mardi 5 avril 2022

Joe Biden et Justin Trudeau le Canada et les États-Unis leurs souverainetés militairement menacé et fragilisé en Arctique avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie est de plus en plus probable

Joe Biden et Justin Trudeau le Canada et les États-Unis leurs souverainetés militairement menacé et fragilisé en Arctique  avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie est de plus en plus probable 



L'histoire nous enseigne qu'une civilisation, pour garder la maîtrise de son destin, doit se donner les moyens de sa sécurité.

Convoité par la Russie, la Chine, l’inde et d’autres pays tel que les États-Unis et pays européens tel que la Grande-Bretagne, France, Allemagne, Suède, Danemark, Norvège, etc.

1951

Craignant une agression des Soviétiques par le pôle Nord, les États-Unis accroissent leurs capacités militaires dans l’Arctique, ce qui représente une menace pour les revendications canadiennes sur le Nord

Le ministère des Ressources et du Développement, à l’époque responsable des affaires Inuits, décide d’installer une population d’Inuits dans les îles d’Ellesmere et de Cornwallis, jusque-là inhabitées. 

En 1953 et 1955, la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) déplace approximativement 92 Inuits d’Inukjuak (auparavant Port Harrison), dans le nord du Québec, et de Mittimatalik (Pond Inlet), dans l’actuel Nanavut, pour les installer dans deux sites dans les îles du Haut-Arctique. Des enjeux commerciaux et économiques jouent un rôle dans ces actions. 

Souveraineté en Arctique Canadien

Les tensions de la Guerre froide confèrent au Nord canadien une importance sans précédent. L’organisation actuelle des Rangers Canadiens est en effet mise sur pied en 1947 pour travailler dans les régions éloignées, isolées et côtières du Canada. Leur mission consiste à soutenir les opérations de sécurité nationale et de sécurité publique des Forces armées canadiennes. Durant les décennies suivantes, ils deviennent un élément de la Force de réserve du Canada.

Les États-Unis craignent une agression des Soviétiques via l’Arctique

Les États-Unis accroissent leurs capacités militaires dans l’Arctique, ce qui représente des menaces de revendications canadiennes unilatérales sur le Nord excluant les prétentions militaires des armées américaines.

L’Arctique convoitise de multiples pays depuis 1939

Les tensions de la Guerre froide confèrent au Nord canadien une importance sans précédent. L’organisation actuelle des Rangers canadiens est en effet mise sur pied en 1947 pour travailler dans les régions éloignées, isolées et côtières du Canada. Leur mission consiste à soutenir les opérations de sécurité nationale et de sécurité publique des Forces armées canadiennes. Durant les décennies suivantes, ils deviennent un élément de la Force de réserve du Canada.

Délocalisation des Inuits

La famille Kyak de Pond Inlet, Nunavut à bord du navire C.G.S. C.D. Howe à Grise Fiord. Dernière rangée, de gauche à droite : Moses Kyak, Lazarus Kyak, Mary (nom de naissance Panigusiq) Cousins, Letia portant sa fille Elizabeth dans un amauti et Leah. Première rangée, gauche à droite : David, Carmen, Timothy et Lily. 

Chasses aux sorcières

Préoccupations internes les « chasses aux sorcières » anticommunistes ont lieu dans les gouvernements et les sociétés canadiennes et Américaines. 

Grandioses chasses, fresques aux sorcières le maccarthysme pendant les années aux USA 1950

Si elles sont effectuées d’une manière plus discrète qu’aux É.-U., elles ont néanmoins des conséquences bien réelles. 

Les communistes sont identifiés et chassés des syndicats. Les membres de la communauté LBGT, considérés comme susceptibles de faire l’objet de chantage et de coercition, sont éliminés de la fonction publique fédérale et des forces armées canadiennes. 

Voir le film Full Metal Jacket film de guerre avec John Candy   

Les diplomates canadiens dont la loyauté peut être mise en doute deviennent suspects. 

Les conséquences sont parfois tragiques : le diplomate du Canada en Égypte, E. Herbert Norman se suicide au Caire en 1957. La tragédie a lieu après une dizaine d’années d’accusations et d’enquête des services secrets américains sur ses rapports allégués avec les communistes dans les années 1930. Bien qu’il ait eu ces associations, le gouvernement canadien affirme sa confiance en lui.

Le Canada a pris du froid pendant la guerre la Guerre froide

Des échanges diplomatiques sérieux reprennent après la mort de Staline en 1953. Les tensions internationales, toutefois, demeurent élevées durant les décennies suivantes.

Les chefs politiques et militaires canadiens critiquent parfois les actions américaines contre le communisme au Moyen-Orient, en Amérique latine et en Asie, mais ils se préparent tout de même à une guerre possible contre les Soviétiques en Europe.

Et les États-Unis préparent, élaborent plusieurs scénarios pour l’invasion des forces américaines en territoire Canadien.

Projet de l’avion Arrow et que les américains exigèrent sa destruction totale

Le saviez-vous ?

Ce chasseur Arrow d’interception nucléaire tout temps est en effet conçu pour voler plus haut et plus rapidement qu’aucun autre avion de sa classe.

Dans les années 1950, on s’inquiète de plus en plus que des bombardiers soviétiques puissent attaquer le Canada en passant par l’Arctique canadien. En fait, les services de renseignements de l’Otan affirment qu’une telle attaque pourrait se produire dès 1954. En réponse, en 1953-1954, l’aviation Royale canadienne commande à Avro la construction du Arrow. 

Sous le gouvernement de Pierre Elliott Trudeau, le Canada réduit la taille de ses forces terrestres et aériennes stationnées en Europe. En réponse aux critiques des alliés, le gouvernement canadien crée le Groupe-brigade canadien transportable par air et par mer (CTAM) en 1968. Cette nouvelle formation est stationnée au Canada, mais peut se déployer en Norvège en période de tension sur préavis de 30 jours du gouvernement norvégien.

Avant 1970, année où les règlements sont modifiés, les militaires canadiens et les personnes à leur charge qui meurent dans le cadre de leur service en Allemagne et en France sont enterrés dans les cimetières civils locaux. Près de 1400 Canadiens sont enterrés dans les deux pays, dont 474 à Werl seulement.

« MAD » attaque nucléaire

Pendant la majeure partie de la guerre froide, les États-Unis et l’Union soviétique se livrent à une impasse nucléaire connue sous l’acronyme MAD (mutual assured destruction, ou destruction mutuelle assurée). 

La théorie sous-jacente à la MAD – qui n’a heureusement jamais été mise à l’épreuve – est que, même après une attaque nucléaire initiale surprise par l’une des parties, l’autre conserverait une capacité de seconde frappe suffisante pour riposter de la même manière. On pense qu’une telle capacité aurait un effet dissuasif sur les deux parties. Si elle avait été utilisée, le résultat net de la destruction mutuelle assurée aurait probablement été la fin de la civilisation.

NORAD complexe souterrains à North Bay, en Ontario en 1972

Au début des années 1950, les accords de défense entre le Canada et les États-Unis sont axés sur la construction de réseaux de radars d’alerte rapide à travers le Canada pour détecter les bombardiers soviétiques habités transportant des armes nucléaires. 

Cela donne lieu à trois lignes de stations radars : la ligne Pine Tree, la ligne Mid-Canada et le réseau d’alerte avancé (DEW). Cette coopération donne lieu à des discussions sur une éventuelle intégration des dispositifs de défense aérienne.

Le 1er août 1957, les gouvernements du Canada et des États-Unis annoncent l’intégration de leurs forces de défense aérienne sous un commandement conjoint appelé North American Aerospace Defense Command (NORAD). 

Durant cette période de la Guerre froide, le Canada et les États-Unis craignent tous deux une attaque soviétique de longue portée. L’Aviation Canadienne et l’US AirForce (USAF) travaillent en collaboration pour assurer une protection.

Crise des missiles Bomarc

À la fin de 1958, le gouvernement conservateur du premier ministre John Diefenbaker annonce une entente avec les États-Unis pour que des missiles antiaériens américains « Bomarc » soient déployés au Canada. Cette décision de défense controversée est une des nombreuses suites du traité NORAD de 1957.

Certains affirment que les missiles remplaceront avantageusement l’avion Avro, Arrow, dont le gouvernement Diefenbaker a sabordé le développement au début de 1959. Les missiles peuvent théoriquement intercepter toute attaque soviétique sur l’Amérique du Nord avant qu’elle ne puisse atteindre le cœur industriel des États-Unis d’Amérique 

Cependant, le gouvernement ne précise pas si les missiles seront équipés de têtes nucléaires. Lorsque la chose est révélée en 1960, cela soulève une polémique à savoir si le Canada devrait adopter ou non des armes nucléaires. Finalement, le gouvernement libéral du premier ministre Lester B. Pearson décide d’accepter les têtes nucléaires en 1963.

 

Missiles Bomarc et John F. Kennedy

En 1958, le gouvernement conservateur annonça que le Canada déploierait deux escadrons de missiles américains Bomarc a provoqué une crise dans la politique de défense canadienne.

John F. Kennedy Crise des missiles de Cuba

Le 15 octobre 1962, un avion d’espionnage américain découvre que des missiles soviétiques sont en cours d’installation à Cuba. Ils sont considérés comme une menace directe pour les États-Unis et le Canada. 

Les Forces canadiennes sont mises en état d’alerte durant la crise qui s’ensuit, mais la réponse hésitante du premier ministre John Diefenbaker irrite le président américain John Kennedy. 

Elle contribue aussi à détériorer les relations déjà difficiles entre le Canada et les États-Unis au cours des années 1960. La crise amène le monde au bord de l’affrontement nucléaire, mais se termine le 28 octobre 1962, lorsque le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev accepte de démanteler les missiles contre la promesse de Kennedy de ne pas envahir Cuba. 

Guerre froide en mer et missiles nucléaires

En janvier 1968, l’OTAN crée la Force navale permanente de l’Atlantique (ou STANAVFORLANT, abrégée en SNFL et prononcée « sniffle » par les marins anglophones) en tant que force maritime permanente de réaction rapide. 

La SNFL est conçue pour répondre rapidement à une crise et établir la présence et la détermination de l’OTAN. 

La force est composée de six à dix destroyers, frégates et pétroliers attachés pour une durée maximale de six mois. Le Canada est l’un des cinq contributeurs permanents. 

Pendant la guerre froide, la SNFL est normalement positionnée au large de la côte nord-ouest de l’Europe et chargée de défendre l’Atlantique Nord. Les commodores et les contre-amiraux de la MRC commandent la SNFL selon un système de rotation. 

Vladimir Poutine et les résurrections des grandeurs Tsarisme

 L'invasion de l'Ukraine par la Russie en est une campagne militaire d’épuration déclenchée le 24 février 2022 sur ordre de Vladimir.

Une série sans précédent de sanction économiques, culturelles et sportives est progressivement mise en place contre la fédération de Russie, tandis que plusieurs pays, parmi lesquels des États membres de l'Otan et de l'Union européenne, apportent leur aide à l'Ukraine attaquée en fournissant notamment du matériel militaire offensif et défensif, de la nourriture, du matériel médical et d'importantes aides financières. 

Et les civils seront violés, assassinés, torturés pendant ces guerres insensées ayant perdus ses raisons, ses repères




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