dimanche 6 février 2022

Covid-19 - Religieux et religions ces hypocrites sous couvert de religion ignore ouvertement les consignes sanitaires et les lois provinciales et Fédéral leur Dieu est supérieur à tout et propage les virus et enfants endoctrinés

Covid-19 - Religieux et religions ces hypocrites sous couvert de religion ignore ouvertement les consignes sanitaires et les lois provinciales et Fédéral leur Dieu est supérieur à tout et propage les virus et enfants endoctrinés

Les religions peuvent tout se permettre avec les dictatures des chartes droits et libertés à Ottawa et à Québec

Dépendamment de l’interlocuteur, vous devez choisir lequel des respects ou lois sont imputables pour ne pas être accusé de racisme

Pourquoi on ne condamne pas  les comportements de certains croyants – en particulier les juifs hassidiques qui, pour la plupart, se balancent des consignes sanitaires depuis les débuts de la pandémie ?

La communauté juive et  qui se comporte comme l’ensemble citoyens au Québec. 


Ces juifs hassidiques, qui défient  toutes nos lois– ne se confine ou pas, couvre-feu ou non – continuent de se masser dans les synagogues et d’envoyer leurs enfants à l’école comme si rien ne s’était passé au cours des deux dernières années.

J’ai plusieurs amis à Outremont et j’y suis donc souvent. Tous les jours, on les voit entrer dans les synagogues par centaines ou envoyer leurs enfants dans leurs écoles religieuses en autobus. Vous avez vu un sketch là-dessus dans le Bye Bye, vous ?

C’est toujours la même chose : quand tu as Dieu de ton bord, tu es protégé.

Note aux antivax : la prochaine fois, dites que vous faites le party pour des raisons religieuses, Maxime Bernier et personne ne va avoir le courage de vous embêter. 


Juifs Accidétiques

Même en Israël, Juifs Accidétiques pour le non-respect des consignes par les juifs hassidiques représente un casse-tête pour les autorités. 

« Le problème, c’est qu’au début de la crise, des autorités spirituelles ont dit qu’il ne fallait pas fermer les écoles, que l’apprentissage des textes sacrés allait sauver les gens, a-t-il dit. Bull Shit!

Les chefs religieux  sont des Maxime Bernier en herbe

« Les croyances mystiques des leaders ont mis la population en danger, et comme dans les écoles religieuses des ultra-orthodoxes on n’enseigne pas les sciences, la majorité n’a pas cru les avertissements des autorités laïques... » 

En Israël, plusieurs quartiers habités en majorité par des hassidiques sont hors de contrôle. La moitié des personnes hospitalisées pour la COVID sont des ultra-orthodoxes, même s’ils ne représentent que 10 % de la population.

Les juifs à tresse à ressort

Jeudi 12 mars 2021 : alors que l’épidémie de COVID-19 gagne du terrain en Israël, le gouvernement de Benyamin Netanyahou se résout à prendre le virus de front. Il décrète la fermeture des lieux de rassemblements publics, ferme écoles et universités et impose des restrictions de distanciation sociale visant entre autres les synagogues.

Trois jours plus tard, un influent rabbin ultraorthodoxe, Chaim Kanievsky, appelle les membres de sa communauté à défier ces injonctions. Les yeshivas, ou écoles religieuses, doivent rester ouvertes en dépit de l’épidémie.




« Renoncer à l’étude de la Torah est plus dangereux pour les juifs que d’attraper le coronavirus », tranche le leader spirituel de Bnei Brak, l’une des plus importantes communautés ultraorthodoxes d’Israël.


Le rabbin s’est ravisé deux semaines plus tard, affirmant qu’au moment d’émettre ce conseil spirituel, il n’était pas au courant de la gravité de la situation. Mais le mal était fait.


Bnei Brak constitue aujourd’hui l’un des principaux foyers de propagation du coronavirus, qui y a fait de nombreuses victimes.


Située à une dizaine de kilomètres de Tel-Aviv, cette ville abrite une population de 200 000 habitants entassés les uns sur les autres, et coupés des moyens de communication modernes tels que la télévision, les journaux et l’internet.


L’information leur parvient par la bouche de leurs rabbins. Et quand ceux-ci leur disent d’aller prier à la synagogue, eh bien, ils y vont.


Il n’a pas fallu longtemps pour que le fléau de la COVID-19 s’abatte sur Bnei Brak et d’autres communautés ultraorthodoxes.


Les « haredim » (ceux qui craignent Dieu) composent environ 10 % de la population israélienne. Mais représentent 50 % du millier de cas d’infection confirmés jusqu’à maintenant.

Une étude avance que plus du tiers des habitants de Bnei Brak pourraient avoir été contaminés par le coronavirus.


Dès la mi-mars, le grand rabbinat d’Israël avait rapidement réagi en enjoignant aux croyants de ne plus se rendre à la synagogue. Mais les leaders politiques et religieux ultraorthodoxes ont persisté à prôner la prière collective pendant deux trop longues semaines.



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