vendredi 18 mai 2018

Stéphanie Vallée et ses lâchetés systémiques et l'obscurantisme de la ministre pour ne pas affecter son basin d’accommodements déraisonnables les musulmans




Stéphanie Vallée et ses lâchetés systémiques et l'obscurantisme  de la ministre de la ministre de la justice du Québec pour ne pas affecter son bassin d’accommodements déraisonnables les musulmans, Sikhs, etc. excluant les chrétiens et francophones blancs de souche du Québec
Médecins, enseignants et fonctionnaires ont unanimement dénoncé jeudi l’encadrement des accommodements et encadrement religieux du gouvernement extrémiste musulmans, le parti libéral du Québec, (PLQ) Philippe Couillard premier ministre couché à plat ventre en leur léchant les culs, les testicules, leurs papiers cul sur les têtes, les voilées, les enrubannés devant ces monstrueux religieux et religions de barbares, d’un autre siècle de barbarie
 
Richard Martineau Estes-vous sincères dans vos convictions
Voyez les ministres et députés à Ottawa enrubanné et ne respectant pas les citoyens de souche Canadiens et Québécois, Vive la non intégration à nos démocraties, et Les ÉGALITÉS ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES EN Occident, signé, le salafiste, premier ministre du Canada, le selfie même, Justin Mohammed Trudeau, dépendamment de ses costumes de ses loufoqueries dans les mosquées lors de ses discours pro Frères musulmans et en ayant bien en tête que son épouse voilées sera juchée aux deuxièmes comme des poules dans un poulailler.
Sommes-nous tous des valises et des moutons qui acceptons tout sans maugréer et changer de gouvernement
Selon la ministre de la Justice Stéphanie Vallée, avant d’accorder un accommodement sur une base religieuse à une personne qui en fait la demande, les représentants de l’État devront vérifier la « sincérité des convictions » de ladite personne.
Les libéraux devront faire preuve d’ingéniosité pour savoir si leur putain est sincère ou pas quand il vante les « positions progressistes » de Philippe Couillard.
Le gars n’est pas une girouette : c’est un ventilateur !
Il collectionne les cartes de membre de partis comme si c’était des cartes de hockey !
« Il me manque celle du Parti créditiste de 1975, avec Camil Samson au centre. »
C’est le Cœur de Pirate de la politique. Queer le lundi, pas queer le mardi...
Les six grandes lignes directrices dévoilées la veille par la ministre de la Justice Stéphanie Vallée ne viennent « absolument pas » régler le dossier, affirme la présidente de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ). « On va devoir gérer la confusion de la ministre et on va en être légalement responsables maintenant », dénonce la Dre Diane Francoeur.
 
Ses membres sont régulièrement confrontés à des femmes qui refusent d’être traitées par un homme, illustre-t-elle. Mais les grands principes énoncés par la ministre prévoient que chaque établissement devra décider, au cas par cas, s’il accorde ou non un accommodement en évaluant si la demande est sérieuse, fondée sur une conviction sincère et respecte l’égalité entre les hommes et les femmes.
« Il n’y a rien de clair là-dedans, lance la Dre Diane Francoeur. Comment on va interpréter ça dans un hôpital à deux heures du matin ? »
Évaluer les prises ridicules de la foi d’un gouvernement sans culottes
Même désarroi dans le milieu de l’éducation. « Ça va être le Far West », prédit le président de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE). « Il n’y a pas d’outils qui existent pour juger si une personne est véritablement croyante », fait valoir Sylvain Mallette.
Il donne l’exemple de témoins de Jéhovah qui voudraient retirer leur enfant d’un cours qui enseigne la théorie de l’évolution. « Est-ce qu’on va devoir juger du bien-fondé de la croyance de l’enfant ou des parents ? » illustre le président de la FAE.
Les fonctionnaires, eux, devront se transformer en « constitutionnalistes et juristes » en raison du « flou » des directives, déplore le président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec, Christian Daigle.
Tout comme Christian Daigle, Sylvain Mallette aurait souhaité que le gouvernement indique à ses employés comment réagir dans la plupart des cas de figure. Mais la ministre n’a pas agi par « manque de courage », estime-t-il.
Pour sa part, la Dre Diane Francoeur rappelle que le réseau de la santé s’était déjà doté de certaines « balises » pour gérer les demandes d’accommodements. « Là, on vient de reculer », lance-t-elle.
 
« Chaos les barbares nous ont envahis »
À l’Assemblée nationale, les partis d’opposition ont également dénoncé en chœur le document de la ministre Vallée. « Ça va être le chaos, parce qu’on ouvre la porte à la subjectivité la plus totale ! » affirme la députée caquiste Nathalie Roy.
Un constat que partage la députée péquiste Agnès Maltais. « [La ministre Vallée] a échoué à ce test-là. C’était pourtant important », a-t-elle souligné.
- Avec la collaboration de Geneviève Lajoie, Bureau parlementaire
d’accommodements pour un motif religieux dans certains organismes (projet de loi 62) (...)
«Répondant au besoin ciblé d’établir des balises pour accompagner les organismes publics dans le traitement des demandes d’accommodements pour un motif religieux, l’Assemblée nationale a adopté une loi qui établit les conditions à considérer :
La demande doit résulter de l’application de l’article 10 de la Charte des droits et libertés de la personne;
la demande doit être sérieuse, c’est-à-dire qu’elle est fondée sur une croyance sincère en la nécessité de se conformer à une pratique dans l’exercice de sa foi ou à une conviction religieuse;
l’accommodement demandé doit respecter le droit à l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi que le droit de toute personne d’être traitée sans discrimination, notamment en raison de la race, de la couleur, du sexe, de l’identité ou de l’expression de genre, de la grossesse, de l’orientation sexuelle, de l’état civil, de l’âge, de la religion, des convictions politiques, de la langue, de l’origine ethnique ou nationale, de la condition sociale ou d’un handicap et de l’utilisation d’un moyen pour pallier ce handicap;
Reprendre la jurisprudence
Un concept venant de la Cour suprême du Canada et des États-Unis  - un pays où foisonnent des groupes religieux plus fondamentalistes, toutes confessions confondues.
En d'autres termes, voilà la véritable clé pour comprendre les «balises existantes» du gouvernement Couillard.
Ainsi, contrairement à une véritable politique de laïcité, quel qu’elle soit, dont l’assise découle nécessairement d’une approche basée sur des normes s'appliquant à une société entière qui, en retour, lui donne son adhésion, la loi 62 des libéraux sur la neutralité religieuse de l’État, repose plutôt sur une vision subjective et individualiste, d’un simple individu Adil Charkaoui, Samira Laouni, etc des accommodements pour motifs religieux.
Une vision purement individualiste et non collectif
D’où, nécessairement, le «cas par cas» qui s’annonce. Un «cas par cas» dénoncé par les partis d’opposition et de nombreux intervenants dans les organismes publics eux-mêmes à qui le gouvernement Couillard lance la patate chaude en s'en lavant lui-même les mains.
Pis encore, un «cas par cas» dans lequel les six balises du gouvernement risquent fort d’entrer elles-mêmes en contradiction.
Surtout, ceux et celles qui seront appelés à juger des demandes d'accommodements religieux au «cas par cas» rendront nécessairement des décisions arbitraires et à géométrie hautement variable.
Eloquent gâchis de la ministre de l’injustice du Québec, extrémiste les voies sont libres pour détruire l'Occident, le Canada et le Québec
À ce compte-là, tant qu’à prendre les citoyens pour des valises en accouchant de ce très grand n’importe quoi ouvert grand comme le Sahara à des poursuites judiciaires payé par les contribuables plus onéreuses pour cause d’arbitraire prévisible – du moins, si le PLQ est réélu le 1er octobre prochain -, si vous voulez mon point de vue direct et franc, le voici.
Philippe Couillard, pour une fois, aurait dû faire ce qu’il fait habituellement face à tout le dossier de la laïcité, lequel, de toute évidence, lui donne de l’urticaire jusqu’au fond des oreilles, c’est-à-dire, RIEN.
Faiblesse monumentale des gouvernements gangrénés par la base islamique
Médecins, enseignants et fonctionnaires ont unanimement dénoncé jeudi l’encadrement des accommodements religieux proposé par le gouvernement sans culottes et sans couilles le gouvernement de Philippe Couillard raciste systémique, pro islamiste.
Les six grandes lignes directrices dévoilées la veille par la ministre de la Justice Stéphanie Vallée ne viennent « absolument pas » régler le dossier, mais bien de le noyer affirme la présidente de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ). « On va devoir gérer la confusion de la ministre et on va en être légalement responsables maintenant », dénonce la Dre Diane Francoeur.
Ses membres sont régulièrement confrontés à des femmes qui refusent d’être traitées par un homme, illustre-t-elle. Mais les grands principes énoncés par la ministre prévoient que chaque établissement devra décider, au cas par cas, s’il accorde ou non un accommodement en évaluant si la demande est sérieuse, fondée sur une conviction sincère et respecte l’égalité entre les hommes et les femmes.
« Il n’y a rien de clair là-dedans, lance la Dre Diane Francoeur présidente des médecins spécialistes du Québec. Comment on va interpréter ça dans un hôpital à deux heures du matin ? »
Évaluer la foi «BULL SHIT»
Même désarroi dans le milieu de l’éducation. « Ça va être le Far West », prédit le président de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE). « Il n’y a pas d’outils qui existent pour juger si une personne est véritablement croyante », fait valoir Sylvain Mallette.
Il donne l’exemple de témoins de Jéhovah qui voudraient retirer leur enfant d’un cours qui enseigne la théorie de l’évolution. « Est-ce qu’on va devoir juger du bien-fondé de la croyance de l’enfant ou des parents ? » illustre le président de la FAE.
Les fonctionnaires, eux, devront se transformer en « constitutionnalistes et juristes » en raison du « flou » des directives, déplore le président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec, Christian Daigle.
Tout comme Christian Daigle, Sylvain Mallette aurait souhaité que le gouvernement indique à ses employés comment réagir dans la plupart des cas de figure. Mais la ministre n’a pas agi par « manque de courage », estime-t-il.
Pour sa part, la Dre Diane Francoeur rappelle que le réseau de la santé s’était déjà doté de certaines « balises » pour gérer les demandes d’accommodements. « Là, on vient de reculer », lance-t-elle.
« Chaos » libéral à travers le Canada entier et le Québec
À l’Assemblée nationale, les partis d’opposition ont également dénoncé en chœur le document de la ministre Vallée. « Ça va être le chaos, parce qu’on ouvre la porte à la subjectivité la plus totale ! » affirme la députée caquiste Nathalie Roy.
Un constat que partage la députée péquiste Agnès Maltais. « [La ministre Vallée] a échoué à ce test-là. C’était pourtant important », a-t-elle souligné.
- Avec la collaboration de Geneviève Lajoie, Bureau parlementaire
http://www.journaldemontreal.com/2018/05/12/etes-vous-sincere-dans-vos-convictions



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