vendredi 3 mai 2024

Longueuil, Québec – Palais de justice des parents torturaient, frappaient leurs deux garçons de 8 ans et 4 ans possibilité de deux à trois années de prison et l’avocate de la défense prison à domicile

 Longueuil, Québec – Palais de justice des parents torturaient, frappaient  leurs deux garçons de 8 ans et 4 ans possibilité de deux à trois années de prison  et l’avocate de la défense prison à domicile

Le couple a plaidé coupable pour des voies de faits graves sur leurs fils de 8 ans et 4 ans

Leurs raisons étant qu’ils ont été aussi domptés des parts de propres parents lorsqu’ils étaient frappés de même façon inhumaine de leurs parents 

Coups de pied à la tête et avec une ceinture, gifles répétées et ecchymoses sur tout le corps: des parents qui croyaient bien faire en battant leur garçon de 8 ans jusqu’à lui infliger une centaine de blessures pourraient passer deux et trois ans en détention.

Ce qu’il a subi, c’est de la torture. C’est d’une violence inouïe. Il n’y a littéralement aucune partie de son corps épargnée, a vivement déploré la procureure de la Couronne, Me Gabriella St-Onge, jeudi au palais de justice de Longueuil.

Pendant l’année scolaire 2022, deux parents de la Rive-Sud ont commencé à battre leur fils aîné pour faire de la discipline. 

L’enfant de 8 ans accumulait de mauvais commentaires à l’école, ce qui ne leur plaisait pas.

Comme premier fils, je m’attendais à ce qu’il soit respectueux, honnête, qu’il fasse honneur à nos traditions, a expliqué le père en témoignant ce matin lors des représentations sur la peine.

Ce sont des professeurs du garçon qui ont découvert les blessures. Il avait vécu l’horreur. 

La première fois, il a été frappé jusqu’à 50 fois.

Son père lui a déjà donné des coups de pied à la tête alors que sa tête frappait le plancher parce qu’il posait trop de questions.

Fil de téléphone, balais, ceinture: différents objets étaient utilisés pour s’en prendre à lui. 

Lorsque l’enfant a été examiné à l’hôpital, la pédiatre a constaté plus de 100 blessures sur son corps. 

Des lésions dans le dos seront permanentes.

Pour les parents, il ne s’agissait pas d’excès de colère, mais les coups avaient plutôt «un but éducatif.

Les gestes de violence surviennent lorsque l’enfant aurait fait quelque chose de pas correct à l’école, lorsqu’il ne mange pas son sandwich, ou lorsqu’il ne fait pas ses devoirs.

C’est ce que révèle le résumé conjoint des faits déposé lorsque les parents ont plaidé coupables notamment de voies de fait causant des lésions. 

Conclusion


À savoir comment élever, éduquer, aimer, protéger, traiter  vos enfants et non les dompter comme des animaux tels que que vos  cellulaires 


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