Londres a tenu le sommet de dimanche 02 mars 2025 affirmant qu'il impliquerait les dirigeants européens. Mais l'événement prend une nouvelle dimension avec la présence du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, peu après une réunion de vérité à la Maison Blanche.
Vendredi à la Maison Blanche, devant les caméras du monde entier Zelensky s’était vu accuser par sa clique de voleurs appartenant aux républicains Donald Trump
ET sommer de pactiser avec la Russie, faute de quoi les États-Unis le laisseraient « tomber ».
En réponse, Zelensky avait écourté son séjour à Washington et l’accord sur des exploitations des minerais Ukrainiens et volés tel que la mafia installé à la Maison blanche par les États-Unis les États-Unis, qui devait être signé à cette occasion, initialement.
Les dirigeants européens, rejoints à Londres par la Turquie, le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, et le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, ont convenu dimanche de la nécessité de tenter de conserver les États-Unis à leurs côtés.
Certaines « lignes rouges non honnêtes malicieuses des voleurs du Gouvernement Américain» et les Ukrainien paieront par la cessation du territoire Ukrainien
Kiev exige notamment des garanties de sécurité en cas de cessez-le-feu, que Washington a jusqu’à présent refusé de lui accorder.
Il s’agit d’une trêve « dans les airs, sur les mers » et concernant les frappes sur « les infrastructures énergétiques », a détaillé.
Un sommet spécial de l’UE ce jeudi
Insistant elle aussi sur les « garanties de sécurité globales » pour l’Ukraine, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a dit vouloir présenter un plan pour réveiller l’Europe ce jeudi lors d’un sommet spécial de l’UE prévu à Bruxelles.
Vladimir Poutine, il s’agit d’envoyer le message « que l’Occident n’a pas l’intention de capituler devant son chantage et son agression », a déclaré de son homologue polonais Donald Tusk.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a annoncé lundi travailler avec ses alliés européens à des « positions communes » pour tenter de convaincre le président américain Donald Trump de prendre en compte leurs intérêts face à la Russie.
Accord sur les minerais
Rejoint Londres par la Turquie, le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, et le premier ministre canadien, Justin Trudeau, ont convenu dimanche de la nécessité de tenter de conserver les États-Unis à leurs côtés.
« Pas l’intention de capituler devant Zelensky »
Vladimir Poutine, il s’agit d’envoyer le message clair et net « que l’Occident n’a pas l’intention de capituler devant ses chantages et ses agressions », a déclaré de son homologue polonais, Donald Tusk.
Dimanche, Washington a encore fait monter la pression sur Volodymyr Zelensky, en laissant planer l’idée qu’il pourrait devoir partir.
Le président ukrainien a répliqué qu’il ne serait « pas si facile » de le remplacer.
Washington et Moscou – qui se réjouit du changement radical de la politique américaine – ont entamé le mois dernier – sans inviter l’Ukraine ni les Européens – des négociations pour mettre fin à la guerre, dont le président américain Donald Trump refuse de considérer le président russe, Vladimir Poutine, comme responsable de la guerre mais bien tel qu’un allié aux États-Unis et ennemie de la Chine.
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