mercredi 30 janvier 2019

Gregory Wooley, trafiquant et meurtrier, ganster oeuvrant pour les Hells Angel l’avocat payé par l’aide juridique du Québec 394500 dollars , nous les cons Judy Wilson Raybould ministre de la justice du Canada

Gregory Wooley, trafiquant et meurtrier, ganster oeuvrant pour les Hells Angel l’avocat  payé par l’aide juridique du Québec, nous les cons devons payer et nous la fermer

Plus récemment, en mars dernier, ses deux agresseurs l'auraient forcée à avaler de l'acide pendant qu'elle voyageait en train avec une de ses filles. Ces hommes, qui risquent des procès pour toutes ces attaques, ont toutefois été libérés sous caution en avril.
Montréal, un honorable et honnête homme accusé de neuf meurtres appartenant au Hells Angels, avocate payée par l’aide juridique du Québec, pour les personnes sans revenus

«Je ne veux pas vous voir», avait lancé Gregory Wooley, trafiquants, à deux enquêteurs venus le mettre en état d’arrestation.  Détenu au pénitencier de Donnacona, il faisait alors faces à de lourdes accusations de gangstérismes à l’opération 2001
Il rit de nous tous les racistes blancs en plein avec les approbations des juges et de la justice fédérale



Mais en juin 2005, l’honorable Gregory Wooley suivait les exemples de la quasi-totalité de ses acolytes, complices, et plaidait coupable à des accusations réduites. Les contribuables du Québec, les cons ont alors payé la totalité des factures pour sa défense comme pour la plupart des Hells Angels, meurtriers et trafiquant de drogues
Et son avocate Cristina Nedeleu a reçu du gouvernement du Québec, de vos taxes mes chers cons des honoraires totalisant $394 550 par l’entremise de l’aide juridique du Québec
J'ai oublié de faire mes rapports d'impôts

Eux ce sont des meurtriers que nos lois protègent, et Michel Gadotte doit aller en prison, ça n’a ni que ni tête, le procès doit avorter, point.  Nous devons tous les aider incluant sa famille et amis pour ce triste incident involontaire
Le gouvernement du Canada Justin Trudeau, et Jody Wilson-Raybould ministre de la justice du Canada islamique et le Gouvernement  du Québec le nouveau premier ministre François Legault avoir un œil sur ce procès injuste.dilatatoire



Sa merveilleuse biographie payé par les contribuables du Québec


Gangster né vers 1973 à Port-au-Prince (Haïti).
Le 20 décembre 1996, Pierre Beauchamp, un trafiquant de drogues qui s'approvisionnait auprès du gang des Rock -Machine, est assassiné par balles alors qu'il est assis dans son automobile garée sur la rue Sainte-Catherine Ouest, près de la rue Metcalfe à Montréal ; il était en possession d'une somme de 60 000 $ présument pour conclure une transaction de drogues
Je ne peux trouver un travail car les blancs du Québec sont des racistes, anti-noir, raciste systémique selon Philippe Couillard
Le tueur laisse son arme dans un chapeau qu'il jette dans un panier à déchets de la station de métro Bonaventure ; la police identifie l'ADN trouvé dans le chapeau comme étant celui de Gregory Wooley qui aurait assassiné Beauchamp sur ordre de Maurice «Mom» Boucher ; ce dernier lui aurait donné l'ordre de ne pas toucher à l'argent de manière à bien faire comprendre que la tuerie n'était pas le résultat d'une transaction manquée, mais bien un avertissement aux trafiquants de ne plus faire affaire avec le gang des Rock-Machine, mais avec le gang des Hells Angels
En 1997, Jean-Marc Caissy est assassiné.

Gregory Wooley et 4 autres membres des Hells Angels, ont été acquittés du meurtre de Jean-Marc Caissy perpétré en 1997.
En 1998, Wolley fonde le gang des Syndicats ;
Wolley est le seul individu de race noire à avoir été admis dans les Rockers, une filiale du chapitre des Nomads des Hells-Angels en contradiction avec les règlements internationaux de ce gang de criminels.
Le 5 avril 2000, Gregory Woolley est arrêté à l'aéroport de Mirabel pour avoir tenté de monter dans l'avion en possession d'un revolver Smith & Wesson Magnum .44 caché dans ses bagages ; il plaide coupable à cette accusation et est condamné à 4 ans et demi de prison.
Accusé du meurtre de Pierre Beauchamp ; le jury annonce qu'il est incapable d'en arriver à un verdict unanime et le procès de Woolley est avorté le 20 mars 2005 ; à l'issue d'un second procès pour le même meurtre, Wooley est acquitté en 2005.
Le 27 juin 2005, Wooley reconnaît sa culpabilité à une accusation réduite de complot pour meurtre et est condamné à 13 ans de prison ; Paul «Fonfon» Fontaine, arrêté le 28 mai 2004, est également accusé du même meurtre.
En 2006, alors qu'il est en prison, Woolley aurait donné un coup de poing à un codétenu qui mettait en doute son autorité. Quelques minutes plus tard, le codétenu était poignardé par deux autres détenus.

À la suite de l'Opération Axe, Wooley est accusé de recel le 12 février 2009 pour avoir reçu de 9 000 $ à 10 000 $ par mois en redevance sur les ventes de drogues à Montréal pendant qu'il était détenu au pénitencier de Kingston.
Le 18 février 2011, il reconnaît sa culpabilité à des accusations de recel d'argent et de gangstérisme et est condamné à 4 ans de prison.
En 2012, il intervient dans les conflits entre les gangs de rue de Montréal et tente d'unifier sous son autorité tous les gangs et de régler les différends qui surviennent entre eux.
Le 18 novembre 2015, il est arrêté par la police lors d'une rafle
Gregory Wooley se présentera  soit comme premier ministre du Québec sous la bannière libéral, amis fiables ou pour remplacer le premier du Canada, Justin Trudeau parti libéral du Canada
Notre devise la corruption nous y excellons





Justin Trudeau en admiration face au meurtre de déshonneur fait assassiner sa file une Sihk voilée Madame Sikh Malkit Kaur Sidhu, Nous devons l'accepter ça partie de leurs et coutumes barbares

Justin Trudeau en admiration du meurtre de déshonneur de Madame Sikh Malkit Kaur Sidhu, une Sikh voilée Sidhu, qui entoure son cervelet  a fait assassiner sa fille en Inde, une religion miséricordieuse tout comme l’islam qui envahissent notre territoire avec les approbations de nos politiciens véreux

Une mère exemplaire selon le parti libéral du Canada et de la ministre de la justice du Canada, Judy Wilson-Raybould, et du ministre de la défense du Canada, Harjit Sajjan, Parti libéral du Canada (PLC), Jagmeet Singh chef du Nouveau Parti Démocratique du Canada (NPD) et Jaggi Singh imbécile mondialiste véreux, extrémiste, provocateur ami des médias, un ami inconditionnel de Justin Trudeau

Justin Trudeau, le déshonorable premier ministre du Canada
Justin Trudeau, le déshonorable premier ministre du Canada le multiculturaliste infâme. démagogue, serpent, rat, Nous devons accepter ces meurtres de déshonneurs faisait partie de leurs et coutumes barbares Jody Wilson-Raybould ministre de la fausse justice islamique, sikhs, immigrants non intégrable avec ces religions de retardés mentaux.
Canada a extradé vers l’Inde après deux ans devant les tribunaux
Le Canada a extradé vers l'Inde la mère et l'oncle d'une jeune femme assassinée dans ce pays il y a 19 ans après avoir épousé un homme rejeté par sa famille, ont annoncé jeudi des médias canadiens.
Le corps de Jaswinder Kaur Sidhu avait été découvert en juin 2000 dans l'Etat du Penjab, la gorge tranchée. Elle était âgée de 25 ans au moment des faits.

Son oncle Surjit Singh Badesha avec son turban, son papier cul sur la tête et son kirpan (couteau)   autorisé par les juges libéraux de la Cour Suprême du Canada qui font de la politique active de la cour suprême du Canada.
La mère indigne Malkit Kaur Sidhu ainsi que son époux enrubanné, qui vivent tous deux en Colombie-Britannique, sont accusés par les autorités indiennes d'avoir commandité le meurtre de la jeune femme.Jaswinder Kaur Sidhu sa fille et son copain
Selon la justice indienne, ces deux, immigrants non intégré et non intégrable , tel que les Sighs et compagnie,  Zunera Ishad, terroriste Pakistanaise qui chie perpétuellement sur le drapeau du Canada autorisé par Justin Trudeau.

Des immigrants non intégrables, non intégré, des extrémistes, leur religion leur dicte tout
Canadiens d'origine indienne non intégrées à notre culture occidentale, nos valeurs chrétiennes, s'étaient énergiquement opposées au mariage de Jasvinder, issue d'un milieu aisé, avec un chauffeur de pousse-pousse issu d'une famille pauvre.
M. Badesha et Mme Sidhu, les criminels religieux extrémiste, Sikhs avaient fini par engager des tueurs à gages pour qu'ils tuent les époux.
Alors qu'il était en scooter, le couple avait été attaqué par un groupe d'hommes armés. L'époux avait survécu à ses blessures.
Sept hommes avaient été reconnus coupables du crime en Inde, mais plusieurs condamnations ont été infirmées en appel. Un homme impliqué dans le meurtre d'honneur d'une femme de la Colombie-Britannique qui obtient la résidence permanente , une erreur immigrante


L'histoire au complet
Jashwinder Singh Sidhu et Jaswinder Kaur Sidhu assassiné par la mère et belle mère fournis
Alors qu'il purgeait une peine à perpétuité, Sidhu a demandé à devenir un résident permanent au Canada avec son épouse et son fils adulte. Il a menti sur son casier judiciaire
Darshan Singh Sidhu, l'une des sept personnes en Inde impliquées dans le meurtre «par l'honneur» d'une femme de la Colombie-Britannique dans ce pays en 2000, s'est vu accorder par erreur un visa de résident permanent pour le Canada en 2008 après avoir menti sur son casier judiciaire.
L'erreur a été révélée dans une récente décision de la Cour fédérale concernant la question de savoir si le fils de Sidhu, qui avait obtenu un visa au même moment, devrait être autorisé à rester au Canada malgré les fausses déclarations de son père, qui est depuis retourné en Inde.
Il s’agit de l’un des nombreux méandres juridiques au Canada et en Inde depuis le meurtre de Jaswinder Kaur Sidhu, 25 ans. La femme de Maple Ridge, en Colombie-Britannique, et son mari, le conducteur de pousse-pousse, Sukhwinder Singh Sidhu, ont été attaqués par une foule d'hommes dans la région du Pendjab, en Inde, en juin 2000. Son corps a été retrouvé le lendemain, la gorge tranchée.

Fichier Darshan Singh Sidhu
La police en Inde a affirmé que la mère de Jaswinder, Malkit Kaur Sidhu, et son oncle, Surjit Singh Badesha, avaient ordonné le meurtre de la Colombie-Britannique après que Jaswinder n'avait pas épousé un homme plus riche choisi pour elle. Sept personnes en Inde, dont Darshan Singh Sidhu, ont été initialement reconnues coupables d’avoir orchestré le meurtre commis au nom de la famille de Jaswinder au Canada.
En janvier 2007, alors qu'il purgeait une peine d'emprisonnement à perpétuité, Sidhu a demandé à devenir un résident permanent au Canada avec son épouse et son fils adulte. (Il avait déjà une fille au Canada à l'époque qui était leur parrain). Lorsqu'on lui a demandé sur son formulaire de demande s'il avait fait l'objet d'une procédure pénale, Sidhu a répondu «non».
En 2008, Sidhu, qui était en train de faire appel de sa condamnation, s'est vu accorder une libération conditionnelle temporaire. En mai de la même année, Sidhu, son épouse et son fils âgé de 25 ans - visas canadiens en mains - se sont rendus à Vancouver et ont obtenu le statut de résident permanent après s'être entretenus à l'aéroport.

Sidhu et son épouse sont rentrés en Inde environ six semaines plus tard afin que Singh puisse recommencer à purger sa peine. Ils ne sont pas retournés au Canada.  Cependant, leur fils, Barinder Singh Sidhu, est resté dans le pays et a fondé une famille.
Au début de 2014, lors d'une courte visite en Inde, le fils n'avait pas réalisé que sa carte de résident permanent était expirée et il a donc dû se rendre au consulat du Canada pour obtenir un visa de voyage pour revenir au Canada. 
C'est alors que les autorités de l'immigration ont réalisé qu'elles avaient précédemment accordé des visas de résident permanent à un meurtrier condamné et à sa famille.
Ils ont laissé Barinder Singh Sidhu revenir au Canada, mais en 2015, un agent d'immigration a déposé un rapport affirmant qu'il ne devrait plus être autorisé à rester au motif qu'il avait dissimulé des informations sur la condamnation de son père.
Mais l'année suivante, la division de l'immigration de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) décida qu'il pouvait rester, car il n'était pas responsable des déclarations erronées de son père.

Immigration Canada
La Section d'appel de l'immigration de la CISR a confirmé cette décision en 2017, amenant le gouvernement à demander un contrôle judiciaire par la Cour fédérale du Canada.
Le gouvernement a fait valoir que même si le fils n'avait jamais été interrogé sur le casier judiciaire de son père dans le cadre de sa demande de résidence permanente ou lors de son entretien à l'aéroport de Vancouver, il était toujours tenu de divulguer ces informations en vertu d'un "devoir de franchise", et donc indirectement. ”Faits inexacts ou dissimulés.
Dans une décision rendue la semaine dernière, le juge Richard Mosley a conclu que le fils n'était pas tenu de divulguer les antécédents criminels de son père.Cependant, Mosley a toujours conclu que le fils était interdit de territoire au Canada en raison des déclarations fausses de son père, qui avait agi en tant que demandeur principal de la famille.
«Les parties ne contestent pas le fait que, sans la fausse déclaration de Darshan Singh Sidhu, (son fils) n'aurait pas été admis au Canada en tant que membre de la famille l'accompagnant», a déclaré Mosley. «Les visas auraient été refusés et la famille a refusé d'atterrir au port d'entrée. Son statut de résident permanent est donc fondé sur un mensonge, bien que celui de son père quand ils ont demandé et réussi à entrer au Canada. »

Contrairement à ses parents, mon client vit ici depuis 2008.
Le juge a renvoyé l'affaire à la division d'appel de l'immigration de la CISR pour réexamen.
Alex Stojicevic, l'avocat de Barinder Singh Sidhu, a déclaré mardi qu'il envisageait de faire appel de la décision de la Cour fédérale. L'autre option serait de laisser l'affaire à la CISR et de faire valoir que son client devrait être autorisé à rester au Canada pour des motifs d'ordre humanitaire.
«Contrairement à ses parents, mon client vit ici depuis 2008. Il a un emploi, a deux enfants ici qui sont citoyens canadiens, une femme qui est citoyenne canadienne et une soeur ici», a déclaré Stojicevic. «Il y a de forts facteurs en sa faveur. Et il n'a pas de record. "

Les responsables de l'immigration ont déclaré qu'ils ne pouvaient pas commenter l'affaire pour des raisons de confidentialité.
Dans l'intervalle, la condamnation de Darshan Singh Sidhu a été annulée par la Cour suprême de l'Inde, bien qu'il soit peu probable qu'il puisse jamais revenir au Canada, a déclaré Stojicevic.
En ce qui concerne Surjit Singh Badesha et Malkit Kaur Sidhu, responsables présumés du meurtre, leurs avocats de la Colombie-Britannique continuent de contester les tentatives faites par l'Inde pour extrader le couple et ont demandé la suspension permanente d'une ordonnance de remise rendue par le ministère de la Justice du Canada.
M. Badesha et Mme Sidhu ont nié toute implication dans le meurtre et ont fait appel de la demande d'extradition de l'Inde jusqu'en Cour suprême du Canada, qui les a déboutés en 2017.

https://www.tvanouvelles.ca/2019/01/24/extradition-dune-mere-soupconnee-davoir-fait-assassiner-sa-fille

dimanche 27 janvier 2019

Jocelyne Lizotte et Michel Cadotte son époux est accusé de meurtre par compassion. Il n’est pas un meurtrier, mais bien ce sont deux victimes du système judiciaire

Jocelyne Lizotte et Michel Cadotte son époux est accusé  de meurtre par compassion. Il n’est pas un meurtrier, mais bien ce sont deux victimes du système judiciaire qui protège les plus les meurtriers que les victimes. Changer les lois Justin Trudeau au fédéral  et François Legault au provincial.

Jocelyne Lizotte, qui souffrait de la maladie d’Alzheimer, passait le plus clair de son temps attachée à son lit ou à sa chaise, dans cette chambre du CHSLD du Centre-Sud où elle résidait depuis 2014. Elle ne reconnaissait même plus ses proches.
Michel Cadotte avait fait installer une télévision dans la chambre pour qu’elle puisse écouter de la musique pendant la sieste. Il lui donnait aussi régulièrement un morceau de chocolat », a expliqué une préposée aux bénéficiaires, jeudi, au procès de Michel Cadotte, afin d’illustrer comment il prenait soin de sa femme.
Meurtre par compassion dont le terme « le mot Meurtre n’a pas sa place» nous devons trouver un autre nom pour ces accidents de la vie
L’homme de 57 ans est accusé du meurtre au second degré de son épouse, Jocelyne Lizotte, après 19 ans de mariage et un an après que la dame se soit fait refuser l’aide médicale à mourir.
Accusé au criminel comme un meurtrier pouvant avoir un dénouement tragique pour ce grand homme mortifié par la disparition de son épouse, de son amour, de son ami pour la vie.

La compassion est de mise avec les aides pour ces personnes et leurs familles

Cet homme ne doit être jugé comme un criminel, mais selon la conscience humanitaire, de la majorité des Québécois, et Canadien, M. Michel Gadotte un être humain et très humain, tout comme en Alberta, le père de famille qui a mis fin aux misères de sa fille handicapé fortement  Robert Latimer qui a du passé une dizaine d’années comme un criminel, et ce qui n’était pas le cas il doit avoir de l’aide médical, psychologique et non pas la tôle.
Des hommes meurtris et leurs consciences sont attaquées.
Robert Latimer demande que son cas soit revu en plaidant que, à l’époque, les médecins avaient refusé d’administrer de puissants antidouleurs à sa fille Tracy, alors âgée de 12 ans, jugeant que cela aurait pu la tuer.

Le fermier avait affirmé ne plus pouvoir endurer de voir sa fille souffrir des intenses douleurs chroniques provoquées par la forme grave de paralysie cérébrale dont elle était atteinte. Il a avoué l’avoir asphyxiée en 1993 avec les gaz d’échappement de sa camionnette.

J’aimerais voir ce que nos législateurs ferraient  s’ils étaient dans les mêmes situations inhumaine, que ferrai-t-il ?

Meurtres de déshonneurs de musulmans coraniques la famille Shafia

Ces hommes ne sont pas des meurtriers ce sont des personnes  qui aimaient leur épouse, leur fille ou autre. Ils ne doivent pas faire face à la justice qui favorise les meurtriers au détriment des victimes.  Nos législateurs ont promulgué sans distinction des lois anti victimes, pro extrémistes, meurtriers, les agresseurs, les meurtres d’honneur, de centaine de religions moyenâgeuses, anti démocratique, anti liberté, etc.
Mohammad Shafia qui avait été trouvé coupable des meurtres prémédités de ses trois filles et de sa première femme, en janvier 2012, en mène large à l'intérieur des murs de la prison.
C'est ce qu'a raconté un ex-psychologue en milieu carcéral qui a déjà œuvré à l'ancien pénitencier de Kingston en Ontario qui a fermé ses portes il y a quelques années et où était détenu Mohammad Shafia.

Le docteur Robert Groves témoignait aujourd'hui devant un comité du Sénat pour parler de la radicalisation des détenus.
Il a décrit Mohammad Shafia comme étant un homme radical, extrêmement exigeant qui s'attend à avoir des passe-droits en prison. Plusieurs détenus le craignent.
Le Dr Groves a notamment raconté que tous les vendredis, jour de prière, Shafia amenait un groupe de 23 autres détenus à la prière hebdomadaire. Environ le tiers des hommes ne voulait pas s'y rendre, mais y étaient obligés parce qu'ils étaient terrifiés par Mohammad Shafia.
Les trois filles et la première femme de Shafia, toutes tuées, meurtres d’honneur musulmans, islamiques, salafistes dans notre cours.
«Je crois qu'il représente un problème pour l'administration dans la mesure où il est influent. N'importe qui qui a une telle influence va se buter aux politiques de l'administration», a expliqué le Dr Groves à TVA Nouvelles.

Un détenu a même demandé d'être placé en isolation pour éviter les prières et l'intimidation incessante des Shafia, selon M. Groves.
La semaine dernière, une étude du Service correctionnel du Canada rendue publique affirmait que contrairement à une certaine croyance, les pénitenciers ne seraient pas des terrains fertiles pour la radicalisation, une conclusion que M. Groves semblait remettre en question.
«C'est peut-être pas opérationnel maintenant, mais c'est en développement», a dit ce dernier en réponse à un sénateur qui se demandait si c'était un cas de radicalisation.
M. Groves a dit que Shafia n'est pas physiquement intimidant comme tel, mais il a évoqué la possibilité «qu'il arriverait quelque chose» à ceux qui s'absenteraient des séances de prière.
Sara Parkes, une porte-parole du Service correctionnel du Canada, n'a pas voulu répondre à aucune de nos questions lundi sur les activités de Mohammad Shafia en prison - qui se déroulent dans une salle ouverte - disant que le SCC ne peut discuter le cas d'un détenu publiquement.

Nous nous demandons si Justin Trudeau leur accordera la grâce de premier ministre qui ne fréquente que les mosquées, ou les terroristes.

Normalement, les sessions de prières musulmanes sont organisées par l'aumônier de la prison avec des imams de l'extérieur, dont la réputation et les antécédents sont vérifiés.
Mohammad Shafia semblait, lui, plutôt intéressé à propager sa version extrémiste et radicale de l'islam dans sa section de prison, a suggéré le fonctionnaire.
Mohammad Shafia a été condamné en 2012 pour meurtre au premier degré relativement à la mort de ses filles Zainab, 19 ans, Sahar, 17 ans, et Geeti, 13 ans, et de sa première épouse, Rona, âgée de 52 ans.
Les corps des quatre femmes ont été retrouvés le 30 juin 2009 dans une voiture immergée au fond d'une écluse à Kingston Mills.
M. Groves a dit que Shafia n'aurait démontré aucun remords après avoir tué ses filles pour «laver l'honneur» de sa famille.


Pakistan, cinq femmes agressées à l'acide en moins de 24 heures
Bien que les sanctions pénales aient augmenté, plus d'une centaine de Pakistanaises sont victimes chaque année d'attaques au vitriol pays de Zunera Ishad Pakistanaise affilié à Al-Qaïda à Mississauga en Ontario, Canadacelle qui déféqua sur le drapeau du Canada avec les applaudissements de Justin Trudeau et de Judy Wilson-Raybould.
Au moins cinq jeunes femmes ont été attaquées à l’acide par des hommes circulant à moto au cours des 24 dernières heures dans le sud-ouest du Pakistan, ont indiqué mardi les autorités locales. Dans le plus récent incident, deux hommes à moto ont vitriolé des adolescentes âgées de 14 et 15 ans qui rentraient du marché local à Mastung, ville située à une quarantaine de kilomètres de Quetta, capitale de la province instable du Baloutchistan.
«L’une des filles a été blessée au visage et l’autre a le cou brûlé», a déclaré à l’AFP un responsable de la police locale Wazir Lango, sans préciser la sévérité des blessures infligées. Les deux adolescentes ont été admises à l’hôpital et la police a diligenté une enquête afin d’identifier les assaillants dont les motifs demeurent encore obscurs, a souligné ce responsable.
La veille, deux hommes à moto, ont jeté de l’acide au visage de trois femmes âgées d’une vingtaine d’années qui rentraient d’un marché à Quetta, a dit à l’AFP le chef de la police locale Abdul Razzaq Cheema. Les jeunes femmes ont été partiellement brûlées au visage, a-t-il précisé.

Plus d'une centaine de femmes défigurées chaque année
Au Pakistan, les attaques à l’acide sont punies par la loi mais défigurent néanmoins chaque année plus d’une centaine de femmes. Un amendement au code pénal adopté à la fin 2011 prévoit une peine minimale de 14 ans de prison, pouvant aller jusqu’à la perpétuité - contre un maximum de dix ans auparavant - et une amende d’un million de roupies (10 000 dollars) pour quiconque est reconnu coupable d’agression au vitriol. Cet amendement a donné plus de crédit à la parole des victimes et sensibiliser davantage l’opinion publique sur des affaires qui restent souvent dans l’ombre.
Résultat, le taux d’inculpation a considérablement augmenté depuis l’entrée en vigueur de l’amendement, mais aussi le nombre de cas connus, les victimes étant désormais plus enclines à témoigner, selon l’ONG Acid Survivors Foundation (ASF).
Les cas du Baloutchistan portent à au moins 125 le nombre d’agressions à l’acide recensées au Pakistan depuis le début de cette année seulement, contre 143 pour l’ensemble de la dernière année, selon les données de l’ASF.

Indienne en Inde défigurée
DÉFIGURATION - Une Indienne a été attaquée à l'acide pour la cinquième fois en neuf ans en raison d'un différend avec ses agresseurs portant sur des questions de propriété. Des centaines d'attaques du même type sont commises chaque année en Inde.
La victime était placée 24h/24 sous la protection des forces de l'ordre. Mais cela n'a pas suffi à empêcher une énième agression. Une Indienne, mère de famille de 35 ans, a été attaquée à l'acide pour la cinquième fois, selon la police du pays.
La scène s'est déroulée dans le nord de l'Inde, à Lucknow, la capitale de l'Uttar Pradesh, alors qu'elle pompait de l'eau dans le foyer réservé aux femmes où elle séjournait. L'agresseur, qui a escaladé un mur d'enceinte du bâtiment, s'est enfui après l'avoir aspergée, selon les précisions données par le chef de la police locale à l'Agence France Presse.  
La police déclenche une chasse à l'homme
Une chasse à l'homme a été déclenchée pour retrouver l'auteur de cette attaque. La victime a quant à elle été admise à l'hôpital pour se faire soigner des brûlures au visage et à l'épaule. En raison des nombreuses agressions dont elle avait été victime depuis 2008, elle était donc pourtant protégée par un policier armé mais celui-ci n'était pas autorisé à pénétrer dans le foyer.
Sikhs, ou terroristes ou députés ou ministres à la Chambre des Communes à Ottawa, ils parcourent nos villes avec leurs religions malveillantes dont Justin Trudeau le multiculturaliste approuvent leurs actions en les amenant en Inde.
Environ 300 attaques à l'acide ont été signalées en Inde en 2015, d'après les dernières statistiques officielles. Mais cela ne représenterait selon les experts que la partie émergée de l'iceberg. La plupart de ces agressions sont le fait d'hommes éconduits après avoir fait une demande en mariage ou sont liées à des différends portant sur des questions de propriété. 
Ses deux agresseurs avaient été libérés sous caution
Dans le cas de cette femme, qui aurait d'abord été violée et attaquée une première fois à l'acide par deux hommes en 2008, il s'agirait justement d'un conflit foncier. La victime avait à nouveau été agressée en 2012 et 2013 de manière identique et par les mêmes hommes. Ils voulaient ainsi la contraindre à abandonner les poursuites engagées contre eux devant la justice.
Plus récemment, en mars dernier, ses deux agresseurs l'auraient forcée à avaler de l'acide pendant qu'elle voyageait en train avec une de ses filles. Ces hommes, qui risquent des procès pour toutes ces attaques, ont toutefois été libérés sous caution en avril.
 
Montréal, un honorable et honnête homme accusé de neuf meurtres appartenant au Hells Angels, avocate payée par l’aide juridique du Québec, pour les personnes sans revenus
«Je ne veux pas vous voir», avait lancé Gregory Wooley, trafiquants, à deux enquêteurs venus le mettre en état d’arrestation.  Détenu au pénitencier de Donnacona, il faisait alors faces à de lourdes accusations de gangstérismes à l’opération 2001

Mais en juin 2005, l’honorable Gregory Wooley suivait les exemples de la quasi-totalité de ses acolytes, complices, et plaidait coupable à des accusations réduites. Les contribuables du Québec, les cons ont alors payé la totalité des factures pour sa défense comme pour la plupart des Hells Angels, meurtriers et trafiquant de drogues
Et son avocate Cristina Nedeleu a reçu du gouvernement du Québec, de vos taxes mes chers cons des honoraires totalisant $394 550 par l’entremise de l’aide juridique du Québec
Eux ce sont des meurtriers que nos lois protègent, et Michel Gadotte doit aller en prison, ça n’a ni que ni tête, le procès doit avorter, point.  Nous devons tous les aider incluant sa famille et amis pour ce triste incident involontaire
Le gouvernement du Canada Justin Trudeau, et Jody Wilson-Raybould ministre de la justice du Canada islamique et le Gouvernement  du Québec le nouveau premier ministre François Legault avoir un œil sur ce procès injuste.dilatatoire

Nous exigeons une vrai justice  pour Michel Cadotte