dimanche 30 janvier 2022

Cecile Edith Klein est née en juin 1907 à Montréal a doyenne du pays est décédée à l’âge vénérable de 114 ans à Montréal, décédée au CHSLD Côte-Saint-Luc mélange de pneumonie et de COVID-19

 Cecile Edith Klein est née en juin 1907 à Montréal a doyenne du pays est décédée à l’âge vénérable de 114 ans à Montréal, décédée au CHSLD Côte-Saint-Luc mélange de pneumonie et de COVID-19

Son nom de fille était Cecile Edith Efros,  est née à Montréal, Québec, Canada le 15 juin 1907

Cecile Edith Klein ses deux parents juifs d'origine polonaise Louis Efros (1881–1950) et Rachel Pearson Efros (1887–1965).

Prenez-en de la graine, les Maxime Bernier de ce monde, les anti-vaccins, anti-mesures sanitaires, complotistes vous en êtes responsables du décès de Cecile Edith Klein

Cecile Edith Klein a vécu deux pandémies et qui pouvait toujours lire un journal sans lunettes à 111 ans.  

Cecile Edith Klein, après avoir traversé deux guerres mondiales et plus d’un siècle d’histoire, Mme Cecile Edith Klein est décédée jeudi dernier dans un CHSLD à Côte-Saint-Luc. 

 «Les dernières années avec la pandémie ont été très difficiles pour elle. Elle était toujours enfermée dans sa chambre, ça ne l’a pas aidée. Avant la COVID, ma mère était une personne qui allait beaucoup au théâtre, dans des conférences et qui adorait la musique», explique au Journal sa fille de 85 ans, Harriet Nussbaum. 

Cécile 108 ans 

Généalogie de Cecile Edith Efros Klein

Cecile Edith Efros,  née à Montréal, Québec, Canada le 15 juin 1907. 

Aux parents juifs d'origine polonaise Louis Efros (1881–1950) et Rachel Pearson Efros (1887–1965). 

En 1923, Cecile Edith Efros a commencé à fréquenter une école de secrétariat et a appris à dactylographier. 

Cecile Edith Efros n a commencé à travailler pour un cabinet d'avocats et plus tard pour une première forme de RH chez RCA Victor. 

Pendant la Grande Dépression, Klein a réussi à trouver à ses oncles un poste chez RCA Victor.

Cecile Edith Efros a ensuite déménagé à Westmount, au Québec, où Cecile Edith Efros  a épousé Erwin Klein (1905–1999), d'origine israélienne, le 5 juin 1932 et connu sous le nom de Cecile Edith Klein

Cecile 111 ans

Le couple a eu trois enfants : Harriet, Arnold et Louise. Klein avait une grand-mère qui a vécu jusqu'à 103 ans, toujours en vie au moment où elle a épousé Erwin, aux côtés de la grand-tante centenaire de Klein.

Erwin Klein, le mari de Cecile Edith Klein, a fait racheter sa pharmacie par Bayer en 1949. Erwin Klein est décédé en 1999 à l'âge de 94 ans après 67 ans de mariage. 

Cecile Edith Klein a vécu dans leur duplex à Westmount jusqu'à ce qu'elle fasse une chute en 2017 et a ensuite déménagé dans une résidence-services à Côte Saint-Luc.

Cecile Edith Klein a encore voyagé dans ses années de centenaire; à l'âge de 102 et 103 ans, Klein a fait deux croisières, une en Alaska et une au Mexique.

Après avoir subi une chute qui l'a blessé au bassin à l'âge de 110 ans, Klein est devenu moins actif et ne pouvait plus marcher.

À l'âge de 111 ans, Cecile Edith Klein pouvait encore lire le journal sans lunettes.

Klein aurait reçu sa première dose du vaccin COVID-19 en décembre 2020, faisant d'elle l'une des personnes connues les plus âgées à recevoir le vaccin COVID-19.

À la suite du décès de Phyllis Ridgway le 4 juin 2021, Klein est devenue la personne vivante validée la plus âgée au Canada.

En août 2021, Cecile Edith Klein a assisté à un concert à Côte Saint-Luc, au Québec.

Klein est décédé à Côte Saint-Luc, au Québec et au Canada le 13 janvier 2022 à l'âge de 114 ans et 212 jours. 

Après sa mort, Shige Mines Hiba est devenue la personne vivante la plus âgée au Canada et Yvonne Delorme-Martel est devenue la personne née au Canada la plus âgée. Klein était aussi la dernière personne canadienne survivante née avant 1909 et validé

Cecile Edith Klein autonome à 109 ans

Fait étonnant, Cecile Edith Klein a marché uniquement à l’aide d’une canne et est restée autonome jusqu’à l’âge de 109 ans. 

«Je pense que son secret de la longévité, c’est qu’elle est toujours restée très positive. 

Cecile Edith Klein  savait même utiliser un iPad et pouvait lire sans lunettes à 111 ans. Il y a la génétique aussi. 

Cecile Edith Klein a même pu présenter à son mari son arrière-grand-mère qui a aussi vécu jusqu'à 103 ans» 

Cecile Edith Klein une rebelle

En 1932, Cecile Edith Klein s’est mariée avec Erwin Klein à l’Hôtel Windsor de Montréal. 

Erwin Klein  son époux est décédé à l’âge de  94 ans. Erwin Klein était pharmacien et Cecile Edith Klein pratiquait le métier de secrétaire. 

Grande Dépression au Québec

Durant la Grande Dépression au Québec, Mme Cecile Edith Klein a aidé son entourage à trouver des emplois chez RCA Victor, une maison de disques américaine, où elle travaillait comme secrétaire. 

Seconde Guerre mondiale

Plus tard, pendant la Seconde Guerre mondiale, le couple fabriquait et livrait des produits pharmaceutiques pour les hôpitaux et les pharmacies de Montréal. 

Cecile Edith Klein travaillait en 1936, alors qu’elle était enceinte. À l’époque, c’était interdit. Elle se rendait donc au travail en cachant son ventre avec de grands vêtements», 

Deux pandémies en une vie Cecile Edith Klein et  non-complotiste m. Bernier

Cecile Edith Klein a vécu deux pandémies au cours de sa vie. 

La première était en 1918 avec la grippe espagnole et le second est celle que nous traversons avec la COVID-19. 

Cecile Edith Klein en 1918  et son père aidaient en livrant des repas devant la maison des malades. 

Ils sonnaient et couraient rapidement pour ne pas être infectés. Heureusement, Cecile Edith Klein  n’a pas eu la grippe espagnole au moins», mentionne Elaine Nussbaum. 

Cecile Edith Klein en croisière à 103 ans

À 102 et 103 ans, Cecile Edith Klein a fait deux croisières, l'une en Alaska et l'autre au Mexique.

Cecile Edith Klein 107ème, anniversaire

Cecile Edith Klein «On ne sait pas exactement les circonstances de sa mort, mais on pense que c’est un mélange de pneumonie et de COVID-19. Tout le monde dans son CHSLD l’avait attrapée. Elle va tellement me manquer. C’est comme s’il y avait un trou dans ma vie aujourd’hui. Je voudrais juste encore lui parler», conclut Elaine Nussbaum. 

Cecile Edith Klein - FAITS MARQUANTS SUR LA DOYENNE DU CANADA

Morte le 13 janvier 2022 à 114 ans, Cecile Edith Klein était la personne vivante la plus âgée du Canada.         

À 111 ans, elle lisait le journal sans lunettes.        

Elle était toujours autonome dans sa maison et capable de marcher avec une canne jusqu’à 109 ans.        

À 102 et 103 ans, elle a fait deux croisières, en Alaska et au Mexique.        

En 1918, elle a aidé ses voisins malades durant la pandémie de la grippe espagnole.        

Elle a eu 3 enfants, 8 petits-enfants et 18 arrière-petits-enfants.    


samedi 29 janvier 2022

Sydney Australie - Astronomes australiens ont découvert un astre étrange dans la Voie lactée, qui émet un rayonnement électromagnétique à un rythme inhabituellement long :

 Sydney Australie - Astronomes australiens ont découvert un astre étrange dans la Voie lactée, qui émet un rayonnement électromagnétique à un rythme inhabituellement long : cette trouvaille ouvre la voie à un nouveau champ d'observation du ciel. 


Des astronomes australiens ont annoncé cette semaine, dans la revue Nature, la détection d'un «objet» (astre), situé à environ 4.000 années-lumière de la Terre, qui émet un fort signal radio toutes les 18,18 minutes. Une période anormalement longue, jamais observée jusqu'à présent. «C'est un objet inhabituel», remarque sobrement le radioastronome Ismaël Cognard, du Centre national de la Recherche Scientifique (CNRS) français.

Les astronomes se questionnent sur l'astre étrange

Les astronomes connaissent bien les astres qui émettent des ondes électromagnétiques régulières, mais avec des «périodes» beaucoup plus courtes. 

Les plus nombreux, les pulsars - un genre d'étoile à neutrons extrêmement compacte - tournent sur eux-mêmes de façon ultra-rapide, en émettant, comme un phare, un rayonnement régulier sur une période allant de quelques millisecondes à quelques secondes. Une autre «espèce» d'étoile à neutron, beaucoup plus rare, le magnétar, va jusqu'à la dizaine de secondes.

L'équipe menée par Natasha Hurley-Walker, de l'Université Curtin, en Australie, a eu l'idée de fouiller les données recueillies par un radiotélescope basses fréquences géant dans l'Outback australien, le Murchison. Il observe ce genre d'objets, en cherchant des signaux émis à une période plus longue que d'ordinaire. 



C'est un jeune thésard qui a entamé le chantier... et trouvé cet «objet». 

Une démarche ardue «parce que c'est techniquement très difficile et très coûteux en termes de calcul», souligne auprès de l'AFP Fabian Schüssler, astrophysicien au Commissariat à l'énergie atomique. Les radiotélescopes produisent des montagnes de données qui nécessitent des algorithmes et des puissances de calcul élevées pour obtenir un résultat.

«C'est un bon exemple d'une découverte qui s'effectue quand on cherche dans un espace de paramètres inexplorés», ajoute Fabian Schüssler. Autrement dit, quand on regarde là où l'on n'a pas l'habitude ou les moyens de le faire.

La chasse est ouverte

L'existence de cet objet avait été prédite par la théorie, note l'astrophysicienne Natasha Hurley-Walker. Il s'agirait d'un magnétar à période ultra-longue, une sorte d'étoile à neutrons tournant très lentement sur elle-même.  



Une hypothèse «possible» selon Fabian Schüssler, car «on sait que la rotation d'une étoile à neutrons va ralentir au fur et à mesure de son existence». Comme une toupie tournant de plus en plus lentement.

Ce qui pose un autre problème. L'astrophysicienne australienne a noté en effet que l'objet observé «ne devrait pas avoir suffisamment d'énergie pour produire ce type d'onde radio toutes les 18 minutes».

Or son émission est très brillante, ce qui ne colle pas avec un «objet qui tourne plus lentement et devrait donc avoir une émission beaucoup plus faible, au point de devenir indétectable», selon l'astrophysicien au Commissariat à l'énergie atomique.

Le signal a été enregistré sur une période de trois mois, début 2018. L'objet n'a pas disparu, même si on ne détecte plus son signal désormais. 



Ismaël Cognard, du CNRS, s'appuie sur une théorie pour expliquer la force de l'émission enregistrée : «Certains magnétars ont des périodes d'émission très brillantes. On commence à imaginer qu'il y a des craquements dans l'équivalent de la croute du magnétar, qui influenceraient son champ magnétique, en boostant l'émission» enregistrée.

L'objet mystérieux détecté existe-t-il toujours? «Oui!», répond l'astronome. Il est devenu indétectable, mais la chasse est ouverte pour trouver ses congénères.


Yvon Guernon, Lilianne Liboiron et Linda Guernon, des agresseurs sexuels et autres crimes d’une ancienne famille d’accueil de Montréal-Est depuis 1960 et agression d’une fille durant les années 1980

 Yvon Guernon, Lilianne Liboiron et Linda Guernon, des agresseurs sexuels et autres crimes d’une ancienne famille d’accueil de Montréal-Est depuis 1960 et agression d’une fille durant les années 1980

Yvon Guernon et Lilianne Liboiron et Linda Guernon, des agresseurs sexuels   d’une ancienne famille d’accueil de Montréal-Est est accusée d’une série de crimes sexuels commis pendant plusieurs années sur une jeune fille qu’elle hébergeait, durant les années 1980. 

Yvon Guernon et Lilianne Liboiron ont comparu en décembre 2021.

Mais la police de Montréal croit que le couple pourrait avoir fait d’autres victimes et a lancé un appel à témoins, lundi.

Yvon Guernon âgé de  84 ans est accusé de grossière indécence, tandis qu’on reproche à sa conjointe Lilianne Liboiron à des chefs de voies de fait, d’agression sexuelle et de contacts sexuels.

Selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), l’enfant avait été placée chez les Guernon-Liboiron en 1980. Les agressions sexuelles auraient commencé dès son arrivée. 

« Elle a alors subi des gestes à caractère sexuel de la part des trois coaccusés sur une période de cinq à sept ans, jusqu’à ce qu’elle quitte cette famille d’accueil », a indiqué Jean-Pierre Brabant, du SPVM. 

Selon nos informations, l’enquête s’est amorcée cet été quand la plaignante a porté plainte pour dénoncer ses agresseurs allégués, après toutes ces années. 

Yvon Guernon et Lilianne Liboiron depuis 1960  agressaient sexuellement les enfants dans leur maison agissant comme famille d’accueil 

De la fin des années 1960 au milieu des années 1980, le couple Guernon-Liboiron était famille d’accueil. Yvon Guernon a déjà été reconnu coupable, en 1992, d’attentats à la pudeur commis en 1966 contre des filles d’âge mineur qui étaient hébergées dans sa famille d’accueil.

Dans le présent dossier, la victime alléguée a été placée chez les Guernon-Liboiron en 1980. 

Les agressions sexuelles ont commencés dès son arrivé. Elle a subi des gestes à caractère sexuel de la part des trois coaccusés sur une période de 5 à 7 ans, jusqu’à ce qu’elle quitte cette famille d’accueil. D’autres enfants y ayant été hébergés au fil des ans, les enquêteurs ont des raisons de croire qu’il pourrait y avoir d’autres victimes.

Démêlés avec la justice 

Ce n’est pas la première fois qu’Yvon Guernon, qui a été famille d’accueil avec sa conjointe de la fin des années 1960 jusqu’au milieu des années 1980, fait face à la justice pour des gestes similaires.

En 1994, le retraité avait plaidé coupable d’attentats à la pudeur commis en 1966 sur des filles d’âge mineur qui étaient hébergées dans son foyer d’accueil. Il avait alors écopé d’un an d’emprisonnement.  

Confronté à son domicile, Guernon a nié en bloc les accusations.

« La victime, elle nous accuse».

Nous autres, on les a gardées pour les dépanner, pour rendre service, pis là aujourd’hui on est obligés de payer pour se défendre contre une affaire qui est fausse », a affirmé l’octogénaire, sacrant en voyant le photographe du Journal. 

« Pas d’argent »

Il a aussi soutenu ne jamais avoir agressé d’enfants, disant qu’il avait plaidé coupable dans le passé parce qu’il n’avait « pas d’argent » pour payer son avocat. 

Les accusés doivent revenir au palais de justice le 14 février 2022. 

Vos propres conclusions de ceux qui les surveillaient  les familles d’acceuil?



Complotiste à l'Hôpital Saint-Eustache a attrapé le Covid-19 avec son épouse enceinte

TIK TOK Vox Pop- Compilation Vidéos - COVID fosses septiques- idiots- complotistes – anti-masques – anti passe sanitaire, Vidéo  # 1





Covid complotiste c’est  votre  seul et unique discours décrivant en  cachant les résultats pour l'essentiel de l'action planifiée et dissimulée de plusieurs  groupe d’agitateurs en manque de publicités médiatiques

Des acteurs apparents, en manque de connaissance scientifique voulant faire prouver que leurs sentiments de tout connaître  veulent en faire profité la collectivité de permettre et recevoir en toute impunité, leur bagage à l’essentiel de leur vie active ou inactive 

Leurs sermons sur les montagnes Russe  excluant volontairement la science, au profit de démarche reposant sur des  explications univoques des groupes principaux pour y soutirer de l’argent, reconnaissance dans les mass-média 

En cachant sciemment  les preuves  pour avoir une légitimation auprès de personnes faiblement instruit, ce qui prouve sans aucun doute leurs puissances dissimulatrice des comploteurs, et d'un discours n'autorisant pas sa RÉFUTABILITÉ


mardi 25 janvier 2022

Bravo à Madame Denise Bombardier une grande de ce monde qui doit affronter avec extrême courage les politico-ignorant- sceptique est insulté et humilié par des abrutis, inaphabets, illettrés, ces cancres dès les réseaux sociaux

Bravo à Madame Denise Bombardier une grande de ce monde  qui doit affronter avec extrême courage les politico-ignorant- sceptique  est insulté et humilié par des abrutis, inaphabets, illettrés, ces cancres dès les réseaux sociaux 

Assis sur son sofa fumant, avec des grosses bedaines et cerveaux  de  bières pour épater les personne aussi ignorante qu’eux-mêmes et se rassurant de leurs médiocrités journalières

Le bout du bout ! Denise Bombardier nous souligne qu’elle aura tout entendu au sujet de sa chronique sur le Journal de Montréal samedi le 22 janvier 2022 pour se porter à la défense du GRAND premier ministre François Legault depuis des  manigances des Libéraux incluant leurs corruptions habituelles favorisant les migrants et minorités pour dénigrer les Francophones et Québécois

François Legault parmi un des grands premiers ministres du Québec

L’un d’entre eux a écrit : « un torchon partisan, taurai du juste lui écrire une lettre d’amour en privé !!!! (sic) ». Leurs vulgarités

Les personnes qui insultes les journalises ont réellement des manques de vocabulaires et leur écriture est  moins bonne pire que mes grands-parents des années 1920 qui n’avais pas eu l’accès à l’éducation car ils commerçaient à travailler à l’extérieur chez d’autres personnes dès l’âge de 10 ans pour amener de l’argent à leur famille.

Heureusement que j’ai épousé un Anglais flegmatique qui a le sens de l’humour. « Tu aurais oublié sans doute de m’en informer, chérie », a-t-il dit en lisant The Guardian.

Isabelle Brais épouse de François Legault

Isabelle Brais épouse de François Legault  n’a pas à être rassurée ce sont des vrais amoureux. Nombre de Québécois savent que le premier ministre et son épouse forment un couple uni et très heureux. En politique, cela ne court pas les rues des politiciens honnêtes et qui n’ont pas des affaires extra-conjugales, viols, attouchements.

Curieux tout de même que des hommes aveuglés par la colère qu’a suscitée ce texte ressortent les vieux stéréotypes pour déconsidérer des propos intellectuels émis par une femme. 

Les colons à culs creux  qui vous insultent ainsi Richard Martineau et plusieurs autres journalistes œuvrant au Journal de Montréal ayant des maitrises universitaires avec des connaissances hors-normes

Au cours de ma carrière, j’ai dû recevoir des milliers de remarques émises par des hommes que rendait fous ma manière de pratiquer mon métier. J’étais la « mal-baisée ». 

Madame Denise Bombardier je crois que vous êtes trop intelligente dans vos discours et ces crétins ne peuvent décoder vos énoncés puisqu’au Québec nous favorisons les nivellements  vers le bas, politiquement correct et selon la nouvelle génération des WOKE  de visage, nez percée, visage percé anneaux

Mme Denise Bombardier nous voulons que vous demeuriez une vrai Denise Bombardier tel que vous êtes et  qui a le courage de nous décrasser les cerveaux et oreilles.

Mme Denise Bombardier l’occident vit dans un monde virtuel et les autres nations vivre les réalités quotidiennes, soit à manger, se nourrir et demeurer en santé sachant qu’ils ne peuvent faires confiances  à leurs dirigeants politiques



Bravo Madame Bombardier on ne pas  plaire à sa mère et à son père au même moment. 

En cette décennie mouvementée plusieurs personnes ont perdu le Nord en Occident et très souvent par ignorance en reniant leurs cultures, religions, valeurs occidentales pour des civilisations préhistoriques pour une soi-disant révolution irréelle

Soyons tous heureux d’avoir François Legault, la Coalition avenir Québec (CAQ) pour gérer cette pandémie et les manigances d’Ottawa avec leurs Québec Bashing

En ces temps moroses des parodies pour rire et relaxer de Marc Labrèche 


Éric Duhaime VS Dr. Gilles Boulet md cardioloque le 24 janvier 2022 , Covid-Septique, de la Covid-19 , étant le terme exact, des anti-vaccins, anti-masques, complotistes et autres

 Éric Duhaime VS Dr. Gilles Boulet md cardioloque  le 24 janvier 2022 ,Covid-Septique,de la Covid-19 , étant  le  terme exact, des anti-vaccins, anti-masques, complotistes et autres 

Incluant  une liiste des tueurs en série et Éric Duhaime, Maxime BernierMme Nadeau, policière Sureté du Québec (SQ) complotiste, Stéphane Lamarre, policier Sureté du Québec (SQ.) complotiste, Ion Patras, policier Sureté du Québec (SQ.) complotiste, Maxime Ouimet policier Laval et des milliers d’autres.

Facebook

Lettre ouverte à Éric Duhaime de la part du Dr. Gilles Boulet sur Facebook invité à visiter une urgence à l’Hôpital pour voir les malades de la COVID-19

Éric Duhaime refuse l’invitation du Dr. Boulet

Éric Duhaime, ponctué par l'accession à la chefferie du Parti conservateur du Québec, est principalement en lien avec les mesures sanitaires engendrées par la pandémie de COVID-19 qui sévit depuis deux ans « pour faire son Show».

À maintes reprises depuis deux ans, M. Éric Duhaime martèle que les mesures sanitaires sont exagérées et devraient être cessées immédiatement. Bien entendu, le personnel hospitalier, qui est débordé en raison de notre réseau de la santé qui n'est pas en mesure de fournir, n'est absolument pas de cet avis.

Gilles Goulet md. Cardiologue à Montréal, a d'ailleurs lancé une invitation au chef du Parti Conservateur du Québec (PCQ) sur Facebook:

M. Éric Duhaime, tueur en série les Covid-Septique

Je viens de vous entendre à la radio. Vous demandez au premier ministre Legault de mettre fin à toutes les mesures sanitaires en vigueur au Québec dès maintenant.

Vous qui aspirer à être le premier ministre de cette nation, je vous invite PERSONNELLEMENT à m’accompagner pendant toute une journée dans mon centre hospitalier. Vous allez m’accompagner SANS équipement de protection puisque vous en voulez la fin…

Vous m’accompagnerez à l’urgence, aux soins intensifs. Il est également possible qu’au cours de notre journée nous ayons à répondre à l’aide des autres travailleurs de la santé en donnant aux patients des soins personnels.

Je vous demanderai également de faire des appels dans les autres centres hospitaliers pour accepter de prendre en charge nos patients par manque de lit.

A la fin de notre journée, un point de presse sera organisé pour vous permettre de poursuivre votre demande au premier ministre Legault de mettre fin à toutes les mesures sanitaires.

Veuillez agréez monsieur, mes salutations

Dr. Gilles Boulet, md, cardiologue

M. Éric Duhaime politicien ignorant pour se faire connaitre, publicité

J’ose espérer recevoir une réponse favorable contrairement à tous les COVID-septiques qui sont toujours restés muets devant une telle invitation 

Gilles Goulet md, cardiologue 

Je vous demande à vous ami Facebook de PARTAGER ce mémo pour qu’il parvienne à cet homme qui aspire être le premier ministre de tous les québécois

Bonjour

Voici la réponse de M. Éric Duhaime publié sur les médias sociaux. Je prends son invitation bien au sérieux. Alors voici:

Éric Duhaine répond au Dr. Gilles Boulet

Un médecin m’a récemment interpellé sur les réseaux sociaux.

Éric Duhaime tiens à lui répondre.

D’abord, merci monsieur Dr. Gilles Goulet de vous intéresser à la chose politique et de prendre le temps de m’écrire. 

Je comprends parfaitement votre cri du cœur. Nous savons tous à quel point une grande partie du personnel soignant est au bout du rouleau.

Comme vous le savez, je ne peux légalement « MON Œil» vous suivre présentement dans un hôpital québécois.

Cela étant dit, je saisis l’opportunité pour vous inviter, à mon tour, à discuter avec notre équipe d’experts en matière de santé afin de faire des propositions constructives au Parti conservateur du Québec, en vue d’améliorer notre système de santé.

Les Québécois ont été et sont encore en grande partie confinés en raison de l’inefficacité de leur système de santé.

Notre bilan est pire qu’ailleurs alors que nos mesures sanitaires sont beaucoup plus abusives.

Le problème ne réside absolument pas dans la qualité du travail du personnel. Vous faites ce que vous pouvez avec ce que vous avez.

Il faut, selon nous, repenser nos façons de faire.

Les Donald Trump ignorants conservateurs croient aux bienfaits de la concurrence et de la décentralisation.

Éric Duhaime, un autre politicien autruche

La COVID-19 n’a pas provoqué l’inefficacité de notre système de santé, elle a mis ses failles en évidence.

Si vous avez l’envie et le temps de nous conseiller, il nous fera un grand plaisir d’écouter vos pistes de solution.


dimanche 23 janvier 2022

Alphonse Gérard Mercier généalogie marié Rose- Delima Laprise ancêtres Julien Mercier et Marie Poulin ou Poulain à Tourouvre France

 Julien Mercier marié avec Marie Poulin ou Poulain en 1654


Généalogie Alphonse Gérard Mercier marié à Rose Delima Laprise 










Arrières  petits-enfants




Petits-enfants




Enfants


I


Votre nom


II

Alphonse-Gérard Mercier

Nantes, Québec

16 septembre 1939

Rose-de-Lima Laprise

Arthur Laprise et Marie-Ange-Agathe-Léonie Trépanier

III

Napoléon-Paul Mercier

Saint-Hubert-de-Spauldling

23 août 1908

Marie-Aglaé Chouinard

Sévère ( Césaire ) Chouinard et Marie Boucher

IV

Augustin Mercier

Saint-Vital-de-Lambton

12 avril 1880

Félixine Turgeon

Narcisse Turgeon et 

Angèle Goulet

V

Augustin Mercier

Saint-Vital-de-Lambton

07 février 1854

Éléonore Côté

Étienne Côté et Brigitte Viens

VI

Pierre Mercier

Saint-Henri-de-Lauzon

08 février 1820

Marie-Anne Dandurand

Jacques Dandurand et 

Marie-Reine Morin

VII

Augustin Mercier

St-Michel de Bellechasse

16 avril 1782

Catherine Coupil (Goupille)

Joseph Goupil et 

Marie-Anne Balan

VIII

Pierre Mercier

St-Vallier de Bellechasse

09 novembre 1744

Marie-Louise Tanguay

Jean-Baptiste Tanguay et Françoise Blais

IX

Pierre Mercier

Contrat de notaire 

E. Jacob

19 janvier 1711

Marie-Madeleine Gagné

Louis Gagné et Marie Gagnon


X

Pachal Mercier

Château-Richer

11 novembre 1681

Anne Cloutier

Jean Cloutier et Marie Martin

XI

Julien Mercier

Né 27-02- 1621

Décédé 18-10-1676

Notre-Dame de Québec

18 janvier 1654

Marie Poulin ou Poulian

Claude-Basile Poulin et Jeanne Mercier

XII

François Mercier

St-Aubin de Tourouvre

20 novembre 1605

Roberte Cornilleau

Robert Cornilleau, épouse ??

XIII

Marin Mercier

Grand-Pré Tourouvre

09 décembre 1571

Jeanne Bisson

Parents : inconnus

XIV

Jehan Mercier

Grand-Pré Tourouvre

Marié avant 1550

Étienette Leblond

Parents : inconnus



















Julien Mercier marié avec Marie Poulin ou Poulain

Julien Mercier

Occupation:

Engage le 25 février 1647 Tourouvre par Noel Juchereau, manoeuvre

Naissance:

27 février 1621 St-Aubin de Tourouvre, Mortagne, Chartres, Perche

Décès: 18 octobre 1676 - âge: 55 Ste-Anne-de-Beaupré

Information, autres enfants, notes, etc.
Fils de François et Roberte Cornilleau

(CT 07-10-1652 Aubert) avec Marie Poulin

Décès le 18 octobre 1676, inhumé le lendemain à Sainte-Anne-de-Beaupré.

Marie Poulin ou Poulain

Naissance: 01 janvier 1641 Trois-Rivières

Décès: 16 juillet 1716 - âge: 75 Ste-Anne-de-Beaupré

nformation, autres enfants, notes, etc.
(CT 07-10-1652 Aubert) avec Julien Mercier
(CT 05 Aubert) avec Charles Montminy dit Jouvent

Fille de Claude et Jeanne Mercier

Elle n'a que 14 ans lorsqu'elle se marie

Mariage
Julien Mercier  32 ans & Marie 13 ans Poulin ou Poulain
18 janvier 1654  Québec, Notre-Dame, Québec

Source: (119e feuillet-verso) Le mariage eut lieu en la maison de Robert Giguère et enregistré à Notre-Dame-de-Québec

Navires venues en Nouvelle-France


Navire 647 La Marguerite de La Rochelle de 70 TX Maître: Hippolyte Bourget, Armateur: Pierre Legardeur de Repentigny et Noël Jacquerau; Départ de La Rochelle; Arrivée à Québec le 06 août 1647 Retour en France le 20 août 1647


Engagements en 1647 à Jucherau des Chastelets, selon son inventaire du 7 octobre 1649. Ces engagés se sont probablement embarqués dans la Marguerite : 


25 février - Julien MERCIER, pour trois ans comme manœuvre à 75L par an, plus une seule fois une paire de souliers.



MERCIER, Julien (François et Roberte CORNILLEAU), né le  27 février 1621 St-Aubin de Tourouvre, ar. Mortagne, évéché de Chartres, Perche (Orne); décédé le 18 octobre 1678, Inhumation le 19 octobre  Beaupré; 


Julien Mercier engagé contrat le 25 février 1647 pour JUCHEREAU Des Chastelets pour 3 ans comme manœuvre à 75L par an, plus une seule fois, une paire de souliers (liste Montagne); 


Julien Mercier 26 ans ½ en 1647; domestique de Michel HUPPÉ, quitte son service avec son accord le 18 octobre 16491649; concession d’une terre le 15 octobre 1651; confirmé 02-02-1660 Château-Richer; ne sait pas signer; marié le 18 janvier Québec (contrat t 07-10-1652 notaire : Aubert) avec Marie POULIN; famille établie à Beaupré; 10 enfants. (CI : 185; DGFQ : 798) La Marguerite1647 Québec

Toponymie

Attesté sous la forme latinisée Tortum Robur en 1160.

De l'ancien français tors, tordu et du bien connu rouvre, sorte de chêne.


Homonymie avec le Torquesne (Calvados), avec la forme dialectale quêne, chêne. Analogie avec Torfou, hêtre tordu et peut-être Tordouet, ruisseau sinueux.


Histoire

La hameau de Mézières - en ancien français « ruines » - a révélé un lieu de production de fer de l'époque gallo-romaine.


Le bourg de Tourouvre a été au XVIIe siècle le principal foyer de l'émigration française au Canada. Pour le géographe français Elisée Reclus (1830-1905), il est même "le lieu d'Europe qui a contribué, pour la plus grande part, au peuplement du Nouveau Monde". Pas étonnant donc que Tourouvre ait été choisi pour accueillir la Maison de l’Émigration française au Canada qui a ouvert ses portes au public le 1er octobre 2006.


La commune de Tourouvre est jumelée depuis le 8 septembre 1985 avec Saint-Laurent-de-l'Île-d'Orléans au Québec, là où plusieurs de ses émigrants ont fait souche.


Deux vitraux et plusieurs plaques à l'intérieur de l'église Saint-Aubin de Tourouvre rappellent l'émigration tourouvraine au Canada. Sur la plaque apposée par l'Association Perche-Canada à la mémoire des émigrants du XVIIe siècle, on peut y lire, entre autres, le nom de Jean Guyon, ancêtre de la chanteuse Céline Dion, et celui de Julien Mercier dont l'arrière-petit-fils Honoré Mercier (1840-1894) deviendra Premier ministre de la province du Québec (1887-1891). Un vitrail de l'église Saint-Aubin évoque la visite de ce célèbre descendant en mai 1891 sur la terre de ses ancêtres.


Le 13 août 1944, lors de la bataille de Normandie alors que les troupes allemandes se replient, des éléments de la division SS Das Reich massacrent 18 habitants et incendient une partie de la ville.


Fondée en 1957, l’association Perche-Canada a pour objet de renouer les liens entre habitants du Perche d’aujourd’hui et descendants des émigrants du XVIIe siècle, de perpétuer le souvenir de cette belle page d’histoire par des animations, des voyages et en soutenant tous les projets de commémoration.
— Honoré Mercier en précurseur.
— La fondation de l’association Perche-Canada.
— Un XXIe siècle prometteur.
— Perche-Canada aujourd’hui.

Honoré Mercier en précurseur


1891 : Honoré Merc ier, Premier Ministre
du Québec visite Tourouvre


La réalisation de la Maison de l’Émigration française au Canada est l’aboutissement des liens qui se sont rétablis entre la terre d’origine des premiers colons et celle où eux-mêmes et leurs descendants ont fait souche. La visite d’Honoré Mercier en 1891, à Tourouvre marque le début de ces retrouvailles. 


Avec l’amélioration des conditions de navigation, puis l’avènement de l’aviation, les voyages entre Amérique du Nord et Europe vont permettre de rendre les échanges d’informations plus nombreux. 


Le XXe siècle est marqué par un patient travail de recherche sur le plan généalogique et historique, en vue de répondre à la demande des visiteurs canadiens désireux de retrouver les documents, le village, voire, le cas échéant, la maison de leur ancêtre du XVIIe siècle. Parallèlement, depuis plus de quarante ans, de nombreuses personnalités canadiennes, notamment l’ambassadeur du Canada ou ses représentants, ont été présentes dans le Perche à de nombreuses reprises.


1891 : Visite à Tourouvre d’Honoré Mercier, Premier Ministre du Québec, ministre de l’Agriculture du Canada. Deux vitraux commémorent ce grand événement.

1905 : Visite à Mortagne et Tourouvre d’Abélard Turgeon, ministre des Eaux et forêts du Québec.

1914-1918 : Le Canada envoie en France un fort contingent afin de combattre aux côtés de troupes alliées. Des milliers de jeunes soldats meurent dans la Somme, notamment à la côte de Vimy.

1927 : Inauguration, à l’église Notre-Dame de Mortagne, d’un vitrail à la mémoire de Pierre Boucher en présence de Pierre Dupuy, délégué du Gouvernement canadien.

1944 : Participation des troupes canadiennes à la Libération de la France.

1956 : M. Desy, ambassadeur du Canada en France, et son épouse née Corinne Boucher, visitent Tourouvre et inaugurent la foire-exposition de Mortagne.

La fondation de l’association Perche-Canada


Édouard Leboucher, président fondateur de l'association Perche-Canada


1957 : Création de Perche-Canada, par Edouard Leboucher, président-fondateur, par le chanoine Jean Aubry, secrétaire général et par Fernand Fortin. But de l’association: l’accueil des descendants des colons percherons du XVIIe siècle et l’approfondissement de la connaissance généalogique et historique. Ce travail de longue haleine sera notamment entrepris par Mme Françoise Montagne et par son mari M. Pierre Montagne. Chaque année, depuis sa fondation, Perche-Canada fait notamment apposer des plaques commémoratives dans les églises où ont été baptisés les pionnières et les pionniers percherons de la Nouvelle-France.


Le chanoine Jean Aubry,
secrétairede Perche-Canada et
Françoise Montagne, historienne.


Congrès de Perche-Canada en 1972 : de gauche à droite, le chanoine Jean Aubry, le Dr Durand, président de France-Canada, Mme Archambault, présidente du comité France-Canada à Montréal, Me Édouard Leboucher, président de Perche-Canada et Jean-Marie Mavré, professeur à l'université Laval, vice-président de Perche-Canada.


Mars 1976 : Congrès de Perche-Canada à Mortagne en présence de Gérard Pelletier, ambassadeur du Canada.


Avril 1977 : Congrès de Perche-Canada à Bresolettes en présence de Gérard Pelletier, ambassadeur du Canada.


Avril 1978 : Congrès de Perche-Canada à Igé en présence de Gérard Pelletier, ambassadeur du Canada et de son épouse née Leduc.


Juin 1978 : Réception à l’hôtel de ville de Mortagne de M. Camille Laurin, ministre québécois du Développement culturel.


Avril 1979 : Congrès de Perche-Canada à Saint-Langis en présence de Gérard Pelletier, ambassadeur du Canada.


Avril 1983 : Congrès de Perche-Canada à Manou (Eure-et-Loir) sous la présidence de Michel Dupuy, ambassadeur du Canada en France.

Septembre 1983 : Visite de Jean Pelletier, maire de Québec et de Gilles Duguay, attaché à l’ambassade du Canada.


Avril 1984 : À Tourouvre, 350e anniversaire de l’émigration percheronne en présence de Michel Dupuy, ambassadeur du Canada en France.

Avril 1985 : à Mortagne, visite de M. Michel Dupuy, ambassadeur du Canada en France, lors du congrès de Perche-Canada.


Juin 1987 : Inauguration à Tourouvre du musée de l’Émigration percheronne par Lucien Bouchard, ambassadeur du Canada en France.


Avril 1989 : Congrès de Perche-Canada à La Ventrouze en présence du Cardinal Gagnon.

Juin 1990 : Visite à Mortagne et Tourouvre, de Claude Charland, ambassadeur du Canada en France.


Février 1996 : À Saint-Cosme-en-Vairais, Benoît Bouchard, ambassadeur du Canada en France inaugure l’école primaire « Claude-Bouchard » en mémoire de son ancêtre.

Mai 1996 : Visite à Mortagne de M. Benoît Bouchard, ambassadeur du Canada en France.

Avril 1997 : Congrès de Perche-Canada à Randonnai en présence de Jacques Roy, ambassadeur du Canada en France.


1998 : La réflexion s’engage sur l’avenir du musée de l’émigration. Sous l’égide de la communauté de communes du Haut-Perche, présidée par Guy Monhée, l’idée d’une Maison de l’Émigration Française en Canada est lancée. Le projet, sur le conseil de René Rivard, directeur du Bureau Cultura de Montréal, passe alors d’une dimension régionale à une thématique bi-nationale avec le soutien du Gouvernement canadien.


Juillet 1999 : Congrès de Perche-Canada à Mortagne et Moulins-la-Marche en présence de M. Jacques Roy, ambassadeur du Canada en France.


Un XXIe siècle prometteur

23 juin 2000 : La visite de Jean Chrétien, Premier Ministre du Canada, est perçue dans le Perche, à Tourouvre et à Mortagne, comme un encouragement décisif à la réalisation du grand projet de la Maison de l’Émigration.


10 juin 2004 : pose de la première pierre de la Maison de l'Émigration Française en Canada par Claude Laverdure, ambassadeur du Canada en France et Guy Monhée, maire de Tourouvre et président de la Communauté de communes du Haut-Perche.

19 juin 2004 : pose de la première pierre en présence de Claude Laverdure, ambassadeur du Canada en France, d’Alain Lambert, ancien ministre, président de l’association France-Canada et de l’honorable Marie-P. Poulin, sénateur, présidente de la Fédération Canada-France. Cette manifestation était organisée dans le cadre du 54e congrès France-Canada réuni à Alençon du 16 au 20 juin.

Perche-Canada aujourd’hui


Président : Michel Ganivet.
Vice-présidents : Jacques Nortier, Katherine Bry, Elisabeth Borel-Montagne.
Secrétaire-Générale : Odile Léonardi.
Secrétaire-adjointe : Béatrice Devedjian.
Trésorier-Général : Jean-Pierre Gay.
Trésorier-adjoint : Yves Pavillet.


FAMILLE MERCIER - partie 1.
Selon Robert Hollier, Tourouvre, capitale du canton dans la zone de Mortagne, était le point de départ pour le Canada des 80 familles qui sont venues de Perche. De cet endroit sont venus les familles, Crète, Gagnon, Giguère, Guimont, Tremblay et mon ancêtre Jullien Mercier. Des douzaines de familles françaises appelées Mercier sont venus au Canada, Julien était la seule à l'origine de Tourouvre. Madame Pierre Montagne, dans son livre, Tourouvre et les Juchereau, a dressé une carte des prédécesseurs paternels des parents de Julien. Jehan Mercier, mari de Thiennete-Etiennette Leblond, a engendré Marin Mercier, futur mari de Jehanne Brisson. Leur mariage a eu lieu à Grand Pré de Tourouvre, en décembre 1571. Du laboureur Marin Mercier, François Mercier était né. Ce dernier, un journalier, est devenu le mari de Roberte Cournilleau (ou le Courvilleau), en 1605 et le père de mon ancêtre Jullien Mercier, le plus jeune de la famille.


Jullien a eu plusieurs frères et soeurs : Jean, Renée, Roberte, Alexandre, Marie, Jeanne et Mathurine.


Julien, le 27 février 1621, a perdu ses parents à l'âge de 6 ans, puisque ses parents sont disparus en janvier de 1627. Un acte de vente, passé entre Jean Giguier-Giguère et Jean Mercier, le 15 septembre 1630, nous dit avec certitude que François était mort. Jean Mercier, le plus vieux, un travailleur et un résidant de La Grandinière, paroisse de Tourouvre, a soutenu la famille. 


Entre 1632 et 1644, nous avons trouvé des documents, ayant été un notaire six fois. En 1641 il a décidé de diviser la terre de famille en 4 lots au nom des 4 enfants vivants. Jullien a été assigné la troisième partie qui a contenu le " ; une grange et la quatrième partie d'une cour et d'un jardin, situées dans Grandinière." ; Quant à Cournilleau du côté maternel, les documents indiquent un peu de noblesse : 


Le 23ème de juillet 1576, un rapport au sujet du fief Cournilleau, de La Tessonnière, l'assigne à Sir Alexandre De La Voye, seigneur de Tourouvre et le fief d'Autheuil. Roberte Cournilleau a eu un frère connu, un tailleur appelé Marin. Jullien a signé un contrat le 25 février 1647 pour aller au Canada. 


Pendant trois années il serait au service de Noël Juchereau, De Sieur Des Chatelets, de Québec par l'entremise de son frère Pierre Juchereau, Sieur de Molineaux, actuellement de Tourouvre.


Le travailleur Julien recevait 75 livres par an de salaire, dont 24 étaient payable à l'avance pour être déduits dans la première année, plus une paire de chaussures.


Son passage vers le Canada, et du Canada si besoin est, était assurément le logement et la pension seraient fournis.


Quand a eu lieu le départ de Julien ?. Sur quel bateau ?. Il est difficile de trouver une réponse précise. Entre les 12 février et 10 avril 1647, dans les mêmes conditions, les hommes, une douzaine ont été inscrits, comme Julien, au service de Noël Juchereau. Nous pouvons citer : Jacques Leroy, Jacques Poupart, Pierre Aloignon, Jacques Loiseau, Martin Huan et Pierre Tremblay. Il semble que ces hommes ont supporté le croisement ensemble. Le 21 juin, le journal des Jésuites nous indique que le capitaine Feure, est à Percé et que 5 bateaux sont venus de France la même année. En août, le même chroniqueur religieux a parlé du bateau de Monsieur Godefroy et d'un autre appelé l'Ange Gardien. 


Après une peu de recherche dans les archives de La Rochelle, on a déterminé que La Marguerite, une caravelle de 70 tonnes, ont laissé le port d'Aunis après le 6 juin 1647, avec Julien Mercier et ses compagnons à bord. Les propriétaires de ce bateau étaient Pierre LaGardeur et Noël Juchereau.


Juchereau, commissaire-général des habitants de la commune fondé en 1644, est retourné en France le même automne qui a vu l'arrivée de ses ouvriers. L'année suivante, avant le 31 juillet 1648, Noël est mort en France. Son successeur n'a pas été envoyé au Canada avant 1649.


En 1651, sur la côte de Beaupré Etienne Lessard, Robert Giguère, et Jullien Mercier ont pris leurs parts dans l'ordre appelé, de l'ouest à l'est, à partir du bord de l'endroit de la future église. 


Le 15 octobre, Jullien a obtenu une concession d'Olivier Letardif, situé à l'est du " ; reduit" ; et de Robert Giguère. La taille de cette propriété était 5 arpents dans la façade par une lieue et demie de profondeur. Le 7 octobre 1652, Jullien Mercier a signé un accord de mariage avec Marie Poulain, fille de Claude Poulain. 


Son futur père a promis de lui construire une grange 40 par 20 pieds avec une petite maison. Marie introduirait dans les toiles de mariage et les pots de son choix, leur noce n'a pas eu lieu avant 1654. 


Les bans ont été publiés trois fois et ils ont été associés au mariage par Père Paul Ragueneau, qui a fait rapport à Notre-Dame de Québec. Ils se sont mariés dans la maison de Robert Giguier-Giguère. Julien est mort le 18 octobre 1676. Le père François Fillion a présidé à la cérémonie funèbre.


Six ans après le décès de Jullien Mercier, Marie Poulain a remarié Charles Monmainier dit Jouvent. Ils ont vécu pendant plusieurs années à Sainte-Anne de Beaupré, Québec, et alors ils se sont déplacés à Québec où Charles a possédé une maison et un lot. Charles est mort le 3 juillet 1716 et Marie Poulain-Mercier Monmainier est décédée le 16 juillet 1716.