Jean Charest est au septuple et rire comme une baleine et souhaite la mort de l'UPAC

Jean Charest est au septuple et rire comme une baleine. 

L’Unité permanente anticorruption (UPAC) est minée par un climat de travail pourri et corrompu.

Conflit d’intérêt explicite entre l’UPAC et le gouvernement Couillard

La grande famille libérale inclus son grand patron, Robert Lafrenière, semble être aussi plus enclin à chasser les sources journalistiques que les vrais filous. Les corrompus libéraux sous la gouverne de M. Robert Lafrenière, l’UPAC est dysfonctionnelle. C’est une vrai comédie politique de la cage aux folles Dans ces extrusions gargantuesques, où les notables se nomment entre eux,

Robert Lafrenière est le beau-père du patron de la Sûreté du Québec, Martin Prud’homme et qui est un ami du député libéral Guy Ouellette et Martin Prud’homme est un ami corrompu de Lino Zambito, un mafieu.

Lino Zambito, l’ex-témoin vedette de la commission Charbonneau et pourfendeur, celui qui combat violemment pour mettre à mal son adversaire de M Robert Lafrenière.

Pour les citoyens, il n’y a plus moyen de savoir qui dit vrai et qui ment. Et le premier ministre du Québec ferme les yeux et s’en remet au président de l’Assemblée Nationale, Jacques Chagnon.

L’UPAC est-elle gangrenés sous la tutelle et de parti Libéral du Québec, c’est à dire le troisième Bureau

Le premier ministre libéral Jean Charest, dont le parti politique est soupçonné de corruption, crée l’UPAC et nomme son commissaire, Robert Lafrenière. Robert Lafrenière est la personne qui doit faire les investigations de corruption, de son propre employeur, le premier ministre du Québec, Jean Charest.

C’est comme si un loup choisissait le garde forestier responsable de l’empêcher de rentrer dans la bergerie. Du moment où le premier ministre se donne le pouvoir de nommer celui qui doit enquêter sur son propre parti, rien de bon ne peut en découler. C’est un conflit d’intérêt pur et simple.

De fait, l’impression est que Robert Lafrenière est au-dessus des lois parlementaires plus occupé à faire de la politique

Robert Lafrenière le politicien et directeur de l’UPAC

De la politique, M. Lafrenière en fait quand il annonce qu’il ne fera aucune arrestation pendant la campagne électorale. Il en a fait lorsqu’en 2016, l’UPAC procédait à l’arrestation des ex-ministres Nathalie Normandeau et Marc-Yvan Côté le jour crucial du budget.

Monsieur Philippe Couillard à quand vous nous ramènerait les 30 millions de dollars qu’Arthur Porter a volé, votre ami de l’Arabie saoudite

Le tout, comme par hasard, au moment même où le mandat de M. Lafrenière se terminait. Devenu intouchable politiquement, il fut donc renommé par Philippe Couillard.

L’ensemble de l’œuvre sent mauvais. Au point même où des voix s’élèvent pour demander que l’on enquête sur les enquêteurs ! Le plus grave est toutefois ceci. Si la tendance se maintient, es Québécois ne connaîtrons jamais les corruptions libérales et les corrupteurs du parti libéral du Québec, quel qu’il soit.

La nouvelle devise du parti libéral du Québec, changeons de tactique pour ne pas se faire attraper

Notre système de justice est un système basé sur les règles des corruptions libérales et laisser nos ministres faire leurs travail a déclaré Jean Charest le 017-11-26

Les citoyens auront-ils encore confiance à l’UPAC