samedi 16 avril 2022

Joe Biden, Emmanuel Macron, Justin Trudeau - Viols à la Vladimir Poutine et ses soldats en Ukraine violent physiquement tout ce qu’ils voient, femmes, hommes, garçons, filles, de très jeunes enfants Deuxième partie.

 Joe Biden, Emmanuel Macron, Justin Trudeau - Viols à la Vladimir Poutine et ses soldats en Ukraine violent physiquement tout ce qu’ils voient, femmes, hommes, garçons, filles, de très jeunes enfants  Deuxième partie.


Et pendant au Québec certains groupes se sentent martyrisé par François Legault et la laïcité et de la loi 101, l’équité salarié et voyez-y Legault nous sommes incontents des négociations. 

 Pauvres nous aveugler par nous égoïstes et aveuglement de nation riche.

Poutine pourra aller jusqu’à envahir le Canada et les États-Unis et encore une fois Joe Biden, malheureux président démocrate, cet invertébré tout comme le premier ministre du Canada, j’ai oublié son nom, il voyage à  l’extérieur prônant les fois et ses vertus religieusement, tendrement humaine en déplacement inhabituel d’une tempête de sable au Sahara.

Le Canada envoie ses meilleurs souhaits aux Ukrainiens  avec des photos de Justin Trudeau en Inde avec quelques grammes de marijuana comment soutien mental

Vladimir Poutine fière stratège militaire et diplomatique nous testent jusqu’à il pourra aller.  Bien sûr Xi Zixing du haut de son jubé regard avec fébrilités à savoir pour Taiwan et notre immense dada de la Corée Nord, Kim Jong-Un construit des missiles pour attaquer le Japon ou les États-Unis.

En Ukraine des milliers de viols dans les zones occupées par l'armée russe, « comprenant de jeune fille mineurs, enfants, garçons et adultes homme ou femmes avant de les tués comprenant de jeunes filles mineures et de tout petits enfants de moins de quatre ans». 

 De même aussi avec les millions de réfugiés musulmans, islamistes en France, en Allemagne, en Italie, en Grande-Bretagne violaient tout ce qui passait sur la rue et nous n’en parlons plus présentement considérant que le pétrole nos est fournis par le Proche-Orient et beaucoup d’argent.

L’argent n’a pas d’odeur, pas d’honneur, cela dépends du côté que vos yeux se tournent

«Des milliers et des milliers de victimes. Des centaines de cas de torture. On continue de retrouver des corps dans les canalisations et les caves», a-t-il poursuivi.

«Des centaines de viols ont été enregistrés, y compris ceux de jeunes filles mineures et de tout petits enfants. Même d'un bébé de 6 mois! Cela fait peur rien que d'en parler», a lancé le président ukrainien.

Il a évoqué, sans entrer dans les détails, une vidéo envoyée par un parachutiste ou membre de services spéciaux russes, identifié, où l'on voit «ce qu'il fait à ce bébé, le violé sur vidéo voici comment il le torture avec toutes les joies humaines».

Le président lituanien, Gitanas Nauseda, a réagi avec émotion à ces paroles. «Il est tout simplement impossible d'imaginer de plus grandes horreurs: le président Zelensky a parlé aujourd'hui d'un bébé violé», a-t-il dit.

Des témoignages rapportés par les médias corroborent les craintes d'ONG, qui relèvent des indices d'utilisation du viol comme «arme de guerre».

Une Ukrainienne a notamment raconté à l’Agence France Presse (AFP) avoir été violée par deux soldats russes après qu'ils ont appris qu'elle était l'épouse d'un militaire ukrainien.

Des milliers viols» qui auraient eu lieu dans les zones précédemment occupées par l'armée russe, «y compris de jeunes filles mineures et de tout petits enfants». 

Les guerres sont toujours sales

«Des milliers et des milliers de victimes. Des centaines de cas de torture. On continue de retrouver des corps dans les canalisations et les caves», a-t-il poursuivi.

Même d'un bébé violé! Cela fait peur rien que d'en parler», a lancé le président ukrainien.

Il a évoqué, sans entrer dans les détails, une vidéo envoyée, selon lui, par un parachutiste ou membre de services spéciaux russes, identifié, où l'on voit «ce qu'il fait à ce bébé, comment il le torture».

es accusations de viols contre les femmes et les enfants par l’armée russe s’accumulent ces derniers jours. Ces témoignages, « douloureux à vivre et à supporter », bouleversent l’avenir des femmes ukrainiennes, estime une organisation du pays.

Faiblesses occidentales et morales

Le mois dernier, Olha femme de 31 ans vivant à Malaya Rohan, village de la région de Kharkiv, avait trouvé refuge dans le sous-sol d’une école avec une quarantaine d’autres résidants.

À l’ONG Human Rights Watch, elle a rapporté qu’un soldat russe était entré de force dans l’école vers minuit, le 13 mars. « Il a brisé les vitres à l’entrée […] et a frappé bruyamment à la porte », a-t-elle raconté.

Le soldat l’aurait emmenée dans une salle de classe au deuxième étage et aurait pointé son arme sur elle, lui ordonnant de se déshabiller. « Il m’a dit de pratiquer le sexe oral. Pendant tout ce temps, il tenait son arme près de ma tempe ou la pointait sur mon visage. Deux fois, il a tiré sur le plafond et a dit que c’était pour me “motiver” », se remémore-t-elle.

Le soldat russe aurait violé Olha à deux reprises, un couteau sous la gorge. « Il m’a dit que je lui rappelais une fille avec laquelle il était allé à l’école », raconte-t-elle.

Il lui aurait lacéré le cou et la joue, et aurait coupé une partie de ses cheveux. Il l’aurait aussi frappée au visage et giflée à plusieurs reprises. Il aurait finalement quitté l’école le lendemain matin.

Nos malheurs, nous pleurnichards  

Au Québec ou au Canada nos préoccupations divergent complètement des malheurs Ukrainiens.

Les cerfs du parc Michel-Chartrand ne seront pas abattus et des manifestations contre les cruautés animales se manifestent partout pour aider ces petits Bambi.

Des collectes régionales pour protéger les Bonney Bonney, nos petits lapins dans les forêts entourés des querelles de dinde sauvage envahissant nos municipalités.   

Pendant ce temps à l’Assemblé Nationale Gabriel Nadeau Dubois, le petit christ, si le 500$  et bien de le donner à la population actuellement  puisque c’est du racisme institutionnalisasse de la part de la CAQ.

Pendant que la merveilleuse Catherine Dorion de Québec Solidaire assis sur un banc de ciment fume allègrement ses joins de marijuana en compliment à Justin Trudeau, le pusher.

Que voulez-vous nous n’avons pas les mêmes préoccupations humaines


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