Hartford Ct., le 30 janvier 2022, une femme décède causer par son cellulaire de COVID-19

Hartford Ct., le 30 janvier 2022, une femme décède causer par son cellulaire de COVID-19 

Hartford Courant, ne spécifie les origines de la dame décédée du virus COVID-19 considérant que cette dame avait reçu ses trois doses antivirales.

L’époux de cette dame décédée de la COVID-19 ne pouvant et ne voulant accepter que son épouse soit décédé à cause du virus.  Avec acharnement, le mari de la décédée a exigé qu’une autopsie soit faite pour y voir plus claire.

Son épouse décédée avait toujours sur elle, 24 heures sur 24 son cellulaire avec les oreillettes dans ses oreilles, même lorsqu’elle était couchée, une addict du cellulaire.

Dès lors le mari demande avec insistance que son épouse ait son cellulaire et les oreillettes dans ses oreilles lors de l’autopsie.   Le médecin du Hartford Hospital a consentit à la demande de l’époux éploré et voulant connaitre la cause ou les causes exactes de sa dulcinée, âgée de trente ans seulement ayant des poumons sains 

Lors de l’autopsie, exécuté par le médecin légiste du Hartford Hospital s’aperçoit que certaine partie des poumons avaient été parsemés de petites tâches et qu’il n’avait jamais vu ou attendu parlé de ces parties des poumons devenus noirs.

La décédé n’a jamais fumée de sa vie. Le docteur en chef du département de la médecine légale dès lors décide d’envoyé des échantillons cellulaires et le mari a de nouveau exigé que le cellulaire de son épouse fait partie intégrante des expertises médicales avec les échantillons.

Le médecin légiste du Hartford Hospital a communiqué avec le Main laboratories of contagious diseases pour leur souligner que c’était de très généreux bienfaiteurs, nommément plusieurs millions annuellement car ce couple avait à cœur les recherches effectuées par l’hôpital voulant qu’elle soit reconnue mondialement. 

Main laboratories of contagious diseases in the USA, Bethesda, MD , devrait communiquer les résultats après une multitude d’expertises des échantillons des poumons de la décédée.  Après maintes et à maintes reprises cherchant d’où venait et de ce qui causait ces centaines de minuscules tâches aux poumons.

Le médecin en chef du Main laboratories of contagious diseases in the USA décide d’ouvrir le téléphone cellulaire de la décédée. Sous des microscopes  aux fines pointes des technologies médicales et  le virus COVID-19 s’est fait enfin traqué 

Les résultats et conclusions des expertises des cellules de la décédée sont envoyé au Dr. Benjamin Chu, MD Hartford Hospital étant un est un hôpital d'enseignement de niveau mondiale 

Propriétés chimiques du COVID-19 

Formule C11H15N503  Isomères, masse molaire 1,

265,2685 ± 0,0118 g/mol
C 49,81 %, H 5,7 %, N 26,4 %, O 18,09 %,

Une équipe multi disciplinaire internationale codirigée par des chercheurs  l’Université du Connecticut ont découvert que les téléphones cellulaires peuvent être des transporteurs du le virus de la COVID-19 entraîne l’autodestruction de cellules du système immunitaire de l’être humain dont le rôle est justement de lutter contre cette infection.

Les détails de cette découverte surprenante viennent d’être publiés dans la revue scientifique dans le Cell Death & Differentiation. 

L’unique moyen de ralentir le processus du virus d’attaquer votre cellulaire  serait de frotter votre cellulaire avec de l’alcool iso propylée à fiction quatre fois par jour avec des lingettes antibactériennes.

Le monde des communications des sans fils est sans dessus, dessous, à savoir comment intégrer dans les cellulaires les anti-virus du COVID-19