mardi 14 mars 2023

Scotstown Québec, Pays des dieux dont les photos du magasin de Lorne Mackenzie et à gauche la maison d'Émile Laprise en 1948

Scotstown Québec,  Pays des dieux dont les photos du magasin de  Lorne Mackenzie et à gauche la maison d'Émile Laprise en 1948

Merci à  Mrs Judy Mackenzie de me fournir des photos  et de la maison d’Émile Laprise et que personne n’avait pu avoir jusqu’à le 13 mars 2023, Merci Judy Mackenzie

Scotstown Judy Mackenzie et la maison de Lorne Mackenzie. Mon grand-père et mon père possédaient et dirigeaient le magasin. J'y ai travaillé de nombreuses heures. Et la maison de gauche est la maison d'Émile Laprise

Salut j'ai passé mes 21 ans de ma vie à Scotstown mon père était Émile Laprise et mon oncle possède Scotstown Woodcraft Connaissez-vous quelqu'un qui a des photos de la maison de mon père et de Scotstown Woodcraft ou photo du magasin Mackensie ou photo de ma grand-mère Marie-Ange Deslongchamps Merci beaucoup Alain Laprise

Salut Alain. C'est Lorne Mackenzie. Mon grand-père et mon père possédaient et dirigeaient le magasin. J'y ai travaillé de nombreuses heures. J'ai une bonne photo du magasin (prise vers 1948). Aussi quelques photos montrant votre maison juste à côté du magasin. Je n'ai pas de photos de la fabrique de meubles de votre oncle Louis. Je vous enverrai les photos sur ce site dans les prochaines minutes.

Réponse à la demande d’Alain Laprise

Salut Alain. J'ai une bonne photo du magasin (prise vers 1948). Aussi quelques photos montrant votre maison juste à côté du magasin.

Je n'ai pas de photos de la fabrique de meubles de votre oncle Louis. Je vous enverrai les photos sur ce site dans les prochaines minutes.

Shermag de Scotstown

Le fabricant de meubles Shermag ferme définitivement son usine de Scotstown, en Estrie, dont il avait réduit l'effectif en janvier dernier. Cette mesure, annoncée hier, touchera 84 employés, y compris les 37 qui avaient été mis à pied en janvier.

L'entreprise de Sherbrooke, qui doit faire face à une vive concurrence provenant d'Asie ainsi qu'à l'appréciation du dollar canadien par rapport au billet vert américain, a de plus fait part d'une réduction temporaire de la production à son usine de Lennoxville.

Shermag précise que ces mesures visent à réduire un inventaire trop élevé. Le mois dernier, l'entreprise avait licencié pour la même raison 80 travailleurs à son usine de Victoriaville.

«Nous croyons que ce processus difficile mais nécessaire débouchera sur une compagnie plus efficace et plus orientée vers la clientèle, dans un contexte où le dollar canadien a pris beaucoup de valeur et où la concurrence des fabricants de meubles asiatiques continue de prendre de l'ampleur», a déclaré le chef de la direction de Shermag, Jeff Casselman. 

«Nous nous sommes engagés à diminuer le niveau des stocks, trop élevé, avant la fin du premier trimestre du prochain exercice financier», a-t-il ajouté.

La direction de Shermag a présenté le mois dernier un «plan de transformation» qui vise à réduire les coûts pour freiner l'érosion de ses profits. Lors du troisième trimestre qui a pris fin le 31 décembre, Shermag a vu ses profits fondre du tiers pour s'établir à 2,3 millions, ou 17 ¢ par action. 

Shermag confie environ 20 % de sa production à des entreprises asiatiques et cette part pourrait augmenter. Le «plan de transformation» prévoit que les usines canadiennes se consacreront aux meubles sur mesure ou demandant une expertise particulière.

Shermag a précisé hier que l'impact financier de la fermeture de l'usine de Scotstown ne sera connu qu'après la conclusion de l'examen des opérations présentement en cours. Cet examen permettra à la compagnie de décider quels équipements pourront être utilisés dans d'autres usines.

Jeff Casselman chef de direction poursuit Shermag

Radio-Canada                                                          Publié le 7 mai 2008

Prenez note que cet article publié en 2008 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.

L'ancien président et chef de la direction réclame un peu plus d'un million de dollars au fabricant de meubles pour avoir été forcé de démissionner.

L'ex-président et chef de la direction de Shermag, Jeff Casselman, a déposé une poursuite contre son ancien employeur en Cour supérieure, lundi. M. Jeff Casselman réclame 1,1 million de dollars au fabricant de meubles Shermag.

L'ex-patron de Shermag accuse le conseil d'administration de l'avoir obligé à démissionner de son poste en novembre dernier.

Rappelons que l'entreprise s'est placée sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies lundi.


Aucun commentaire:

Publier un commentaire