mercredi 12 janvier 2022

M. Christian Dubé ministre de la santé et services sociaux du Québec - des milliers annulations d’opérations de bébés, d’enfants qui n’auront ne peut pas la chance de vivre en santé, causées par les propos et agissements des complotistes qui se la coulent douces puisque nos gouvernements sont leurs serviteurs.

  M. Christian Dubé ministre de la santé et services sociaux du Québec - des milliers annulations d’opérations de bébés, d’enfants qui n’auront ne peut pas la chance de vivre en santé, causées par les propos et agissements des complotistes qui se la coulent douces puisque nos gouvernements sont leurs serviteurs.


L’Occident nouveau fait pitié avec nos lois et gouvernements téflons tel que des implants mammaires, doux, palpâmes implants mammaires juridiques doux papables et bon soutien des minorités visibles ou invisibles

Citation en vrai bon langage Québécois : Bout de Christ débarrasser le plancher une fois pour toutes mes salopards et déménager en Antarctique où les pingouins ont des cerveaux comme ceux que vous avez et que vous ne pouvez même pas utiliser à bon essayant.  Au moins les Pingouins partent en mer pour six mois pour se nourrir et reviennent s’occuper de leur progéniture.

Hôpitaux pour enfants à Montréal, Hôpital de Montréal pour enfants, Hôpital Shriners du Canada pour enfants à Montréal, et CHU Sainte-Justine, Les complotistes François Amalega Bitondo et des certaines personnes irresponsables qui font les promotions des tueurs en série.

Tel que les Maxime Bernier et compagnies qui nourrissent  les faussetés  pour leur bienêtre personnel ou bien pour s’en remplir les poches.  Ils ne réalisent aucunement le mal qu’ils font à la société en entier. 

Ce sont des personnages égoïstes ignobles et ignorants démontrant leurs fantasmes personnels et très souvent leur problème de virilité, n’est-ce pas

Mesdames Amalega Bitondo et les Mesdames QAnon et Trompiste de ce monde..

Les François Amalega Bitondo et les QAnon sont des irresponsables charlatans, marionnettes squelettiques de couleurs différentes de peau espérant et se réjouir dans leurs exploits et escalades de de personnes souffrant des syndromes à savoir qui ou quel couleur seront les premiers en listes pour attaquer, ces maudits blancs, de couler qui nous gouvernement

Vous tous ces  pantins de suiveux avez sur vos mains le sang  de plus d’un million de personnes non vaccinés  et qui occuperons des lits d’hôpitaux et possiblement en décéderons  et demeurons avec des problèmes de santé jusqu’à la fin de leur jour 

Comment se fait-il qu’une petite meute d’énervés stériles et virile tiens comme otage l’ensemble de la population et les Chartres des droit et libertés individualistes doivent être modifié pour l’ensemble du peuple devient aux services aux minorités viscérales

Charly Vien-Tremblay, à l’avant-plan, avec sa mère Marie-Joëlle. À l’arrière, ses trois frères, Louis, 3 mois, Mylan, 3 ans et Eloi, 5 ans avec le père, Thierry Tremblay. 

Il doit subir plusieurs traitements qui durent environ deux heures et demie par jour. Il reçoit notamment un traitement salin afin de faciliter sa respiration. 

Depuis sa naissance, le garçon multiplie les séjours à l’hôpital à cause de ses problèmes respiratoires.

Le délestage causé par les agissements irresponsables et criminels de François Amalega Bitondo continue de faire des victimes collatérales de la pandémie, alors qu’un bambin de 2 ans attend une chirurgie pour tenter de régler de sévères problèmes d’apnée du sommeil et surmonter plus facilement d’autres graves problèmes respiratoires.

Charly Vien-Tremblay est atteint de dysphagie et souffre d’asthme et d’apnée du sommeil. En plus d’être en attente d’une opération aux amygdales, Charly est également en investigation pour confirmer une bronchomalacie, ce qui permettrait des traitements mieux ciblés et plus efficaces.

Alors que la situation pandémique la flambée des cas de contamination à la COVID-19 a été une véritable claque en plein visage pour la famille de Charly.

L’aggravation soudaine de la pandémie signifiait encore de l’attentede plusieurs mois avant pour être soigné. 

Pendant ce temps, le bambin désature en moyenne 130 fois par nuit, indique sa mère. Son sang et, par conséquent, le reste de ses organes sont mal oxygénés.

Les spécialistes qui le soignent croient que les amygdales nuisent à sa respiration, c’est la raison pour laquelle ils souhaitent les retirer. Il attend l’intervention depuis l’automne.

« Avec la COVID-19, on ne sait pas quand ça va arriver. Il est classé dans les cas urgents, donc normalement, c’est à l’intérieur de 12 semaines. Mais avec les délais, ça n’ira pas avant le milieu ou la fin du printemps », se décourage la mère, Marie-Joëlle Gagnon.

« Pour Charly Vien-Tremblay, c’est en quelque sorte vital », laisse tomber sa mère, ajoutant que l’apnée du sommeil est nocive pour la santé et les atteintes pulmonaires de Charly sont dangereuses pour sa vie.

François Amalega Bitondo, impossible de prendre le dessus causé par les propos des menteurs, ignoble Messieurs et Madames

Pour l’heure, tout ce qu’elle souhaite, c’est que son fils soit opéré rapidement. Seule cette intervention lui permettrait de reprendre le dessus sur ses autres problèmes de santé.

« L’opération va régler l’apnée, il aura donc un meilleur sommeil et, en dormant mieux, il sera plus en mesure de reprendre le dessus. Là, il est épuisé », se désole la maman.

En attendant, la santé de Charly est très fragile. Il a dû être hospitalisé pour une simple laryngite.

« Je n’imagine même pas si mon bébé attrape la COVID-19.

On ne sait pas comment une personne va réagir, mais je me dis que ce ne serait pas beau », croit-elle.

Depuis sa naissance, le petit garçon multiplie les séjours à l’hôpital et doit ingérer plusieurs médicaments. Ses traitements durent deux heures et demie chaque jour.

Alors que son fils se bat pour respirer convenablement et vivre mieux, Mme Gagnon se désole de voir que des gens ne prennent pas la crise sanitaire au sérieux.

« J’ai un bébé de deux ans dans l’attente. De voir que les hospitalisations augmentent en flèche et que des gens ne font pas attention […] mon garçon ne peut pas vous le dire, mais ça nous brise le cœur », termine-t-elle.


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