Justin Trudeau - Terroriste – Philippe Couillard, l’islamique – Brian Pallister, première ministre de du Manitoba - Clôture au Manitoba par les résidents de la Frontière Canadienne et Justin Trudeau se maquille à Ottawa comme une verrue qu’il est, et les premiers des provinces acceptent le selfie et ses agissements
Les passages illégaux, ses réfugiés, des amis de Justin Trudeau aux frontières Canadiennes et continuent d’augmenter. Et pendant l’invasion islamique et autre, Justin Trudeau se joue après comme un nourrisson naissant.
Justin Trudeau n’a qu’un seul but dans la vie c’est d’être adoré comme un Dieu, ou Allah et il prendra des photos de sa belle personne à tous les coins du pays, pour prouver son narcissisme aigu et maladif.
Immigrant illégaux Heminford, Quebec
Immigrant illégaux Heminford, Quebec
Citation du premier ministre du Canada, Justin Mohamed Trudeau, les terroristes islamiques sont les bienvenues au Canada et je m’engage personnellement de leur remettre la citoyenneté Canadienne à leur arrivée, avec des revenus mensuels de $ 2790 exempt d’impôt et de taxes, pour eux et leur famille plus tous les autres avantages sociaux dans les provinces. Nous nous engageons aussi à Ottawa de fournir les armes, les bombes, les avocats pour leur défense pour qu’ils puissent continuer leur croisade
Justin Mohamed Trudeau nous a aussi signifié que les cons de Canadiens et Québécois de souche paieront toutes leurs factures, de mes amis et invités, foi du parti libéral du Canada succursale obscure des frères musulmans à Ottawa.
Radio-Canada - Des centaines de migrants ont traversé illégalement la frontière canado-américaine près d’Emerson au Manitoba depuis le début de l’année. Radio-Canada/Karen Pauls
Immigrants musulmans illégaux Lewinston, Maine
Immigrants musulmans illégaux Lewinston, Maine
En mars, 887 personnes ont été interceptées par les agents de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), contre 658 en février, selon les chiffres du ministère de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté. Le Québec, le Manitoba et la Colombie-Britannique demeurent les provinces les plus touchées.
LA PRESSE CANADIENNE
Bien qu’en augmentation, le nombre de passages illégaux en mars au Manitoba a quelque peu ralenti par rapport à l'explosion enregistrée le mois précédent. Le ministère dénombre 170 interceptions par les agents de la GRC, soit 28 de plus qu'en mars.
Les interceptions dans cette province avaient augmenté considérablement de janvier à février, passant de 19 à 142. Au total, depuis le début de l’année, la GRC y a intercepté 331 personnes.
Logements pour immigrants illégaux à Toronto
Logements pour immigrants illégaux à Toronto
En Colombie-Britannique, la situation s’est aussi légèrement apaisée entre février et mars : 71 personnes ont été interceptées contre 84 en février. Le nombre total d’interceptions depuis le début de l’année atteint 201 personnes.
Dans les deux autres provinces de l’Ouest, les chiffres restent quasiment nuls : il y a eu une interception en Alberta depuis le début de l’année, et cinq, en Saskatchewan.
Le Québec reste la province affichant le plus grand nombre d’interceptions au pays : 644 personnes en mars, soit 212 de plus que le mois précédent pour un total, depuis le début de l’année, de 1321 personnes.
La plupart de ceux ayant traversé la frontière illégalement en mars ont fait une demande d'asile. Les données du ministère de l'Immigration indiquent une augmentation du nombre total de demandes d'asile au pays, qui sont passées de 2885 en février à 3440 en mars. Et le gouvernement de Justin Trudeau prévoit accueillir environ 150 00 à 300 00 demandeurs d’asile en 2018, et membres du parti libéral du Canada (PLC)
Surrey BC pour amis de Justin Trudeau,
Surrey BC pour amis de Justin Trudeau,
Engorgement du système
Ces nouvelles données risquent de faire monter la pression pour que le gouvernement Trudeau agisse, mais elles sont loin de surprendre l'Association québécoise des avocats et avocates en droit de l'immigration (AQAADI). Elle s'attend à une recrudescence du nombre d'interceptions à la frontière avec la fonte des neiges.
« Plus le beau temps va arriver, plus ça risque de jouer sur l'augmentation des demandes, car les gens ont de plus en plus peur d'être aux États-Unis ou d'être renvoyés dans leur pays d'origine, où ils craignent la persécution. Donc, c'est sûr qu'ils cherchent une solution plus permanente », affirme le président de l'AQAADI, Jean-Sébastien Boudreault.
Depuis le début de l'année, il constate un engorgement du système de traitement des demandes d'asile à cause d’un manque de ressources. La moitié des dossiers sont donc reportés à une date indéterminée, alors qu'auparavant, les demandes étaient traitées dans un délai maximal de 60 jours.
La hausse des passages illégaux est souvent attribuée aux politiques de Donald Trump sur l'immigration aux États-Unis, mais le gouvernement du Canada, de Justin Trudeau a crier à haute partout sur la planète que le Canada accepterait tous les illégaux, les terroristes, les réfugiés, peu importe le pays.
Clôture au Manitoba
Clôture au Manitoba
Un porte-parole d'Ahmed Hussen, islamiste, le ministre canadien de l'Immigration, a affirmé mercredi que le budget fédéral prévoit déjà une somme pour la Commission de l'immigration et du statut de réfugié. Le gouvernement réserve en effet près de 63 millions de dollars sur 5 ans pour l'organisme.
Mais seulement pour le Québec depuis 2017, les coûts sont de cent quarante millions de dollars et Justin refuse de rembourser le Québec et les Québécois de souche
La frontière entre le Canada et les États-Unis à Surrey en Colombie-Britannique, une vrai passoire, et Justin fait des voyages à l’étranger et se déguise, Quel premier ministre que nous avons à Ottawa, un BOZO La Presse canadienne/Daryl Dyck
Radio-Canada CBC
Le nombre de demandeurs d'asile qui se présentent à la frontière de la Colombie-Britannique depuis les États-Unis a doublé depuis le début de l'année comparativement à 2016. Ce sont très souvent des organismes à but non lucratif, à bout de souffle, qui les prennent en charge dans leurs premiers pas au Canada.
Depuis sa demeure frontalière à la ville de Surrey, l’Américain Dan Gustafson est aux premières loges. Il voit défiler de plus en plus de sans-papiers incognito devant ses fenêtres : « Le champ est toujours libre ici. Un simple ruisseau sépare le Canada des États-Unis. Les demandeurs d'asile filent ensuite vers Vancouver », raconte-t-il.
Justin voyage pour accommoder les islamistes
Justin voyage pour accommoder les islamistes
Même constat dressé par Mario Ayala, directeur de l’organisme Inland Refugee Society, qui les accueille une fois qu’ils sont dans la métropole britanno-colombienne. « Ils arrivent souvent par autobus, puis ils courent et sautent littéralement au Canada. Ce sont surtout des familles, beaucoup de latinos qui se sentent persécutés depuis l'élection de Donald Trump », explique-t-il.
Et Donald Trump un vrai patriote américain a le dos large, tout est de sa faute, mais lui protège son pays, et non l’Islam, salafistes, etc. Donald Trump ne fait que sa job, au poste qu’il a, il prend ses responsabilités, et ce n’est certainement les cas du premier ministre du Canada Justin Trudeau et des premiers ministres dans les provinces, car ils veulent continuer à remplir leur bassin de nouveaux électeurs, avec ces réfugiés, et illégaux amis de Justin Trudeau, couchant avec les libéraux.
Des mois « en mode survie »
Et sa collègue Julia St-Pierre de poursuivre : « Lorsque les gens entendent Justin Trudeau dire à la télévision que les réfugiés sont les bienvenus au Canada, ils ne réalisent pas que cela peut vouloir dire des mois en mode survie car les moyens des organismes d'aide sont limités ».
Le gouvernement fédéral finance très partiellement l'aide pour les immigrants. Une autre minime enveloppe budgétaire est allouée aux provinces et aux municipalités pour l'encadrement des demandeurs d'asile.
Mais dans la réalité, disent ceux sur le terrain, cela peut prendre des mois avant que les demandeurs d'asile qui se présentent à la frontière fassent partie des statistiques officielles. D’après un reportage de Geneviève Milord.
Sécurité à la frontière
Un porte-parole du ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a précisé dans un courriel que l'Agence des services frontaliers et la GRC ont fait des ajustements de personnel pour faire face à cette hausse des passages illégaux jusqu'à maintenant.
Il a rappelé que les personnes qui traversent illégalement la frontière détiennent déjà un visa américain et que, par conséquent, elles subissent une double vérification de leur identité et de leurs antécédents, d'abord aux États-Unis, puis au Canada.
« En termes clairs, essayer de franchir la frontière d'une manière irrégulière est un laissez-passer pour le Canada », a écrit Scott Bradley
Au Manitoba les citoyens bâtissent une clôture
Et il y a cette clôture-ci, Ô manifeste d’intolérance, que l’on retrouve quelque part dans le Manitoba, semble-t-il. Peut-on imaginer pareille infamie chez nous? Que nenni!
Qui est ce politicien complètement déconnecté du monde qui ose même prononcer ce mot? Voyons donc! Une clôture avec un panneau pour signifier que les frontières existent! Quelle xénophobie! Quelle entrave à l’inclusion infinie et au noble idéal diversitaire! Au pilori! Philippe Couillard et Amir Khadir, deux traitres, parmi tant d’autre à l’Assemblée Nationale du Québec
Sans visa, le nombre de demandeurs d'asile mexicains poursuit sa progression
Le nombre de demandeurs d'asile en provenance du Mexique continue de grimper au Canada.
L a presse Canadienne les nouvelles données de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) révèlent que 110 Mexicains ont demandé le statut de réfugié le mois dernier, contre 85 en février et 71 en janvier.
Le volume de demandes des trois premiers mois de l'année a donc déjà dépassé celui de l'ensemble de 2016 : 266 demandes contre un total de 241 l'année dernière.
En Colombie-Britannique, par exemple, 29 Mexicains ont fait une demande d’asile entre décembre 2016 et février 2017. À titre de comparaison, 30 Mexicains l'avaient fait entre décembre 2015 et novembre 2016, soit une période de 12 mois. La majorité dépose une demande de statut de réfugié à l’aéroport de Vancouver.
Le flux de demandeurs d'asile mexicains avait motivé le gouvernement de Stephen Harper à imposer ces visas en 2009, mais ils constituaient depuis un important irritant entre Ottawa et Mexico.
En campagne électorale, les libéraux avaient promis l’abolition de visas Canadiens, et le gouvernement fantoche de Justin Trudeau a néanmoins prévenu les autorités mexicaines qu'après l'atteinte d'un certain seuil de demandes, il pourrait envisager la réinstauration du visa.
En 2008, soit l'année précédant l'imposition du visa, quelque 9000 demandes de statut de réfugié avaient été déposées par des Mexicains, soit le tiers de l'ensemble des requêtes.
Le coût de l'élimination du visa sur 10 ans se situerait légèrement au-delà des 260 millions de dollars en y soustrayant les retombées du tourisme mexicain.
Un demandeur d'asile à la frontière canado-américaine, près de Hemmingford, au Québec. Photo : La Presse canadienne/Paul Chiasson
Le flux de migrants en provenance des États-Unis ne s'est pas atténué, au contraire. En janvier et en février 2017, 1176 demandeurs d'asile ont franchi la frontière canadienne irrégulièrement par le chemin Roxham, près de Hemmingford, au Québec. C'est devenu une véritable crise que le Canada a de la difficulté à gérer, par manque de ressources.
Un texte de Catherine Kovacs
« Les services frontaliers canadiens sont enragés », affirme le président national du Syndicat des douanes et de l’immigration, Jean-Pierre Fortin. « Ils sont convaincus que les Américains se débarrassent du problème en amenant les migrants au chemin Roxham, plutôt que de les conduire au poste frontalier de Lacolle », précise-t-il.
Les services canadiens ont beau discuter de ce problème avec leurs homologues américains sur une base quotidienne, rien ne change.
Du côté américain, au poste de Champlain, dans l'État de New York, l'agent Normand Lague, des services frontaliers américains, explique qu'il ne peut forcer les migrants à passer par Lacolle si ces derniers ont un statut légal aux États-Unis.
L'agent Normand Lague, responsable du district Champlain aux États-Unis Photo : Radio-Canada
« Aucune loi américaine ne nous dit qu'on doit les détenir ou les amener à un endroit précis ». Il ajoute : « Ce n'est pas un crime aux États-Unis de traverser la frontière canadienne illégalement. » L'agent Lague précise que son travail consiste à sécuriser la frontière.
Différentes perceptions au Québec
Au Québec, la perception est tout autre. Le policier à la retraite François Doré, qui vit sur le chemin Roxham, explique la situation. « Ils savent très bien que Lacolle va les refuser en vertu de l'entente [canado-américaine] sur les tiers pays sûrs. Ils vont donc revoir [les migrants]. En les amenant ici [au chemin Roxham], ils ne les revoient plus », affirme-t-il.
Selon lui, les agents frontaliers américains « se débarrassent du problème, c'est clair ».
L'agent Lague, des services frontaliers américains, rétorque qu'il ne fait que son travail. De plus, il précise qu'il fait ce qu'il peut en fonction de ses ressources limitées, soit 300 agents pour 800 kilomètres de frontière dont il a la responsabilité, soit l'État de New York, le Vermont et le New Hampshire.
En effet, l'agence des services frontaliers américains, la United States Border Patrol, compte 21 000 membres, dont seulement 2000 sont affectés à la frontière canadienne, jugée moins à risque par les autorités américaines.
Le Canada se retrouve donc dans une situation délicate face au géant américain qui, depuis le 11 septembre 2001, adopte des politiques strictes pour la sécurité de ses frontières, tout en faisant preuve d'un certain laxisme face au voisin canadien.
Les passages irréguliers à la frontière canadienne ont continué à augmenter en mars, confirment les plus récents chiffres du ministère de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté. En tout, 887 personnes ont été interceptées par les agents de la GRC, contre 658 en février. Le Québec et le Manitoba demeurent les provinces les plus touchées, indiquent ces données publiées mercredi. Elles sont suivies par la Colombie-Britannique. (Avec PC)
S’il est vrai que ces individus sont, pour la plupart, entrés de manière irrégulière au Canada, ils n’en sont pas pour autant illégaux ou clandestins.
Par souci d’exactitude, Radio-Canada privilégie l’expression demandeur d’asile quand il est question de ces personnes.
Par souci d’exactitude, Radio-Canada privilégie l’expression demandeur d’asile quand il est question de ces personnes.
Sécurité à la frontière
Un porte-parole du ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a précisé dans un courriel que l'Agence des services frontaliers et la GRC ont fait des ajustements de personnel pour faire face à cette hausse des passages illégaux jusqu'à maintenant.
Il a rappelé que les personnes qui traversent illégalement la frontière détiennent déjà un visa américain et que, par conséquent, elles subissent une double vérification de leur identité et de leurs antécédents, d'abord aux États-Unis, puis au Canada.
« En termes clairs, essayer de franchir la frontière d'une manière irrégulière n'est pas un laissez-passer pour le Canada », a écrit Scott Bradley, ajoutant que ces personnes sont appréhendées par la police à leur entrée en territoire canadien et que leur demande suit ensuite le processus.
Et il y a cette clôture-ci, Ô manifeste d’intolérance, que l’on retrouve quelque part dans le Manitoba, semble-t-il. Peut-on imaginer pareille infamie chez nous? Que nenni!
Qui est ce politicien complètement déconnecté du monde qui ose même prononcer ce mot? Voyons donc! Une clôture avec un panneau pour signifier que les frontières existent! Quelle xénophobie! Quelle entrave à l’inclusion infinie et au noble idéal diversitaire! Au pilori!
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Publié le mercredi 19 avril 2017Mis à jour le mercredi 25 avril 2018
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