samedi 22 mars 2025

Pierre-Hugues Boisvenu, témoigne devant la Commission des libérations conditionnelles Fédérale se présente devant Hugo Bernier l’assassin de sa fille, 23 ans plus tard

 Pierre-Hugues Boisvenu, témoigne devant  la Commission des libérations conditionnelles Fédérale se présente devant  Hugo Bernier l’assassin de sa fille,   23 ans plus tard 

Ma fille Julie Boisvenu, séquestrée, violée, torturée, tuée, dont son corps jeté dans un fossé tel qu’un sac de déchets, profiteras de tous, de tous les  privilèges accordé aux prisonniers dont le peuple n’y a même pas droits  

Hugo Bernier, criminel assisté par une multitude d’avocats d’office  profitera en tant que criminel des non-sens du système des droits carcéraux  demandant  à sortir prendre l’air, hors des murs de la prison.  

Pierre-Hugues Boisvenu ce  père endeuillé est prêt à livrer bataille et  plonger ses yeux bleu acier dans ceux du meurtrier de sa fille.

 Les juges de la Commission des libérations conditionnelles du Canada lui ordonnent de se tenir droit, calme, modéré et posé, malgré la douleur toujours vive que le meurtrier a tous les droits de profiter une vie tranquille au Canada. 

Pierre-Hugues Boisvenu, donc se présente devant la Commission des libérations conditionnelles du Canada  pour témoigner, au nom de sa fille Julie Bienvenu. 

Pierre-Hugues Boisvenu n’est pas seul devant cette Commission  avec la photo de Julie et place la photo de Julie Bienvenu sur la chaise à ses côtés.

Julie Boisvenu Photo fournie par Pierre-Hugues Boisvenu

Le cirque de la justice médiatique

L’audience est organisée à la demande du criminel Hugo Bernier. 

Et Hugo Bernier est  en plein contrôle des juges, et qui contrôle le processus. 

Un des juges profitant de son statut ne voulant aucunement entravé

S’il n’est pas prêt émotivement, on annule tout. 

Ce matin-là, veut demander aux commissaires des permissions de sortie. 

Tout le monde est assis en deux cercles distincts comme le veut la tradition autochtone. Car le meurtrier de Julie s’est découvert des racines innues. 

Hugo Bernier a tous les droits,  étrangement qu’on lui accorde le droit de s’autoproclamer autochtone, sans vérification de statut? Les traditions juridiques des racines autochtones d’Hugo Bernier se situent à côté du droit civil et de la common law elles leur permettent aussi d'organiser et de structurer juridiquement  à leur façon  de manipuler la justice

Nous n’avons pas juridiction dans ce domaine

Hugo Bernier a donc droit aux cercles de justice. 

Dans le cercle intérieur, le détenu et une douzaine de personnes : greffière, commissaires, avocats et autres spécialistes, payés par les contribuables, pour s’assurer que ses droits sont respectés. 

Dans le cercle extérieur, le père de Julie Boisvenu, et des proches et amis attendent de voir où s’en va tout ce cirque.

Et voilà qu’à la dernière minute, faisant fi du moindre respect pour l’appareil judiciaire, Hugo Bernier, meurtrier et devenu  le président de la libération conditionnelle change d’idée. 

Hugo  Bernier sous les égides des avocats payés par les contribuables se plaint qu’il n’a  pas eu assez de temps pour lire certains documents, alors que la loi stipule qu’il a droit à 15 jours.  

Comment a-t-il fait ce criminel  de connaître tous les agoras judiciaire

Ne voulant certainement pas léser les droits du détenu,  considérant qu’Hugo Bernier juge  de la CLCC ordonne le report de l’audience.

Étonnant qu’un criminel condamné à la prison à vie sans libération conditionnelle avant 25 ans, fasse des demandes de sorties au bout de 23 ans? 

Hugo Bernier a le droit de réclamer son transfert dans une prison pour femmes  et s’est fait  greffer un vagin attaché à côté de son pénis et de s’identifier comme genre féminin.

Considérant les garde-robes de notre ancien premier ministre à  Ottawa voyageant de par le monde de genre, il en a aussi le droit. On est rendus là.

Et les droits des victimes non sont pas reconnus et rejeté par notre système de justice 

Il faut condamner haut et fort la façon dont les victimes d’actes criminels et leurs proches sont traités par le système judiciaire canadien. 

Comment faire son deuil quand les meurtriers bénéficient de droits injustifiés, sur le bras de l’État? Les victimes et leurs proches sont traités tel que des  criminels et devenus des observateurs  et prennent les habits du criminels à la cour et impuissants. 

Les criminels, eux, disposent de tout un système qui les défend, les protège et s’assure de leur bien-être. 

Certains passent même leur Barreau en prison. Pas étonnant qu’ils jouent avec la loi.

Hugo Bernier avait déjà été condamné deux fois pour agressions sexuelles, sa dangerosité ne faisait aucun doute. 

Hugo Bernier  a profité d’un système laxiste qui a oublié sa mission de défendre les droits des victimes. 

Hugo Bernier  a été libéré il y a 23 ans alors qu’il aurait dû rester en dedans. Si la justice avait fait son travail, Julie  Boisvenu serait encore dans le monde des vivants.

L’unique solution c’est : Michael Spavor et Michael Kovrig, - Exécutée en Chine Pékin a affirmé jeudi le 20 mars 2025  Exécutée en Chine ce matin.  Ils ne font pas dans la dentelle pour lutter  contre la criminalité liée aux stupéfiants dans les pays asiatique.  Et la Chine économise des milliards de dollars et récupère  les organes pour les transplantations et  tout comme le dit les Anglais « c’est Win, Win»

De rendre l’utile à l’agréable 


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