroniques provoquées par la forme grave de paralysie cérébrale dont elle était atteinte. Il a avoué l’avoir asphyxiée en 1993 avec les gaz d’échappement de sa camionnette.

J’aimerais voir ce que nos législateurs ferraient  s’ils étaient dans les mêmes situations inhumaine, que ferrai-t-il ?

Meurtres de déshonneurs de musulmans coraniques la famille Shafia

Ces hommes ne sont pas des meurtriers ce sont des personnes  qui aimaient leur épouse, leur fille ou autre. Ils ne doivent pas faire face à la justice qui favorise les meurtriers au détriment des victimes.  Nos législateurs ont promulgué sans distinction des lois anti victimes, pro extrémistes, meurtriers, les agresseurs, les meurtres d’honneur, de centaine de religions moyenâgeuses, anti démocratique, anti liberté, etc.
Mohammad Shafia qui avait été trouvé coupable des meurtres prémédités de ses trois filles et de sa première femme, en janvier 2012, en mène large à l'intérieur des murs de la prison.
C'est ce qu'a raconté un ex-psychologue en milieu carcéral qui a déjà œuvré à l'ancien pénitencier de Kingston en Ontario qui a fermé ses portes il y a quelques années et où était détenu Mohammad Shafia.

Le docteur Robert Groves témoignait aujourd'hui devant un comité du Sénat pour parler de la radicalisation des détenus.
Il a décrit Mohammad Shafia comme étant un homme radical, extrêmement exigeant qui s'attend à avoir des passe-droits en prison. Plusieurs détenus le craignent.
Le Dr Groves a notamment raconté que tous les vendredis, jour de prière, Shafia amenait un groupe de 23 autres détenus à la prière hebdomadaire. Environ le tiers des hommes ne voulait pas s'y rendre, mais y étaient obligés parce qu'ils étaient terrifiés par Mohammad Shafia.
Les trois filles et la première femme de Shafia, toutes tuées, meurtres d’honneur musulmans, islamiques, salafistes dans notre cours.
«Je crois qu'il représente un problème pour l'administration dans la mesure où il est influent. N'importe qui qui a une telle influence va se buter aux politiques de l'administration», a expliqué le Dr Groves à TVA Nouvelles.

Un détenu a même demandé d'être placé en isolation pour éviter les prières et l'intimidation incessante des Shafia, selon M. Groves.
La semaine dernière, une étude du Service correctionnel du Canada rendue publique affirmait que contrairement à une certaine croyance, les pénitenciers ne seraient pas des terrains fertiles pour la radicalisation, une conclusion que M. Groves semblait remettre en question.
«C'est peut-être pas opérationnel maintenant, mais c'est en développement», a dit ce dernier en réponse à un sénateur qui se demandait si c'était un cas de radicalisation.
M. Groves a dit que Shafia n'est pas physiquement intimidant comme tel, mais il a évoqué la possibilité «qu'il arriverait quelque chose» à ceux qui s'absenteraient des séances de prière.
Sara Parkes, une porte-parole du Service correctionnel du Canada, n'a pas voulu répondre à aucune de nos questions lundi sur les activités de Mohammad Shafia en prison - qui se déroulent dans une salle ouverte - disant que le SCC ne peut discuter le cas d'un détenu publiquement.

Nous nous demandons si Justin Trudeau leur accordera la grâce de premier ministre qui ne fréquente que les mosquées, ou les terroristes.

Normalement, les sessions de prières musulmanes sont organisées par l'aumônier de la prison avec des imams de l'extérieur, dont la réputation et les antécédents sont vérifiés.
Mohammad Shafia semblait, lui, plutôt intéressé à propager sa version extrémiste et radicale de l'islam dans sa section de prison, a suggéré le fonctionnaire.
Mohammad Shafia a été condamné en 2012 pour meurtre au premier degré relativement à la mort de ses filles Zainab, 19 ans, Sahar, 17 ans, et Geeti, 13 ans, et de sa première épouse, Rona, âgée de 52 ans.
Les corps des quatre femmes ont été retrouvés le 30 juin 2009 dans une voiture immergée au fond d'une écluse à Kingston Mills.
M. Groves a dit que Shafia n'aurait démontré aucun remords après avoir tué ses filles pour «laver l'honneur» de sa famille.


Pakistan, cinq femmes agressées à l'acide en moins de 24 heures
Bien que les sanctions pénales aient augmenté, plus d'une centaine de Pakistanaises sont victimes chaque année d'attaques au vitriol pays de Zunera Ishad Pakistanaise affilié à Al-Qaïda à Mississauga en Ontario, Canadacelle qui déféqua sur le drapeau du Canada avec les applaudissements de Justin Trudeau et de Judy Wilson-Raybould.
Au moins cinq jeunes femmes ont été attaquées à l’acide par des hommes circulant à moto au cours des 24 dernières heures dans le sud-ouest du Pakistan, ont indiqué mardi les autorités locales. Dans le plus récent incident, deux hommes à moto ont vitriolé des adolescentes âgées de 14 et 15 ans qui rentraient du marché local à Mastung, ville située à une quarantaine de kilomètres de Quetta, capitale de la province instable du Baloutchistan.
«L’une des filles a été blessée au visage et l’autre a le cou brûlé», a déclaré à l’AFP un responsable de la police locale Wazir Lango, sans préciser la sévérité des blessures infligées. Les deux adolescentes ont été admises à l’hôpital et la police a diligenté une enquête afin d’identifier les assaillants dont les motifs demeurent encore obscurs, a souligné ce responsable.
La veille, deux hommes à moto, ont jeté de l’acide au visage de trois femmes âgées d’une vingtaine d’années qui rentraient d’un marché à Quetta, a dit à l’AFP le chef de la police locale Abdul Razzaq Cheema. Les jeunes femmes ont été partiellement brûlées au visage, a-t-il précisé.

Plus d'une centaine de femmes défigurées chaque année
Au Pakistan, les attaques à l’acide sont punies par la loi mais défigurent néanmoins chaque année plus d’une centaine de femmes. Un amendement au code pénal adopté à la fin 2011 prévoit une peine minimale de 14 ans de prison, pouvant aller jusqu’à la perpétuité - contre un maximum de dix ans auparavant - et une amende d’un million de roupies (10 000 dollars) pour quiconque est reconnu coupable d’agression au vitriol. Cet amendement a donné plus de crédit à la parole des victimes et sensibiliser davantage l’opinion publique sur des affaires qui restent souvent dans l’ombre.
Résultat, le taux d’inculpation a considérablement augmenté depuis l’entrée en vigueur de l’amendement, mais aussi le nombre de cas connus, les victimes étant désormais plus enclines à témoigner, selon l’ONG Acid Survivors Foundation (ASF).
Les cas du Baloutchistan portent à au moins 125 le nombre d’agressions à l’acide recensées au Pakistan depuis le début de cette année seulement, contre 143 pour l’ensemble de la dernière année, selon les données de l’ASF.

Indienne en Inde défigurée
DÉFIGURATION - Une Indienne a été attaquée à l'acide pour la cinquième fois en neuf ans en raison d'un différend avec ses agresseurs portant sur des questions de propriété. Des centaines d'attaques du même type sont commises chaque année en Inde.
La victime était placée 24h/24 sous la protection des forces de l'ordre. Mais cela n'a pas suffi à empêcher une énième agression. Une Indienne, mère de famille de 35 ans, a été attaquée à l'acide pour la cinquième fois, selon la police du pays.
La scène s'est déroulée dans le nord de l'Inde, à Lucknow, la capitale de l'Uttar Pradesh, alors qu'elle pompait de l'eau dans le foyer réservé aux femmes où elle séjournait. L'agresseur, qui a escaladé un mur d'enceinte du bâtiment, s'est enfui après l'avoir aspergée, selon les précisions données par le chef de la police locale à l'Agence France Presse.  
La police déclenche une chasse à l'homme
Une chasse à l'homme a été déclenchée pour retrouver l'auteur de cette attaque. La victime a quant à elle été admise à l'hôpital pour se faire soigner des brûlures au visage et à l'épaule. En raison des nombreuses agressions dont elle avait été victime depuis 2008, elle était donc pourtant protégée par un policier armé mais celui-ci n'était pas autorisé à pénétrer dans le foyer.
Sikhs, ou terroristes ou députés ou ministres à la Chambre des Communes à Ottawa, ils parcourent nos villes avec leurs religions malveillantes dont Justin Trudeau le multiculturaliste approuvent leurs actions en les amenant en Inde.
Environ 300 attaques à l'acide ont été signalées en Inde en 2015, d'après les dernières statistiques officielles. Mais cela ne représenterait selon les experts que la partie émergée de l'iceberg. La plupart de ces agressions sont le fait d'hommes éconduits après avoir fait une demande en mariage ou sont liées à des différends portant sur des questions de propriété. 
Ses deux agresseurs avaient été libérés sous caution
Dans le cas de cette femme, qui aurait d'abord été violée et attaquée une première fois à l'acide par deux hommes en 2008, il s'agirait justement d'un conflit foncier. La victime avait à nouveau été agressée en 2012 et 2013 de manière identique et par les mêmes hommes. Ils voulaient ainsi la contraindre à abandonner les poursuites engagées contre eux devant la justice.
Plus récemment, en mars dernier, ses deux agresseurs l'auraient forcée à avaler de l'acide pendant qu'elle voyageait en train avec une de ses filles. Ces hommes, qui risquent des procès pour toutes ces attaques, ont toutefois été libérés sous caution en avril.
 
Montréal, un honorable et honnête homme accusé de neuf meurtres appartenant au Hells Angels, avocate payée par l’aide juridique du Québec, pour les personnes sans revenus
«Je ne veux pas vous voir», avait lancé Gregory Wooley, trafiquants, à deux enquêteurs venus le mettre en état d’arrestation.  Détenu au pénitencier de Donnacona, il faisait alors faces à de lourdes accusations de gangstérismes à l’opération 2001

Mais en juin 2005, l’honorable Gregory Wooley suivait les exemples de la quasi-totalité de ses acolytes, complices, et plaidait coupable à des accusations réduites. Les contribuables du Québec, les cons ont alors payé la totalité des factures pour sa défense comme pour la plupart des Hells Angels, meurtriers et trafiquant de drogues
Et son avocate Cristina Nedeleu a reçu du gouvernement du Québec, de vos taxes mes chers cons des honoraires totalisant $394 550 par l’entremise de l’aide juridique du Québec
Eux ce sont des meurtriers que nos lois protègent, et Michel Gadotte doit aller en prison, ça n’a ni que ni tête, le procès doit avorter, point.  Nous devons tous les aider incluant sa famille et amis pour ce triste incident involontaire
Le gouvernement du Canada Justin Trudeau, et Jody Wilson-Raybould ministre de la justice du Canada islamique et le Gouvernement  du Québec le nouveau premier ministre François Legault avoir un œil sur ce procès injuste.dilatatoire

Nous exigeons une vrai justice  pour Michel Cadotte

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