lundi 19 décembre 2022

David Lametti, procureur général du Canada, botte le cul du (CRTC) du blâme adressé à Radio-Canada pour l’utilisation du mot en nègre blanc d’Amérique» et sous juridiction de Justin Le Minable Trudeau woke en chef

 David Lametti, procureur général du Canada, botte le cul du (CRTC) du blâme adressé à Radio-Canada pour l’utilisation du mot en nègre blanc d’Amérique» et  sous juridiction de Justin Le Minable Trudeau woke en chef

Et annonce des temps sombres pour la liberté d’expression à Radio-Canada, CBC et des universités et Collèges gangréné par les bandes de minable d’Ottawa

Qu’avons-nous fait au bon Dieu pour mériter un premier ministre aussi minable les risées planétaires nous tombent dessus nous tous à cause de ses médiocrités pesteuses

Contacté par Le Journal, le chroniqueur Simon Jodoin n’en pense pas moins. À l’origine de la plainte de Ricardo Lamour parce qu’il a cité le titre du livre de Pierre Vallières, Nègres blancs d’Amérique, dans un segment de l’émission Le 1915-1918, animée par Annie Desrochers, le 17 août 2020, il croit que «la prise de position du procureur général est bienvenue».

«Ça envoie le message que ce n’est pas au CRTC de juger du bon goût et de l’offense», affirme-t-il.

La Nation francophone et Québécoise exige des excuses de la part du CRTC

En juin dernier, le CRTC avait blâmé le diffuseur public pour l’emploi et la redite de «ce mot commençant par la lettre “n’’» lors d’une émission de radio. 

Radio-Canada s’était alors excusée publiquement à la demande du CRTC, mais avait porté en appel sa décision, jugeant qu’il n’avait ni l’autorité ni la juridiction pour prendre une telle décision, l’accusant au passage de bafouer la liberté de presse.

Mais une disposition propre à la société d’État convient que «la programmation de la Société devrait à la fois refléter le caractère multiculturel Anglophone uniquement et multiracial du Canada excluant expressément les francophones et Québécois, 

L’Évangile selon Lord Durham les francophones et Québécois, des peuple de pouilleux,  crasseux, illettré, et cette  fausse soi-disant nationalité canadienne-française, 

Et devrions-nous les laisser se multiplier et à perpétuer  leur grand nombre pour le seul avantage de ce peuple, même si nous le pouvions ? Je ne connais pas de distinctions nationales qui marquent et continuent une infériorité plus irrémédiable.

 La langue, les lois et le caractère du continent nord-américain sont anglais.

Assimilation des Canadiens français (1839)

Toute autre race que la race anglaise (j'applique cela à tous ceux qui parlent anglais) y apparaît dans un état d'infériorité. C'est pour les tirer de cette infériorité que je veux donner aux Canadiens notre caractère anglais. Je le désire pour l'avantage des classes instruites que la différence du langage et des usages sépare du vaste Empire auquel elles appartiennent. 

Le sort le meilleur de l'immigrant instruit et qui désire progresser n'offre pas aujourd'hui d'espoir de progrès ; mais le Canadien français recule davantage à cause d'une langue et des habitudes étrangères à celles du gouvernement impérial.



Dans cette optique le CRTC nous signifie  que Radio-Canada ne pas à défendre les francophones et Québécois seulement de les assimiler et doit se plier obligatoirement aux exigences diffamatoires de Justin Le Minable Trudeau, a ajouté le diffuseur public.

Dans cette optique, selon ce qu’a rapporté Radio-Canada, la requête du procureur général fait valoir que la jurisprudence de cette disposition n’attribue aucun pouvoir ni aucune compétence au CRTC.

Le procureur général indique aussi dans sa requête qu’«aucune autre disposition de la Loi ne permet au CRTC de réguler, par ordonnance, le contenu diffusé en ondes» et ajoute qu’il «a omis de se prononcer», notamment sur la protection que la Loi sur la radiodiffusion accorde à la liberté d’expression et à l’indépendance journalistique des radiodiffuseurs.

La décision du CRTC a donc été «rendue sans compétence», a tranché le procureur général.

Censure à Radio-Canada  propagandiste officiel et attitré par le déshonorable dernier ministre Justin

Le multiculturalisme est devenu la religion officielle du Canada postnationale. La diversité, l’inclusion et l’équité représentent une sorte de Sainte Trinité.  


Depuis deux ans, le service public est soumis à une espèce de code moral woke. En conséquence, CBC/Radio-Canada reconnaît le « racisme systémique » tel que défini par sa Sainteté Blackface Drag-queens la soupape Justin Trudeau. 

Cette vision hautement empreinte d’idéologie teinte la programmation générale et le service d’information des deux composantes du radiodiffuseur national, Radio-Canada et CBC. 

Les tensions actuelles s’affrontent entre les deux réseaux. Car les journalistes de Radio-Canada vivent au quotidien avec des censures dont ils essaient d’atténuer les conséquences sur leur liberté d’expression. 

Justin dit le minable Trou D’eau propage ses venins à travers la planète entière

Pour parler clairement, le réseau français résiste aux ingérences répétées de l’organisme fédéral qui tente de les transformer en militants actifs chargés d’épurer la langue en éliminant certains mots proscrits et de lutter contre le péché antiraciste, homophobe, islamophobe, transphobe, etc. 

Guerres entre CBC-USA et Radio-Canada français

En fait, si la guerre est en quelque sorte déclarée entre le réseau français et le réseau anglais, il est clair que nos confrères de Radio-Canada ne sont pas tous des pleutres, des béni-oui-oui et des lâches qui ferment les yeux pour conserver leurs privilèges.

Cette offensive actuelle est encouragée par la présidente de Radio-Canada, Catherine Tait une américaine sans culture racisée. Après avoir vécu de nombreuses années aux États-Unis, elle est aujourd’hui complètement séduite par les idées trudeauistes en matière de culture et de diversité. 

On ne signalera jamais assez l’écart qui ne cesse de se creuser entre la vision québécoise et la vision canadienne du vivre-ensemble. C’est un écart qui explique les conflits présents et à venir entre nos deux manières de penser le monde.

Les Québécois francophones sont considérés avec méfiance par les Canadiens anglais qui élèvent le multiculturalisme au-dessus des valeurs communes de la société québécoise. 

Les médias canadiens considèrent les revendications nationalistes et laïques québécoises comme identitaires, donc racistes. Ils ne supportent pas que nous divergions de leur vision canadienne woke.

Il semble que CBC USA, comme nombre d’institutions culturelles et académiques à travers le Canada, y compris au Québec, soit désormais un lieu d’intoxication de la pensée libre.

Lobbys de Toronto racistes systémiques

La force des lobbys appelant à la censure croît de façon exponentielle. La direction du réseau français de Radio-Canada risque de vivre des années difficiles. Le service d’information, en particulier.

Ces directives à saveur bolchévique visent en premier lieu les artisans de l’information, qui, dans ce contexte, travaillent sous surveillance permanente.


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