samedi 4 mars 2023

Justin Pékin Trudeau, a-t-il des problèmes de consciences Chinoise, est-ce que les remords le ronge pour rembourser des dons de plusieurs millions de dollar dont 200 000$ effectué en 2016 et payé par le Parti communiste chinois le 02 mars 2023.

Justin Pékin Trudeau, a-t-il des problèmes de consciences Chinoise, est-ce que les remords le ronge pour rembourser des dons de plusieurs millions de dollar dont 200 000$ effectué en 2016 et payé par le Parti communiste chinois le 02 mars 2023.

 A cause d’avoir été mentionné dans les médias, ces allégations récentes, la Fondation a procédé au remboursement du montant intégral du don reçu directement à un des seuls donateurs selon un communiqué diffusé mercredi après-midi sentant la soupe chaude selon le Globe & Mail.

Au cœur du stratagème se trouverait le «milliardaire» Zhang Bin, que le Globe & Mail décrit comme «un conseiller politique du gouvernement de Pékin et un haut responsable du réseau de promoteurs de l’État chinois dans le monde».

M. Bin aurait été convaincu de faire un don de 200 000$ à la Fondation Pierre Elliott Trudeau, en plus de 750 000$ en contributions pour la faculté de droit de l’Université de Montréal et de 50 000$ pour une statue de l’ancien premier ministre Pierre Elliott Trudeau.

Les partis d’opposition à la Chambre des communes réclament tous la mise sur pied d’une commission d’enquête publique et indépendante, mais Justin Trudeau assure que suffisamment d’actions sont prises à l’heure actuelle pour lutter contre les tentatives d’ingérence.

Ce n’est pas tout

Mes chers concitoyens la Chine envahit le Canada avec Justin Pékin Trudeau

L’Université de Montréal a déjà reçu 550 000 $ sur 800 000$ de deux hommes d’affaires chinois

L’Université de Montréal, qui s’était vu promettre un don de 800 000 $ dans le cadre de ce qui pourrait être un complot du gouvernement chinois et de Justin Trudeau comme ami indéfectible.

Ironiquement la Fondation Pierre Elliott Trudeau fait apparition à l’Université de Montréal n’avait alors aucune indication d’un lien possible entre ce don et une ingérence politique de la part d’un pays étranger.

Selon le quotidien, The Globe and Mail», citant une source anonyme au sein d’une agence de sécurité nationale, a publié un article alléguant que le milliardaire chinois Zhang Bin avait été chargé par un diplomate chinois, en 2014, de donner  plusieurs  million de dollars pour honorer la mémoire de Pierre Elliott Trudeau. 

Ces don faisait partie, semble-t-il, d’un plan de Pékin visant à influencer Justin Trudeau, alors chef du Parti libéral du Canada.

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La nouvelle de ces dons intervient dans le contexte d’allégations d’ingérence chinoise dans les élections canadiennes.

Amis du Gouvernement Trudeau

MM. Kovrig et Spavor auront été détenus pendant près de trois ans dans des prisons chinoises. 

MM. Kovrig et Spavor ont été libérés en septembre 2021, après que Mme Meng a conclu un accord avec les procureurs américains concernant des accusations de fraude et de complot liées aux sanctions américaines contre l’Iran. 

Mme Meng Wanzhou en résidence de luxe à Vancouver payé par les contribuables Canadiens et québécoise avec des agents de sécurité 24 sur 24  par la GRC en attendant son extradition vers les USA

Meng Wanzhou était accusée d’avoir menti pour contourner les sanctions américaines contre l’Iran, un délit passible de plus de 30 ans de prison aux États-Unis, vers lesquels elle était menacée d’extradition.

La justice américaine s’apprête à refermer définitivement les poursuites contre la directrice financière de Huawei, Meng Wanzhou, au cœur d’une crise majeure entre Justin Pékin Trudeau et Ottawa 

Conformément à un accord conclu en septembre 2021, des procureurs ont demandé jeudi l’abandon des poursuites contre la fille du fondateur du mastodonte chinois des télécoms, qui a passé trois ans assignée à résidence à Vancouver.

Le 1er décembre 2018, lors d’une escale au Canada, la responsable de Huawei avait été arrêtée à la demande des autorités américaines.

Inculpée pour fraude bancaire, Meng Wanzhou était accusée d’avoir menti pour contourner les sanctions américaines contre l’Iran. Un délit passible de plus de 30 ans de prison aux États-Unis, vers lesquels elle était menacée d’extradition.

Quelques jours après son arrestation, la Chine arrêtait à son tour deux Canadiens Ontariens et les accusait d’espionnage, une mesure alors largement perçue comme des représailles.

Mme Weng et les deux Canadiens n’ont regagné leurs pays respectifs qu’après la conclusion d’un accord entre la justice américaine et la responsable de Huawei, dans lequel elle a reconnu avoir fait de  fausses déclarations .


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