mardi 15 mars 2022

Justin Trudeau Canada et Joe Biden président des États-Unis, l’Otan ignorent aveuglement les possibilités d’attaque de Vladimir Poutine Russe via l’Arctique.

Justin Trudeau Canada et Joe Biden président des États-Unis, l’Otan ignorent aveuglement les possibilités d’attaque de Vladimir Poutine Russe via l’Arctique.

Répondez à ces questions lorsque l’on a des fous, des dictateurs laïques ou religieux? Que ferez-vous, fermer les yeux ou avoir une troisième guerre mondiale avec des ogives nucléaires et microbiologiques.

COVID-19 le virus Xi Jinping président de la Chine communiste, pandémie de 30 mois

Vladimir Poutine est comme un animal blessé, dictateur qui se terre en Ukraine pour s’enrichir et mentir au peuple Russe qu’il doit détruire toutes idées du capitalisme de ses citoyens. 

Vladimir Poutine et ses barbaries vaut-il mieux le laisser se guérir tout seul ou bien on risque de se faire mordre si on tente de le dissuader puisqu’il ne fera pas marche arrière et détruira tout sur son passent tel qu’un ouragan

Joseph Staline mentor de Vladimir Poutine

Joseph Staline et la dékoulakisation 

Cher lecteur imprégnerez-vous d’histoire de l’Ukraine, le grenier de l’Europe


A la fin des années 1920, l'URSS commençait à retrouver le sourire grâce à la Nouvelle Politique Économique (NEP) et à un début de libéralisation économique. 

Joseph Staline craint que la NEP ne favorise dans les villes et les campagnes l'avènement d'une nouvelle bourgeoisie qui pourrait un jour triompher du communisme ! 

Pour acheter des machines à l'étranger, il doit exporter un maximum de céréales et pour cela multiplie les réquisitions forcées chez les paysans. Ces derniers résistent en réduisant leur production et les livraisons à l'État.

Joseph Staline décide de  l'élimination des koulaks en tant que classe  et l'intégration de tous les autres paysans dans de grandes fermes collectives (kolkhozes) ou fermes d'État (sovkhozes). 

Au prix de grandes violences, 70% des terres sont collectivisées et la « dékoulakisation » est considérée comme achevée. 

C'est alors qu'apparaissent les premières victimes de la faim. 

La grande famine

De fortes résistances à la collectivisation subsistent en Ukraine où la paysannerie a développé au fil de l'Histoire des structures comparables à celles que l'on rencontre en Occident : beaucoup de petits propriétaires attachés à leur terre, à leur pope (le curé orthodoxe) et à leur église.

Chacun tente de survivre. C'est alors que survient la sinistre « loi des épis » du 7 août. Elle va occasionner la déportation ou la mort de milliers de citoyens pour le vol de quelques grains ou d'une pomme de terre et permettre à l'État de s'approprier la quasi-totalité de la moisson !

Avec l'arrivée de l'hiver, sans surprise, survient la famine.

De longues files de malheureux errent le long des routes en quête de subsistance et gagnent les villes en quête de travail et secours. 

Mais le gouvernement communiste ne reste pas sans réagir : à la fin décembre 1932, il institue un passeport unique pour tout le pays, avec interdiction pour quiconque de quitter son village de résidence sans autorisation du Parti !

Affaiblis, des millions de gens meurent de froid et de faim dans leurs cabanes, le long des routes ou sur les trottoirs des grandes villes d'Ukraine, quand ils ne sont pas déportés sur un ordre arbitraire du Parti.

Beaucoup de désespérés se suicident.

Un nombre non négligeable se livrent au cannibalisme, enlevant les enfants des voisins ou tuant parfois leur propre enfant pour se nourrir de leur chair.

Le phénomène est si peu rare que le gouvernement fait imprimer une affiche qui proclame : « Manger son enfant est un acte barbare ! »

La famine ne relâche son étreinte qu'au mois de mai 1933 avec le retour des fruits et des légumes dans les jardins privés.

Le génocide occulté

La famine et son aspect intentionnel ne font plus guère débat parmi les historiens. Quant aux députés ukrainiens, ils ont voté le 28 novembre 2006 une loi affirmant que « la famine provoquée par les Soviétiques est un génocide contre le peuple ukrainien ».

Or Staline, lui, n’avait pas d’armes atomiques à sa disposition.

Vladimir Poutine oui!

Toujours il n’y a pas plus dangereux qu’un homme humilié C'est un conseil tue ou laisse en vie mais ne le blesse pas, et Vladimir Poutine blessé dans son orgueil sera un animal dangereux et impitoyable

Guerre Mondiale

Plus inquiétant encore, c’est le scénario d’un conflit qui dégénérerait en guerre mondiale. 

Si cela devait se produire, non seulement l’apport du Canada à la défense du monde libre serait limité, mais nous pourrions vite avoir besoin des autres pour défendre notre territoire.

Réveillez-vous Vladimir Poutine ne perdra jamais la face  et attaquera le Canada et les États-Unis par le Pôle Nord

La grande question : le Canada a-t-il la moindre capacité à assurer la protection de sa souveraineté sur les terres et les eaux de cette zone immense ? Non!, Non! Non! Non! Non!, Non! Non! Non!

Ou alors serions-nous entièrement dépendants des États-Unis pour assurer notre défense ? Oui!   

Le Grand Nord canadien

Les premiers ministres représentant les trois territoires du Nord canadien et le Québec s’inquiètent de la défense de leurs gigantesques superficies. Les spécialistes de la géopolitique de l’Arctique ont multiplié les avertissements concernant l’intérêt de Vladimir Poutine pour les ressources et les passages du Nord.


Dans le scénario d’une guerre mondiale, Poutine pourrait être tenté de lancer une offensive au Nord. Et que la Russie maintient maintenant un tiers de son arsenal nucléaire dans les bases militaires du cercle polaire.  Et ce n’est pas du cinéma d’Hollywood.

Elle y fait circuler 40 brise-glace nucléaires afin de contrôler les routes maritimes arctiques la reliant à la Chine. 


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