mardi 15 avril 2025

Donald Trump le fils de l’homme ce fils de p. attaque les recherches des Universités Américaines de pleins fouets Harvard University

 Donald Trump le fils de l’homme ce fils de p.... attaque les recherches des Universités Américaines de pleins fouets Harvard University, l’intimidation ne passera pas et les universités voyant cette pourriture à la Maison Blanche

La Maison-Blanche n’a pas lésiné sur les moyens pour dicter les vœux fascistes, bolchéviques Hitlérien. 

Dans une lettre adressée à l'Université de Harvard le 12 avril 2025, l’administration Trump a détaillé dix catégories de réformes exigées pour maintenir « la relation financière » entre l’université et l’État fédéral. Ces exigences incluent, entre autres :

Ce que Harvard risque : bien plus qu’un gel de financements MAIS BIEN LES CONTRÔLES DES CONTENUS DE TOUTES LES  UNIVERSITÉS, COLLÈGES RÉSEAUX D’ÉDUCATION  PAR CE FASCISTE SUPPRIMENT TOUTES LES LIBERTÉS DE PAROLES ainsi que lES LIBERTÉS DU PEUPLE AMÉRICAIN

Derrière cette suspension se cache un bouleversement aux répercussions scientifiques, médicales et économiques majeures.

 Le site officiel de l’université précise que 68% de ses revenus de recherche sont issus de fonds fédéraux. 

Le gel actuel met en péril - le traitement de cancers complexes (immunothérapies, thérapies ciblées), sur Alzheimer et la maladie de Parkinson, le développement de médicaments pour le diabète de type 2 et l’obésité et arrêter de se nourrir pendant 2 semaines,

La lutte contre les maladies infectieuses telles que le SIDA virus diabolique pour punir les gays LGBTQIA2+ tel que la fille d’Elon Musk à éliminer des territoires des États-Unis et  ignorer les épidémies émergentes étant de catastrophes divines

La transplantation d’organes grâce à des greffes d’origine animale (xénogreffes).

Université de Harvard -Toutefois, la réduction du financement de la recherche ne contribuera pas à cet important travail. 

Elle mettra en péril des traitements qui sauvent des vies ainsi que des travaux qui garantissent la sécurité économique et la défense de notre pays »,

Selon le président Garber de l’université de Harvard, dans une tribune publiée le 14 avril 2025 sur le site de l’université et les médias internationaux. 

La formule ne pourrait être plus limpide : les conséquences dépassent de loin Harvard ainsi que tous les établissements universitaires, les désinformations de dictature communiste bolchévique.  

Donald Trump aurait déjà dit durant son mandat qu’il enviait Hitler pour la loyauté de son armée et qu’il avait « fait de bonnes choses […] comme rebâtir l’économie » de l’Allemagne, allègue son ex-chef de cabinet John Kelly dans The Atlantic. Cet ancien haut gradé de l’armée affirme aussi au New York Times qu’il pense que le candidat républicain correspond à la définition d’un fasciste.

John Kelley

« L’ancien président se situe dans la zone d’extrême droite, il est autoritaire, il admire les dictateurs – il l’a dit lui-même. Il répond donc à la définition générale du fascisme, sans aucun doute. »

JOHN KELLY

Immigrant clandestin

L’armée contre « les ennemis de l’intérieur »

Selon le New York Times, John Kelly a décidé de faire cette sortie parce qu’il était profondément troublé par de récents propos de Donald Trump. L’ex-président américain a affirmé à la mi-octobre qu’il utiliserait l’armée contre « les ennemis de l’intérieur », en référence aux immigrants clandestins.

Réagissant sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump a qualifié ces déclarations « d’histoire inventée » et traité John Kelly de « dégénéré ».


Sa rivale Kamala Harris a elle aussi réagi aux déclarations de John Kelly, accusant pour la première fois Donald Trump d’être « un fasciste » en entrevue avec Anderson Cooper sur CNN mercredi.

Réagissant sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump a qualifié ces déclarations « d’histoire inventée » et traité John Kelly de « dégénéré ».

Sa rivale Kamala Harris quant à elle a  aussi réagi aux déclarations de John Kelly, accusant pour la première fois Donald Trump d’être « un fasciste » en entrevue avec Anderson Cooper sur CNN



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