Québec nous en passe une petite vite et vous taxera le kilométrage de votre nouvelle automobile électrique des technologies Geotab Inc. et haussera de 5% les taxes sur l’essence d’ici juillet lorsque vous serez parti en vacances

 Québec nous en passe une petite vite et  vous taxera le kilométrage de votre nouvelle automobile électrique des technologies Geotab Inc. et haussera  de 5%  les taxes sur l’essence d’ici juillet  lorsque vous serez  parti en vacances

Enregistrement électronique, l'optimisation des itinéraires, l'enregistrement des données sur les accidents et le reportant des émissions de CO2 et  le Québec gouvernement  faisant compétition avec les taxes sur le pétrole à créer  sournoisement de nouvelles taxes supplémentaires

Un autre problème survient si vous voyagez dans plusieurs ÉTATS et provinces à savoir comment allons-nous séparer les revenues tous ces sangsues pour y faire leurs récoltes et bientôt dans l’état du Vermont

MyGeotab est  l'appareil GO et la plate-forme logicielle en tant que service (SaaS)

L'appareil GO se connecte au port OBD d'un véhicule à moteur et transmet en temps réel des informations de diagnostic et de localisation, obtenues via un récepteur GPS intégré sur des réseaux cellulaires commerciaux. 

Québec nous sommes en faillite les coffres sont vides

Nous sommes devant un gouffre financier. Et nous avons l’obligation morale, si nous ne voulons pas hypothéquer les générations futures, de mettre en place les solutions qui s’imposent.

Il y a au moins une mesure évidente qui s’offre à nous, et dont on discute depuis des années : instaurer une taxe kilométrique depuis 2021. 

 Le temps presse quand on sait que cela peut prendre jusqu’à dix ans pour mettre un nouveau système de perception de taxe.

Remplacer la taxe sur l’essence, pas l’abolir, mais bien l’augmenter subtilement

Ça serait inéquitable, injuste  que les propriétaires de véhicules électriques – souvent des gens mieux nantis qui ont bénéficié de subventions à l’achat – profitent gratuitement du réseau routier en laissant la facture à ceux qui roulent à essence.

Alors que le prix du carburant fait pomper les automobilistes, certains politiciens voudraient envoyer la taxe sur l’essence à la fourrière. 

Qu’Allah est sympathisant envers le Canada, les Taxes électriques nous tombent du ciel

Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a annoncé une réduction temporaire de la taxe provinciale sur le carburant

Voilà qui serait bien mal avisé au Québec.

Ce qu’est certain  que les pétrolières garderaient ces diminutions de taxes dans leurs coffres.

Et fondamentalement, l’éco fiscalité est l’un de nos meilleurs leviers pour lutter contre le réchauffement climatique. 

Un levier que nous utilisons fort peu. Le Québec se classe au 31ième  rang parmi 35 pays de l’OCDE lorsqu’on compare le poids des écotaxes sur l’essence.

Manifestement, on fonce dans le mur. Il faut donner un coup de frein. Et vite.

Une piste : hausser significativement le coût de l’immatriculation sur les VUS pour que les acheteurs optent pour un véhicule plus petit, hybride ou électrique.

Sauf que l’avènement des véhicules électriques posent un autre défi : l’entretien des routes qui est financé par les taxes sur le carburant, par l’entremise des Fonds des réseaux de transport terrestre (FORT).

Or, ce fonds est déjà déficitaire. Plus il y aura de véhicules électriques sur les routes, il n’y aura moins d’argent pour les entretenir. 

(SEII) n’est pas équitable que les propriétaires de véhicules électriques – souvent des gens mieux nantis qui ont bénéficié de subventions à l’achat – profitent gratuitement du réseau routier en laissant la facture à ceux qui roulent à essence.

Non, les véhicules électriques ne polluent pas. Mais ils usent quand même les infrastructures.

Nous devons  ajouter aux taxes à la pompe  une autre taxe kilométrique, une idée qui a déjà été appuyée par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, CAA Québec et le Conseil du patronat.

Il est vrai que cette solution présente des enjeux technologiques et politiques.

Technologie existante

Mesurer le nombre de kilomètres parcourus en installant un GPS dans les voitures soulève des craintes d’atteinte à la vie privée, tandis que procéder avec une lecture annuelle de l’odomètre serait sujet à la fraude.

Mesurer le nombre de kilomètres parcourus en installant un GPS dans les voitures soulève des craintes d’atteinte à la vie privée, tandis que procéder avec une lecture annuelle de l’odomètre serait sujet à la fraude des parts des différents paliers gouvernementaux.

Malgré les embûches, il faudra parler de la taxe kilométrique. Sinon, il y aura un gros trou dans le budget du Québec