samedi 15 avril 2023

Les grands muftis ainsi que d’autres proxénètes religieux empochant leurs propres profits, monétaires et tout en tissans leurs toiles d’araignée de pouvoirs des partisans dévoués, fidèles et inébranlables, endossant leurs pratiques

 Les grands muftis ainsi que d’autres proxénètes religieux empochant leurs propres profits, monétaires et tout en  tissans leurs toiles d’araignée  de  pouvoirs  des partisans dévoués, fidèles et inébranlables, endossant  leurs pratiques. 

Comment se peut-il que des croyances  ont réussi à gouverner sur nos faiblards  gouvernements occidentaux de roseaux  

Les adeptes de ces croyances défient depuis des décennies Par exemple, au nom de quel droit tolère-t-on que des enfants élevés par des juifs extrémistes soient coupés de pratiquement toutes connaissances modernes ? 

Comment des musulmans radicaux peuvent-ils exiger des salles de prières dans des écoles pour entretenir leurs croyances, alors qu’un des buts de l’école est justement de lutter par la connaissance contre les croyances de tout acabit ?

Le Canada et le Québec pays de faiblards  ne se respectant même pas et nous offrent en peinture aux charongnards religieux

Fatwas des Émirats arabes Unies concernant les secrétaires et la dactylo

Ahmed al Haddad le grand mufti des Émirats, faisant preuve d’une extraordinaire leçon de modernité, a jugé en effet que les réseaux sociaux islamistes étaient parfaitement adéquats pour répudier, puisqu’il remplisse toutes les conditions dont les décisions unilatérales des maris ou des hommes et l’information infaillible des femmes concernée, faisant de plus des économies non négligeables de papier en c’est temps modernes.

Il faut dire que les fatwas des spécialistes en sciences religieuses (ou autoproclamés tels) d’homme seulement et barbus, couronné de leurs prépuces ne nous ont pas toujours habitués à cette ouverture inouïe sur le monde et sur la modernité! 

Le cellulaire est toléré pour condamner les femmes, conduisant la voiture ou le vélo leur sont interdits considérant les pertes de leurs ovaires.

Pays-Bas

 Dans ce dernier registre, la fatwa énoncée il y a quelques mois aux Pays-Bas par le cheikh Kamal Al-Faïdy bat tous les records. 

Considérée comme exécutoire et applicable par toutes les femmes, cette étrange fatwa fait du vélo un objet prohibé, du fait qu’il peut dévoiler certaines parties du corps; mais surtout, continue notre bigot imaginatif aux idées biens tordues, parce qu’écarter les jambes et enfourcher la selle peut susciter chez la femme une excitation sexuelle.

Cette fatwa anti-orgasme-cycliste donc, ne nous dit pas en revanche si le chameau  et sa bosse étaient plus religieusement correctes que la selle du vélo ou s’il faut désormais sortir à dos d’âne ou de cheval de monter en amazone ou à califourchon  des caravanes? 

Maroc

Sous nos cieux marocains bien modérés pourtant, dans le cadre de son émission «Le Fqih a dit», Abderrazzak El Jaï, chercheur dans les sciences de la charia, n’a pas hésité quant à lui, à la suite d’une consultation, à accorder au mari le droit d’empêcher sa femme de travailler à l’extérieur selon le Coran.

 A défaut d’interprétation idéale des enseignements de la charia ou d’inspiration d’exemples historiques comme celui de la première épouse du Prophète,  de la femme l’exécutive Khadija, nous pouvons ainsi renouer avec ce certainement préislamique dicton arabe selon lequel 

«La femme a le droit de sortir deux fois de chez elle, une première fois pour aller chez son mari, la deuxième fois pour aller se faire enterrer.

Abderrazzak El Jaï  spécifie qu’il leur restera toujours le ménage, la cuisine, faire une douzaine d’enfants, et ô suprême preuve d’altruisme et de libéralité, quelques autorisations d’occupations de l’esprit dont Internet, à condition toutefois, comme l’avait édicté un mufti d’Arabie en 2004 que les dialogues entre hommes et femmes se fassent obligatoirement en présence d’un tierce via le Net! 

Riyad — Le grand mufti saoudien Cheikh Abdel Aziz a laissé éclater sa colère après une semaine marquée par une montée au créneau de femmes soutenant des réformes en Arabie pour rompre avec la domination de l'homme et le poids de la tradition.

Bref, trêve de tartufferies et de moqueries. 

A part faire passer les musulmans pour des barjos ou des arriérés, réfractaires de manière pathologique à la modernité, on se demande franchement comment des esprits sains peuvent édicter de telles insanités. 

Certains muftis à travers la planète ne devraient-ils pas se pencher davantage sur l’avis de l’Islam quant à ceux qui déforment son esprit et sa lettre et portent ainsi préjudice par leurs mauvaises interprétations à l’ensemble des musulmans et à leur image, suffisamment désastreuse dans le monde sans avoir à en rajouter.

Les muftis accusent la société à d’être à contre-courant, déformant l’esprit de l’Islam par leurs références incessantes aux hadiths (même apocryphes pour certains) par le biais des mémorisations des chaînes d’interprétations de leurs cheikhs et de leurs imams, au détriment de la compréhension rationnelle des propos clairs énoncés dans le Coran. 

Car privilégier la raison s’opposerait vraisemblablement aux projets sinistres de ceux qui veulent faire de la compréhension de l’Islam leur exclusivité propre. 

Mais en endossant le rôle de censeurs des mœurs, en jouant les rabat-joie au point de vouloir interdire des fêtes comme la commémoration traditionnelle de la naissance du Prophète

En se délectant dans la prononciation d’effroyables sentences de lapidations et de mort, certains tristes muftis ne se mettent-ils pas en eux-mêmes en contradiction avec les enseignements du Livre sacré et avec les nobles attributs de Dieu.

Formulés à plusieurs reprises dans le saint Coran depuis l’ouverture et la Basmala, prononcée lors de chaque prière quotidienne pour nous rappeler cinq fois par jour au moins, que Dieu est Clément et Miséricordieux pour les musulmans uniquement et toué les juifs et les chrétiens 

Hypocrisies et mensonges des toutes ces religions y compris notre propre religion : Karl Marx en concluait que la religion était l'opium des peuples, c'est-à-dire une sorte de drogue, un paradis artificiel empêchant l'individu de se tourner vers les véritables responsables de l'injustice sociale.

Mes vaches sont sacrés, on ne mange pas de porc de peur de devenir cochon, on ne mange pas de viandes les vendredis, etc.


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