samedi 4 mai 2024

Guenuite Mubwaka, gardienne âgée de 25 ans RECONNU par les services de garde du gouvernement du Québec, deux présumées victimes étaient âgées de 13 mois et 20 mois

Guenuite Mubwaka, gardienne âgée de 25 ans  RECONNU par les services de garde du gouvernement du Québec, deux présumées victimes étaient âgées de 13 mois et 20 mois  

 Une autre fillette et aussi  violentée  plusieurs enfants à sa garderie

Deux nouvelles accusations de voies de fait contre des bambins seront déposées jeudi matin au palais de justice de Québec contre la femme de 25 ans

a gardienne de Beauport accusée du meurtre d’un poupon de 14 mois aurait violenté  plusieurs autres enfants sous sa garde. 

Deux nouveaux chefs d’accusation de voies de fait seront portés contre Guenuite Mubwaka jeudi matin.

Les nouvelles accusations visent encore une fois des bambins qui étaient sous la responsabilité de l’accusée, selon nos informations.

La période de ces nouvelles infractions va du 21 février au 18 mars 2024 dernier selon l’acte d’accusation rendu public jeudi. 

L’accusée doit officiellement être mise en accusation au cours de la matinée.

Déjà accusé de meurtre

Rappelons que selon l’accusation de meurtre au deuxième degré déjà portée contre Mubwaka, la première victime, une fillette, est décédée le 21 mars après avoir été transportée de la garderie vers un centre hospitalier. 

Les services d’urgence avaient été appelés sur les lieux pour une fillette inconsciente.

Des manœuvres de réanimation avaient été tentées lors du transport.

Aucun autre détail n’a été dévoilé pour le moment quant aux circonstances qui ont pu mener au décès du bambin.

Un chef d’accusation de voies de fait avait aussi été porté contre la gardienne en lien avec la première victime. 

Ces gestes seraient survenus sur une période de quatre mois selon l’acte d’accusation.

Les dossiers de la femme ont été reportés au 30 mai prochain.

Toujours détenus

Le conjoint de avait lui aussi été mis en accusation en lien avec cette affaire. 

Josaphat Ndele, ou Josaphat MAYELE  assassin  complice aussi nommé lobi ya zambe, 30 ans, est quant à lui visé par un chef d’accusation de complicité après le fait.

Il est le propriétaire de la résidence de l’avenue Sainte-Thérèse où se serait joué le drame du 21 mars et où auraient eu lieu les autres sévices qui sont reprochés à sa conjointe.

Les deux accusés demeurent impérativement détenus pour la durée des procédures en raison du dépôt d’une accusation de meurtre. Ils devraient déposer une requête de mise en liberté provisoire devant la Cour supérieure pour espérer recouvrer leur liberté en attendant leur procès.

Le ministère de la Famille avait confirmé que la garderie en milieu familial était bel et bien accréditée et sous l’égide du bureau coordonnateur local.

Le service de garde avait été reconnu par le ministère dans les semaines précédant le drame seulement et qu’il aurait précédemment été opéré sans certification.

FR

https://www.youtube.com/watch?v=W7GhFtYw8lY

EN

https://www.youtube.com/watch?v=rwV_X9EzgP0


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